Marc Morsa, Charles-Eric Clesse, Myriam Verwilghen

Un temps de danse, un moment d’écoute et de dialogue :

Lucide, drôle : Myriam Anissimov raconte ses "jours nocturnes"

Ah, si... vers la vente du livre... qui sort aujourd'hui. D'ailleurs pour ce faire, tout est en place, puisque l'on pourra acheter son livre directement sur Fnac ou Amazon. Pas de format numérique achetable directement sur le site pour le moment, mais une édition iPhone pourrait voir le jour en janvier. La version ePub est vendu pour 15,99 €, avec une sortie simultanée. Au Figaro, le romancier précise :

« C'est une question d'honnêteté par rapport au consommateur. À partir du moment où la version numérique engendre une économie de papier, de couverture, de transport et de stockage, il n'y a pas de raison que l'éditeur online ne reproduise pas cette économie vis-à-vis du consommateur. Il y a un coût de fabrication du livre numérique, mais qui est inférieur aux conditions de fabrication, de stockage et de distribution d'un livre traditionnel. »

Bon... après s'être battu pour expliquer qu'un livre numérique doit être moins cher, il va désormais falloir se battre pour expliquer qu'une communication sur un ebook moins cher que le papier n'a pas de sens, et ne sert que les intérêts marketing de l'éditeur. Au moins Marc ne raconte-t-il pas trop de bêtises...

Dans une ou deux années, nous verrons bien quels dégâts cela aura occasionnés. On prend rendez-vous ? Pour le prochain Levy ?

ENTRETIEN – C’est arrivé la nuit, le dernier roman de Marc Levy, traite tout à la fois de manipulation des masses par l’extrême droite, de montée des populismes, de l’infox dispersée abondamment sur les réseaux sociaux… et du scandale de l’insuline. Un nouveau genre, qu’explore le romancier ? Pas tant que cela.

En mai 1968, Myriam Anissimov âgée de 25, décide de quitter Lyon : c'est Paris qu'elle veut. Famille, mari, elle laisse tout derrière elle pour découvrir la capitale. « Je couchais avec des gens sans amour », écrit-elle dans le livre, paru chez Seuil, Jours nocturnes. « J'ai toujours été plus sexe que drogues. Et puis, à 25 ans, on a des envies et des hormones », lançait-elle en riant, hier soir, invitée par la librairie Folies d'encre. 

Les lectrices et les lecteurs des clubs des Rendez-vous du premier roman ont lu, débattu et voté pour leurs favoris. Pour cette 9e saison, une sélection d'œuvres francophones (huit québécoises et franco-canadiennes, et huit hors-Canada) a été soumise aux clubs de lecture des Rendez-vous du premier roman. Myriam Vincent et Dimitri Rouchon-Borie, sont ainsi lauréate et lauréat du Prix des Rendez-vous du premier roman–Lectures Plurielles 2022.

Il était annoncé pour le 12 avril dans l'outil professionnel Electre, mais finalement, c'est à la date du 29 mars que Marc Levy publiera son prochain livre, aux éditions Robert Laffont. 

Amadou et Mariam reviennent avec un nouvel album

Pour la première fois depuis la création de Facebook, son créateur Mark Zuckerberg a accepté une séance de questions-réponses, en public. Il est revenu à cette occasion sur le film The Social Network, de David Fincher, sorti en 2010. Ce dernier était fortement inspiré de The Accidental Billionaires: The Founding Of Facebook, A Tale of Sex, Money, Genius, and Betrayal, de Ben Mezrich, paru l'année précédente.

Dire l'indicible, écrire le silence,  exprimer avec justesse et sans effusion comment l'ignorance des mots empêche toute communication, nie l'existence, contraint à l'isolement, la solitude, légitime la violence et traduit une douleur et une souffrance immenses, tels sont les propos de ce livre magistral et bouleversant, au style épuré, minutieusement travaillé comme si les mots ne devaient rien trahir, être au plus près d'une réalité où ils n'avaient pourtant pas leur place à l'origine. 

