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Ciao Bianca

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12 ans et +

Ciao Bianca

Cela fait trois ans que Matthieu n'a pas vu sa famille, depuis qu'il a claqué la porte de la maison, le jour de ses 18 ans. Il n'a pas répondu aux appels de sa mère, a évité de donner des nouvelles. Mais le jour où il apprend qu'elle vient de mourir, un cancer foudroyant, il ne peut faire autrement que d'aller à l'enterrement... Enfin, l'enterrement... Ce n'est pas vraiment ça... juste une cérémonie... Parce que Bianca Fois a prévu d'être inhumée en Sardaigne, dans le caveau familial. D'ailleurs, elle a déjà tout organisé : c'est Matthieu qui doit aller là-bas, pour l'accompagner jusqu'à sa dernière demeure. Seul avec son frère et sa soeur, des jumeaux de 11 ans, Gavi et Lena, qu'il ne connaît plus trop. Matthieu suppose d'ailleurs qu'il a beaucoup à se faire pardonner d'eux. Ce dont il ne se doute pas, c'est que la descente de l'Italie, et le voyage sur l'île, vont être l'occasion de pas mal de galères, et aussi d'éblouissements, de bains de mer, de nuits à la belle étoile, de chasse aux chauve-souris et au fromage – ce " fromage pourri ", spécialité sarde, plein de larves et des asticots qui mangent le corps de ceux qu'on aime...

08/2019

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Littérature française

Casa Bianca

Ils pourraient jouer dans un film de Nanni Moretti. Michela est italienne, lui, le narrateur, français. A la cinquantaine, ils ne supportent plus de voyager "en touristes" : chaque séjour à l'hôtel menace de se terminer par une catastrophe conjugale. Une seule solution : s'enraciner, chercher le jardin d'Eden. Ils pensent le trouver dans un couvent en ruine, un morceau de pierre dans les Pouilles, près de Lecce, légué par ses parents à Michela. Mais le couple n'est pas au bout de ses surprises. Lui, le spécialiste de la mafia, découvre que le couvent abrite un cercle de jeu très étrange. Comment le déloger ? Serait-il aux mains de gangsters locaux ? Le village a été l'une des forteresses de la Sacra Corona, la mafia locale. Les voisins le rassurent : "Tout ça, c'est du passé. Maintenant, la mafia, ici, c'est fini ! " Les deux amoureux se lancent dans la restauration du couvent. L'amour rend aveugle, celui des vieilles pierres aussi. Après le purgatoire, on touchera peut-être le paradis...

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Littérature française

Casa Bianca

Ce sont deux universitaires myopes. Elle est italienne, Michela. Lui, français, est le narrateur. Ils pourraient jouer dans un film de Nanni Moretti : ils sont les personnages du nouveau récit de Jacques de St Victor. A la cinquantaine, ils s'aperçoivent qu'ils ne supportent plus de vivre les vacances en touristes. Chaque séjour dans un hôtel menace de se terminer par une catastrophe conjugale. La solution : s'enraciner. Trouver le jardin d'Eden, un petit coin de paradis... En Italie bien sûr. Une maison à restaurer, quelle bonne idée ! Jacques de St Victor, professeur de droit, historien se rêvait dans sa jeunesse agent immobilier. Mais avec l'âge, il s'est détaché des maisons, choisissant une vie de nomade, vouée aux livres. Mais où en Italie ? Les Pouilles bien sûr, l'Apulie contemporaine, la région préférée des intellectuels bohèmes ! Ils sillonnent la région du Salento, les agences immobilières quand soudain Michela a une idée lumineuse. Elle se souvient que son père lui a légué un morceau de couvent près de Lecce : " Qui sait ? On pourrait peut-être décider de le restaurer ? " Mais le narrateur n'est pas au bout de ses surprises. Lui, le spécialiste de la mafia, découvre que le couvent est un cercle de jeu aux mains des gangsters locaux. Mais ce couple excentrique ne recule devant rien et se lance dans la rénovation du couvent. L'amour rend aveugle mais l'amour des vieilles pierres aussi. Qu'importe, après l'enfer, le purgatoire, il y aura peut-être au bout du chemin de croix le Paradis.

06/2023

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BD tout public

Ciao bitume

Dans un monde qui semble au bord du gouffre, deux frères, las de leur vie urbaine, décident de fuir la ville et de prendre la route. Après avoir volé une pelleteuse en guise de véhicule, ils vont sombrer dans une suite d'engrenages de plus en plus désastreux, se retrouvant mêlés à une histoire de vengeance dont ils deviennent le bras armé, contre un sadique tueur d'animaux. Dans une ambiance glaciale et suffocante, ce road-movie violent et peuplé d'images hypnotisantes, la quête de liberté des deux anti-héros se transforme rapidement en une fuite inéluctable, loin de la civilisation. Le prodigieux travail graphique de Thomas Verhille, oscillant sans cesse entre réalisme et géométrie vertigineuse se marie à merveille aux circonvolutions d'un récit opressant où le drame est un acquis immuable et l'innocence refusée à tous les protagonistes, sans échappatoire.

03/2020

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Littérature Italienne

Bella Ciao

Mars 1946. Dans une luxueuse voiture avec chauffeur, Mrs. Giulia Masca revient dans son petit village du Piémont. Des années plus tôt, seule, enceinte et sans le sou, elle quittait la filature où elle travaillait depuis l'enfance et s'embarquait sur un paquebot à destination de New York. Sans un mot d'explication pour Anita, sa meilleure amie, ni pour Pietro, son fiancé. L'Amérique allait lui donner sa chance et la soulager d'un secret trop lourd à porter. L'Italie qu'elle retrouve a traversé deux guerres mondiales, vécu le fascisme et la guerre des partisans. Des années de batailles et d'espoir qui ont fait de Giulia une étrangère. Mais peut-on oublier d'où l'on vient ? C'est parmi les siens que Giulia pourra se réconcilier avec son passé. Raffaella Romagnolo construit la fresque poignante et sincère de l'Italie de la première moitié du XXe siècle à travers le destin de deux amies séparées par un douloureux secret. Un récit choral, qui retrace avec talent " une histoire italienne" , entre épopée féminine et saga familiale.

11/2021

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Littérature française

Bella Ciao

Myléna en avait assez. Je n'ai pas attendu qu'elle me largue, c'est moi qui suis parti. Au bord de l'océan, pour en finir. Quand j'ai repris pied sur le rivage, j'étais dessoûlé, nu comme une bête et ne possédais plus rien. Passé un rideau de pins, on voyait des vignes. J'y ai trouvé un emploi d'ouvrier agricole. Franck ne m'a pas épargné, avec lui on ne prend guère de gants. Les mains deviennent comme des pelotes d'aiguilles. J'ai continué à boire. J'ai appris cependant à travailler sans relever la tête. Est-ce ainsi que les hommes vivent? Oui, s'il y a un espoir au bout. Le mien était de regarder mes enfants en face. Et de reconquérir ma belle.

08/2009

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