C'est un coin de désert où coulait une rivière. Enfin, ça, c'est ce que les vestiges de l'oued quasi asséché peuvent encore nous raconter. Mais dans le village de Al-Jannah, non loin du camp Oasis-1, monté par les forces militaires venues reconstruire un pont, et un hôpital, peut-être, seuls les fantômes coulent encore leur retraite. Et pas toujours des plus paisibles.