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Bruno Karsenti

Dossiers

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

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Dossier

Milan Kundera par ses livres : la passion française

Milan Kundera est né le 1er avril 1929 à Brno, en Tchécoslovaquie (aujourd'hui République tchèque). Il est l'un des écrivains les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Ses écrits, qui abordent des thèmes tels que l'amour, l'existence et l'identité, sont connus pour leur complexité et leur profondeur philosophique.

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Dossier

Audiolivre : une sélection d'ouvrages pour les enfants

Petit Ours Brun, Vampirette, mais également Mortelle Adèle, Mes p’tits docs et bien d’autres : les personnages et collections phares des éditions Bayard et Milan existent désormais en audio. Avec la création du label À écouter, les maisons proposent désormais de faire redécouvrir aux enfants leurs livres et héros préférés en fermant les yeux et se laissant bercer… 

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Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

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Dossier

Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

Extraits

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Sociologie

La place de Dieu. Religion et politique chez les modernes

Ce que Dieu ou l'idée de Dieu est actuellement capable de déclencher provoque dans l'opinion éclairée de l'effroi. Face aux violences de l'époque qui s'en réclament, elle réagit par conjuration, affirmant soit qu'il n'y a pas de Dieu, soit que Dieu ne s'y trouve pas. Pour elle, la place de Dieu n'est pas dans la politique : le théologique et le politique n'ont en aucun cas partie liée. Ce livre prend un autre point de vue. Il cherche à fournir une parade à notre désemparement sans esquiver le problème théologico-politique contemporain, en le traduisant en termes socio-politiques. Pour cela, il ne fixe pas une fois pour toutes la place de Dieu - dans ou hors de la politique - mais suit les variations de son tracé au sein des sociétés modernes selon le sens de la justice qui les anime. Cette généalogie des nouages entre Dieu et l'idée moderne de justice a pour enjeu de retrouver une prise là où, aujourd'hui, nous vacillons le plus. Philosophe, Bruno Karsenti est directeur d'études à l'EHESS. Il est notamment l'auteur de L'Homme total, Sociologie, anthropologie et philosophie chez Marcel Mauss (PUF, 1997) ; D'une philosophie à l'autre. Les sciences sociales et la politique des modernes (Gallimard, 2013) ; et La question juive des modernes. Philosophie de l'émancipation (PUF, 2017).

10/2023

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Notions

Religion, politique et idéologie. Un regard de philosophie des sciences sociales

Religion et politique sont entrées dans de nouveaux rapports, qu'on n'attendait pas : des rapports de dépacification, voire de guerre civile, qui exigent de notre part un auto-examen sans concession et une interrogation sur ce que nous avons manqué. Sur ce plan, ce qui est exigé de nous, c'est que nous reconsidérions la thèse majeure de la séparation moderne du politique et du religieux. On adoptera une démarche de philosophie des sciences sociales pour affronter cette question. Cette démarche se pose en alternative au récit canonique de la philosophie politique moderne qui, précisément, entérine et considère pour acquise la grande séparation. Elle permet d'aborder les religions, dans leurs formes singulières et irréductibles, en relation à la constitution des idéologies qui structurent la modernité politique. La philosophie des sciences sociales, en effet, se définit par un lien intrinsèque à la sociologie des idéologies, exemplairement pratiquée par Karl Mannheim et Norbert Elias. Mais elle est aussi en mesure, pour cette raison même, de définir le point par lequel les religions se distinguent des idéologies. Ce point tient, non au fait que, ramenées à leur supposée pureté, elles ne seraient pas politiques, et par conséquent toujours déjà disposées à la grande séparation, mais au fait qu'elles le sont essentiellement et le demeurent chacune à leur manière, en un sens spécifique qui exige d'être caractérisé. On tâchera, dans cette conférence, d'user de cette méthode discriminante pour se doter d'un meilleur aiguillon dans cette zone particulièrement tourmentée de notre condition actuelle.

