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Une fille en correction. Lettres à son assistante sociale (1952-1965)

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Hélène Lafon

Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.

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Livres, actualités : tout sur Jean d'Ormesson

Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.

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Livres, actualités : tout sur Amélie Nothomb

Née le 9 juillet 1966 à Etterbeek, en Belgique, Amélie Nothomb fait son entrée dans le monde des lettres françaises avec la publication de son roman Hygiène de l'assassin par Albin Michel en 1992 : à partir de cette date, l'auteure livrera quasiment annuellement un nouveau livre à son éditeur, auquel elle est restée fidèle depuis ses débuts. 

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“Être soi-même ne devrait jamais poser problème”

Liberté d’expression, discrimination positive, morale : Vitaly Malkin décortique les grands enjeux de notre temps. Né en URSS, il a vécu mille vies : ingénieur, physicien, banquier, homme politique, philanthrope. Ici, il livre son regard lucide sur le monde et, indéniablement, vise juste !  

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Romans, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien renommé, célèbre pour sa série de romans policiers mettant en scène le commissaire Montalbano. Il est né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle, en Sicile, et a grandi dans la ville voisine de Agrigente.

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Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

Extraits

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Sociologie

Une fille en correction. Lettres à son assistante sociale (1952-1965)

Dans le sous-sol d'une association chargée de l'enfance à Avignon, sur des étagères en acier des années 1950, se succèdent trois cents mètres de dossiers noircis par le temps. "C'est un débarras", me lance Chantal, la cheffe du service, "vous ne trouverez que du vieux papier !". Des fouilles surgissent 160 lettres entre Micheline - enceinte à 20 ans - et Odile, assistante sociale auprès du tribunal pour enfants. L'histoire commence ainsi. Une grossesse hors mariage et en situation de pauvreté, c'est une vie scellée dans un foyer maternel. Tandis qu'un cercle de femmes "sages" s'occupe de Micheline, celle-ci se révolte et s'enfuit. On la recherche dans tout le Roussillon. Odile la rattrape. Micheline aime sortir au bal ? L'assistante sociale l'en dissuade et la menace. Et pourtant, elle l'aime bien, cette échevelée ! C'est "ma fille", écrira-t-elle un jour. C'est dans l'entrelacs de cette correspondance, sur le fil des relations entre Micheline et Odile, que se tisse le récit de Jean-François Laé autour des plaintes, de la soumission et de la révolte de ces jeunes femmes si tôt assignées. Filles célibataires, indisciplinées ou frondeuses, souvent en bisbille avec leurs familles, elles sont les oubliées de notre histoire. A travers la révolte de Micheline, Jean-François Laé poursuit inlassablement son exploration des vies "faibles", fragiles, celles "d'anormaux" qui lancent un défi à l'ordre social.

08/2018

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Littérature étrangère

Journal. 1955-1962

" N'ai-je pas écrit tout ceci au jour le jour, selon mon état d'âme, mon humeur, selon les circonstances, l'atmosphère créée par l'événement et le retentissement qu'il a pu avoir dans mon cœur ? Et pourquoi ai-je ainsi écrit au fur et à mesure si ce n'est pour témoigner, pour clamer à la face du monde la souffrance et le malheur qui ont rôdé autour de moi ? Certes, j'ai été bien maladroit, bien téméraire, le jour où j'ai décidé d'écrire, mais autour de moi, qui eût voulu le faire à ma place et aurais-je pu rester aveugle et sourd pour me taire et ne pas risquer d'étouffer à force de rentrer mon désespoir et ma colère ? Et maintenant que c'est fait, que tout est là, consigné, bon ou mauvais, vrai ou faux, juste ou injuste, maintenant que nous entrevoyons la fin du cauchemar, faudra-t-il garder tout ceci pour moi ? Après ce qui s'est écrit sur la guerre d'Algérie, bon ou mauvais, vrai ou faux, juste ou injuste, il convient qu'à cela s'ajoute mon journal, comme une pièce supplémentaire à un dossier déjà si lourd. Je sais combien il est difficile d'être juste, je sais que la grandeur d'âme consiste à accepter l'injustice pour éviter soi-même d'être injuste, je connais enfin les vertus héroïques du silence. Bonnes gens, j'aurais pu mourir depuis bientôt dix ans, dix fois j'ai pu détourner la menace, me mettre à l'abri pour continuer de regarder ceux qui meurent. Ceux qui ont souffert, ceux qui sont morts pourraient dire des choses et des choses. J'ai voulu timidement en dire un peu à leur place. Et ce que j'en dis, c'est de tout cœur, avec ce que je peux avoir de discernement et de conscience. "

03/2001

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Histoire de France

Lettres à Anne (1962-1995)

"Je vous écris tandis que s'éteignent les dernières notes de notre "Alléluia". Souvent j'écoute ce chant. Il me parle de vous, Anne. Je pense qu'il vous ressemble, ou du moins, à une certaine Anne, la plus secrète, la plus vraie, la plus exigeante. J'aime que cette Anne-là existe. Pour l'atteindre il faut du silence et de la force. Ce n'est pas commode. Mais passionnant". En 1962, un homme politique français de quarante-six ans rencontre à Hossegor une jeune fille de dix-neuf ans. Il lui écrira, jusqu'à la veille de sa mort, plus de mille lettres témoignant d'un amour secret et indéfectible. Ce recueil nous dévoile des aspects totalement inconnus de celui qui fut deux fois président de la République.

