Mon cher Hervé, je viens de relire Jacques le Fataliste et son maître. Je me souvenais que c’était original et drôle, mais peut-être un peu creux. Non, ce n’est pas creux, et c’est extrêmement original et drôle. J’ai eu beaucoup de plaisir à reprendre ce texte qui est à la fois théâtre, roman, essai : Diderot a réussi à me faire « marcher », ou plutôt trotter, sur 240 pages, format « Pléiade ». 240 pages d’humour !