À cela, ajoutons un fanatisme religieux (juifs, protestants et autres) entretenu par une Église Catholique omniprésente (Torquemada en tête), des traditions pesantes (le droit d’aînesse au détriment des autres) et des convenances sociales qui contribuent à une immuabilité des sociétés européennes.

Le Front de libération de la langue française a encore frappé : dans une nouvelle vidéo à l'acide, Mickael Korvin, auteur, et Morsay, rappeur, attaquent Patrick Poivre d'Arvor après avoir pris pour cible Erik Orsenna.

Après la polémique suscitée par la chanson d'Orelsan, Sale pute, un rappeur est à nouveau au centre de plusieurs réclamations. Il s'agit de Morsay et cette fois c'est l'incitation à la violence contre les forces de l'ordre qui est évoquée.

En effet, dans sa chanson J'ai 40 meufs, le rappeur chante « J’ai 40 meufs et j’ai toujours la dalle, c’est Morsay j’nique la police municipale ». Dans le clip de celle-ci, un groupe de rappeurs pointent des armes vers la caméra et tirent, ils font aussi avec le pouce le geste de trancher la gorge.

Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand a affirmé : « Dans son clip J’ai 40 meufs, le rappeur Morsay tient des propos intolérables notamment à l’encontre des forces de sécurité de notre pays » ajoutant la « liberté d’expression ne doit pas être le prétexte à des dérives incitant à la haine ou à la violence ».

Le ministre « en appelle au sens des responsabilités des dirigeants de radios, de chaînes de télévision et de sites internet » pour qu'il ne diffuse pas le clip. On se souviendra que lors de polémique autour d'Orelsan Mitterrand avait soutenu le rappeur. Il avait alors déclaré : « Je trouve toute cette polémique tout à fait ridicule. Orelsan exprime le dépit amoureux, avec des termes qui ne sont pas les miens, moi je ne parle pas exactement la même langue, mais il a tout à fait le droit de l'exprimer ».

De son côté, le SNPM (Syndicat national des policiers municipaux) souhaiterait voir des poursuites engagées contre le rappeur estimant que la vidéo n'était « faite que d’injures et d’incitations à la haine et à la violence ». Chacun se fera une opinion :

Rencontres / Débats - Vendredi 6 avril 2012 à 20h00 - A la librairie

Dédicaces - Mercredi 9 janvier 2013 à 19h30 - A la librairie

Le 21 juin dernier, Miriam Gilou Cendrars s’éteignait à l’âge de 98 ans à son domicile en Bretagne. Fille de l’écrivain suisse Blaise Cendrars, elle fut journaliste, auteur et résistante. Elle partageait son temps entre création et commémoration du souvenir de son père dont elle était la biographe.

La version française du film Women Talking, réalisé par Sarah Polley, sera dans les salles de cinéma le 8 mars 2023. Sorti en Amérique en 2022, c’est une adaptation du roman Ce Qu’elles disent de Miriam Toews (traduit par Lori Saint-Martin et Paul Gagné, 2019, Buchet Castel). Il traite le douloureux sujet des violences sexuelles en s’inspirant d’un fait réel qui s’est déroulé entre 2005 et 2009. 

RentreeLitteraire23 - Bulgarie au début du XXe siècle, une société pétrie de traditions, de superstitions et de conventions ancestrales. La jeune Miriam, fantasque, indépendante, un peu sorcière, aime Ahmed envers et contre tout. Elle décide de vivre avec lui, puis de le suivre à Istanbul au risque d’en payer le prix fort. 

On dirait qu’ils se sont donné le mot : deux romans en un mois, l’un du Goncourt 2017, Éric Vuillard, l’autre du Goncourt 2013, Pierre Lemaitre, sur un sujet peu traité, la France des années 46-54. C’est du premier que l’on va traiter, avec Une sortie honorable, paru le 5 janvier aux éditions Actes Sud. Récit historique documenté et virtuose, où se révèle le système de caste à la française dans une série de portraits et de scènes d’anthologie.

Ce Chef d’œuvre que je n’arrive pas à aimer

Sortant d’une séparation brutale et subie, le narrateur éprouve toutes les peines du monde d’une part à oublier celle qu’il retrouve partout

Maroc : 8ème printemps international de la philosophie du 13 au 15 mars 2009