11/2018

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Histoire de France

Lettres à Anne. 1962-1995

En 1962, un homme politique français de quarante-six ans rencontre à Hossegor, chez ses parents, une jeune fille de dix-neuf ans. La première lettre qu'il lui adresse le 19 octobre 1962 sera suivie de mille deux cent dix-sept autres qui se déploieront, sans jamais perdre de leur intensité, jusqu'en 1995, à la veille de sa mort. Les lettres de celui qui fut deux fois président de la République nous dévoilent des aspects totalement inconnus d'un homme profondément secret que chacun croyait connaître. Deux lettres, parmi des centaines, témoignent de la constance de cet amour. 15 novembre 1964  :   "Je bénis, ma bien-aimée, ton visage où j'essaie de lire ce que sera ma vie. Je t'ai rencontrée et j'ai tout de suite deviné que j'allais partir pour un grand voyage. Là où je vais je sais au moins que tu seras toujours. Je bénis ce visage, ma lumière. Il n'y aura plus jamais de nuit absolue pour moi. La solitude de la mort sera moins solitude. Anne, mon amour". Et la correspondance prend fin le 22 septembre 1995 : "Tu m'as toujours apporté plus. Tu as été ma chance de vie. Comment ne pas t'aimer davantage ?".

10/2016

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Critique littéraire

Une passion foudroyée . Lettres d'amour (Paris 1955-Budapest 1956)

" Mon ange s'est envolé, je ne pourrai lui reprocher car c'est dans la nature d'un ange puisqu'il a des ailes. Comment avez-vous fait, mon ange chéri, pour emporter tant de choses avec vous : le beau temps, le soleil, la gaieté, la raison de vivre, les couchers tardifs, les danses sans fin, les câlins éternels, et les baisers incalculables. Je reste seule avec mon immense amour désœuvré et n'ai plus que cette plume et mes souvenirs pour vous rejoindre {...] ". Lettre d'Annie, le 2 mai 1955, Paris. " Ai reçu tes lettres - Je ne sais ce qui se passe en moi - Je vous aime plus que ma vie - Bonsoir mon ange - Pedra ". Télégramme de Jean-Pierre, 6 mai 1955, Palma de Majorque. A partir du printemps 1955, Annie Falk et Jean-Pierre Pedrazzini commencent à vivre un amour absolu, démesuré, fusionnel. Mais Jean-Pierre, l'un des reporters-photographes les plus talentueux de sa génération, doit souvent s'absenter afin d'immortaliser l'Histoire en marche. Pour atténuer la douleur de ces séparations, " l'Ange et le Prince charmant " ne cessent de s'écrire des lettres, cartes et télégrammes passionnés. Témoignage rare sur une période mouvementée de notre histoire récente et mémoire bouleversante d'un amour fulgurant, cette correspondance s'interrompt brutalement. Alors qu'il couvre la révolution qui secoue la Hongrie à l'automne 1956, " Pedra " est grièvement touché par une rafale de mitrailleuse. Rapatrié à Paris, il succombe à ses blessures le 7 novembre 1956. Cinquante ans après cette tragédie, Jean-Pierre et Annie, décédée en décembre 2005, nous invitent à partager leur bonheur, leur douleur, et la beauté unique de sentiments exceptionnels. Comme promis â sa mère Annie avant sa disparition, Marine Falk-Leplat rétablit aujourd'hui une vérité oubliée en publiant les lettres, photographier et noter de voyage qui composent Une Passion foudroyée.

10/2006

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Photographie

Vers l'orient. 5 volumes, Japon 1958 ; Chine 1957 ; Indé Népal 1956 ; Iran Afghanistan Pakistan 1955-1956 ; Turquie 1955, Edition bilingue français-anglais

Turquie, Iran, Afghanistan, Pakistan, Inde, Chine puis Japon : six pays traversés et photographiés par Marc Riboud entre 1955 et 1958. Les Éditions Xavier Barral publient à l’automne 2012 Vers l’Orient, un coffret de cinq ouvrages, véritable carnet de notes visuelles réunissant les plus belles photographies prises lors de ce long et lent voyage entrepris pour rejoindre initialement Calcutta. Comme beaucoup d’autres avant lui, Marc Riboud a eu besoin de partir, de quitter la France, sa famille et la reconstruction de l’après-guerre. Âgé de 30 ans, ingénieur de formation, il achète la vieille Land Rover de George Rodger et se met en route au printemps 1955. Sans avoir lu ni les grands récits de Nerval ni ceux de Segalen, il a été bercé en revanche dès très jeune par les récits de voyage de son père, de retour d’un tour du monde entrepris dans les années 1910. Désireux de découvrir ces civilisations millénaires, il s’arrête d’abord à Istanbul, avant de poursuivre son chemin par les admirables paysages de Cappadoce et d’Anatolie. Il traverse la Perse pour rejoindre l’Afghanistan et ses zones tribales, comme l’avait fait peu de temps avant lui Nicolas Bouvier. En 1956, il arrive en Inde, sa destination initiale, qu’il sillonne pendant près d’une année : Calcutta, Bombay, Delhi, Darjeeling, le Rajasthan, Bénarès jusqu’au Népal. C’est de là qu’il entre en Chine communiste, où il est l’un des rares Occidentaux à obtenir un visa. Il termine son « Grand Tour » au Japon en 1958, alors en pleine reconstruction après la guerre et en pleine mutation sociétale. De retour en France, Marc Riboud ramène des milliers de photographies, traces de ces cultures ancestrales, que l’on retrouve partout, dans les monuments, les gestes, la beauté des femmes, l’hospitalité des gens, le temps qui n’est pas compté. Ceux qui connaissent l’Orient d’aujourd’hui découvriront peut-être dans ces photos réalisées il y a près de soixante ans ce qui reste quand tout semble changer, et, derrière l’occidentalisation grandissante, le fil caché de l’intemporalité.

11/2012

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