La collection de livres du domaine public, numérisés et commercialisés par l'intermédiaire de la filiale marchande BnF Partenariats, fait couler de l'encre. Il nous a semblé important de souligner que l'utilisation de l'argent public, en vue d'une revente d'oeuvres du domaine public, n'était pas la méthode la plus respectueuse de la mission de service public. Frédéric Douin, des éditions X, nous a adressé un courrier dans lequel il manifeste un vif désaccord sur les idées défendues. Selon lui, cette approche est au contraire plutôt vertueuse. Nous reproduisons sa lettre dans son intégralité.