10/2021

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Philosophie

D'une philosophie à l'autre. Les sciences sociales et la politique des modernes

À l'origine, avec Socrate, la philosophie est une forme singulière de discours par lequel, selon Max Weber, on «coince quelqu'un dans un étau logique». Acte politique de résistance à un certain dévoiement de la parole publique et politique, le dialogue philosophique exige de ses interlocuteurs non plus qu'ils se conforment à un type de vérité susceptible d'exposition doctrinale, mais qu'ils entrent dans sa recherche commune - que la vie commune se reconfigure à travers ce type d'expérience dont la philosophie dégage le socle. Or, la situation change du tout au tout avec l'émergence au XIXe siècle des sciences sociales qui font leur miel, à l'âge démocratique, de la connaissance relative au gouvernement des hommes, aux groupements qu'ils forment, aux liens qui les rassemblent, aux régimes de pensée et d'action qu'on peut y rattacher. Auguste Comte appelle à passer de la philosophie métaphysique à une autre, positive, dont la seule fonction, ancillaire et résiduelle, est d'aider à la clarification et à l'articulation méthodologiques des travaux scientifiques. Assurément, à la manière de la Grèce ancienne, les sciences sociales ont imposé un nouvel «état logique» au discours public, opposé leur résistance mentale et normative à une conjonction délétère entre parole et pouvoir politique, et, en définitive, modifié la perception que les individus ont de leur existence dans leur situation sociale et politique en même temps qu'elles inventent des manières d'agir sur cette situation même. L'enfermement des disciplines institutionnalisées dans leur champ respectif acheva de les convaincre que la philosophie était seconde par rapport à leur rationalité propre. C'est justement à l'articulation de ces disciplines et ambitions, démontre Bruno Karsenti, que la philosophie doit se déployer : si le discours des sciences sociales est bel et bien requis par le développement des sociétés modernes en ce qu'elles sont vraiment démocratiques, la philosophie se doit, elle, d'interroger cette exigence par-delà toute contrainte imposée par la division en disciplines particulières.

02/2013

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Philosophie

Giordano Bruno

Giordano Bruno (1548-1600) était frère dominicain, philosophe et astronome. Il mourut sur le bûcher, exécuté par l'Inquisition à cause de ses croyances mystiques et controversées. Bruno croyait que la Terre tournait autour du Soleil, que les étoiles étaient d'autres soleils comme le nôtre, avec des étoiles qui tournaient autour, et que l'Univers devait être infini comme Dieu.

03/2019

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Histoire internationale

Giordano Bruno

Le 17 février 1600, Giordano Bruno meurt sur le bûcher de l'Inquisition. Au lendemain des guerres de Religion, en pleine Contre-Réforme, l'Eglise de Rome ne lui pardonne pas son insoumission. Bruno hérétique ? Dominicain de formation, il rompt avec son ordre et quitte l'Italie. A Genève, il s'oppose aux calvinistes qui l'excommunient. A Paris, son art de la mémoire séduit Henri III qui le protège. En Angleterre, il scandalise les docteurs d'Oxford et les puritains. Une troisième fois, il est excommunié par les luthériens allemands. Irrécupérable pour son temps, Bruno marque un tournant dans l'histoire de la pensée occdientale et s'impose comme l'un des plus importants philosophes du XVIe siècle. Ce " chevalier errant du savoir " s'inspire aussi bien de Saint Thomas d'Aquin, de Nicolas de Cues que de Ficin. Pourfendeur d'Aristote, il pose, à partir de Copernic, l'existence d'un univers infini, peuplé de mondes innombrables. Paradoxalement, il prône une déchristianisation en soutenant le pouvoir et les intérêts de l'Eglise catholique. Anti-humaniste, il s'insurge contre les grammairiens et leur prétention à la vérité. Poète, il se fait peintre. Des mathématiques à la magie en passant par la colonisation de l'Amérique, il remet en question tout ce qui semble acquis. Exilé, isolé et sans cesse dissident, cet " académicien de nulle académie " est longtemps resté prisonnier de ses mythes : Bruno l'athée, l'espion ou le moderne. Contrairement à Galilée, il est toujours rejeté par l'Eglise de Rome.

05/1995

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Photographie

Bruno Barbey

"Un auteur, plutôt qu'un reporter. Un photographe au long cours, plutôt qu'un baroudeur", dit de lui Annick Cojean. Il est de ceux qui cherchent à comprendre autant qu'à voir. En couleurs autant qu'en noir et blanc. Entré tout jeune à Magnum, il refuse l'esthétisme de l'horreur et déteste le sordide. Il a sillonné la planète, couvert des révoltes et des famines, des guerres et des révolutions, photographié des chefs d'Etat et des réfugiés, des paysans et des militaires. Impliqué avec intensité dans le moment présent, il a constitué une oeuvre toute de sensibilité et de lucidité.

11/2015

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