Dans son dernier roman, La première qu'on regarde, publié chez J-C Lattès, l'écrivain Grégroire Delacourt utilisait le personnage de Scarlett Johansson. S'estimant atteinte dans son image, l'actrice américaine avait attaqué l'auteur et sa maison d'édition pour « l'exploitation frauduleuse et illicite de son nom, de sa notoriété et de son image au mépris de ses droits de la personnalité pour les besoins de la commercialisation et de la promotion d'un ouvrage qui contient de surcroît des allégations attentatoires à sa vie privée », précisait son avocat (voir notre actualitté).