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Travail vivant contre capital

Dossiers

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Dossier

Procès Internet Archive : l'édition contre le prêt numérique contrôlé

En juin 2020, quatre groupes d'édition, Hachette, HarperCollins, Wiley et Penguin Random House, portent plainte contre la plateforme patrimoniale Internet Archive, l'accusant de « violation massive du copyright ». En cause, la bibliothèque d'urgence mise en place par le site à l'occasion de la pandémie du coronavirus.

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Dossier

La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Dossier

Pour 2023, Un Week-end à l'est invite Tbilissi, capitale de la Géorgie

Après avoir exploré des villes telles que Varsovie, Kyiv, Budapest, Belgrade, Sofia et récemment Odessa en soutien à l'Ukraine, "Un week-end à l'Est" pose ses valises pour sa septième édition à Tbilissi, le cœur de la Géorgie. Cette année, la réalisatrice et auteure Nana Ekvtimishvili en est la marraine, avec Nino Haratischwili comme invitée principale, et un focus spécial sur l'auteur d'origine géorgienne, Emmanuel Carrère.

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Dossier

Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

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Dossier

La nuit de la littérature 2020 : Paris ouvert aux auteurs

Paris est non seulement une grande capitale culturelle (plus de 1000 événements ont lieu chaque jour), mais c’est aussi la capitale qui rassemble le plus grand nombre de centres et d’instituts culturels étrangers. C’est ainsi qu’en 2002, 31 centres culturels ont répondu à l’appel de Robert Desbiens, directeur du Centre culturel canadien, afin de créer ensemble et sur une base pérenne, le Forum des Instituts Culturels Étrangers à Paris (FICEP), le seul et unique réseau d’instituts culturels étrangers au monde. 

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Dossier

À la découverte de la littérature tchèque

Si l’on résume hâtivement – et maladroitement – la littérature tchèque à Milan Kundera, c’est bien souvent par une méprise culturelle. Michal Fleischmann, ambassadeur de la République tchèque en France, abordait cette question différemment : « La littérature tchèque est une pensée. Une pensée, une voie de la littérature européenne venue de la profondeur d’un peuple au centre de l’Europe. » Voici un large dossier, destiné à parcourir, avec un spectre élargi, les oeuvres et les êtres.

Extraits

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Philosophie

Travail vivant contre capital

"Je vous propose de lire la composition du capital du point de vue des luttes des travailleurs, des résistances de la multitude face au commandement du capital — et éventuellement du point de vue des soulèvements du prolétariat. Je veux parler d'histoire du prolétariat, du rapport antagoniste entre le capital et le travail vivant, et par conséquent de la transformation de la composition technique et de la composition politique de la force de travail, des mutations des procès de travail et de valorisation, et puis enfin de celles des formes de vie et des institutions." En février 2018, Antonio Negri, auteur d'Empire (avec Michael Hardt, 2000), invité à l'Ecole normale supérieure par le séminaire étudiant Lectures de Marx, présente sort analyse du développement capitaliste, où l'économie est indissociablement politique. Le texte de la conférence est précédé d'un entretien dans lequel il revient sur le sens qu'il a attribué à la lecture de Marx aux différentes étapes de sort parcours, de l'opéraïsme jusqu'à la multitude en passant par l'exil et la prison.

09/2018

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Sociologie

Capital et travail

Capital et travail / Emmanuel Lévy Date de l'édition originale : 1909 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Ecologie

Terre et capital. Pour un communisme du vivant

Face au changement climatique, trois grands scénarios se dessinent : le premier fonde ses espérances sur les innovations techniques ; le second projette une régulation étatique des pratiques déprédatrices et polluantes ; le troisième, tragique, attend que la catastrophe nous ramène aux conditions éthiques d'une vie sobre. Tous passent à côté du problème central : les causes de la catastrophe environnementale sont inscrites dans la structure du capitalisme. Alors quelle serait la politique la plus adaptée à l'Anthropocène ? Le communisme ! Le capital étant un système d'appropriation généralisée des conditions naturelles de la subsistance, humains comme non-humains sont dépossédés de l'accès à leurs conditions de reproduction. Le mot d'ordre historique du communisme, l'abolition de la propriété privée, n'en est donc que plus actuel. Mais il doit être repensé à partir de la condition écologique. En confrontant les débats anthropologiques contemporains (Descola, Tsing, Latour, Viveiros de Castro, Haraway) au marxisme (Marx, Williams, Mariàtegui), Terre et capital pose les bases d'un naturalisme historique : si les milieux sont toujours produits par l'action conjointe d'espèces différentes, les formes dans lesquelles la nature nous apparaît ont une histoire culturelle et politique. Le communisme du vivant a commencé à s'inventer chez des penseurs marxistes qui cherchaient à penser l'exploitation conjointe de la terre et des travailleur·se·s. Ils ont fondé les luttes pour la reproduction sociale et écologique sur la puissance révolutionnaire de la paysannerie. Le naturalisme historique inaugure une histoire écologique des sociétés et annonce un avenir communiste pour la Terre.

11/2021

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Essais généraux

Vivant. Entretiens à contre-temps

La rencontre autour de Pierre Rabhi de trois amis aux parcours singuliers et engagés. Un livre testamentaire inédit publié à l'occasion du premier anniversaire de sa mort. Amis de longue date, Pierre Rabhi, Fabrice Nicolino et Bernard Chevilliat souhaitaient depuis longtemps confronter leurs visions. Ils avaient entrepris de le faire en octobre 2021. Pierre Rabhi a quitté ce monde le 4 décembre 2021 avant que la rédaction de cet ouvrage ne soit achevée. Mais la matière était déjà là, fruit d'heures d'échanges enregistrées et d'une longue cohabitation amicale sans compromission. Pierre Rabhi, philosophe et chantre de l'agroécologie natif du Sahara, Fabrice Nicolino, journaliste et activiste (" Nous voulons des coquelicots ") venu du " sous-prolétariat de la banlieue " et ayant survécu à deux attentats (dont celui de Charlie Hebdo), et Bernard Chevilliat, biologiste franco-anglais ardéchois d'adoption et fondateur de l'entreprise de cosmétique bio Melvita et de la revue Ultreïa ! , ont en effet des parcours de vie singuliers mais ils ont tous trois oeuvré, chacun dans leur sphère et à leur niveau, à l'émergence d'une société plus écologique et plus humaine. Ils reviennent ici à bâtons rompus sur leurs trajectoires de vie, les prémisses philosophiques et métaphysiques de leurs démarches, leurs visions de l'avenir ou encore les propos polémiques qui ont pu blesser l'agroécologiste humaniste au terme de sa vie. Un ouvrage testamentaire pour Pierre Rabhi et un livre d'espérance pour ses deux amis.

11/2022

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Ouvrages généraux

Critique sociale. Capital et travail, Tome 1

'"Outrecuidance des théoriciens qui traitent du haut en bas les révolutionnaires, sous prétexte qu'ils ne possèdent pas une formule de reconstruction pour remplacer ce qui tombe. Pourquoi les révolutionnaires n'adopteraient-ils pas une formule, tout aussi bien que ces organiciens si superbes ? Ils n'ont qu'à choisir entre les panacées qu'on leur offre, entre les édifices élevés par tant d'architectes. Seraient-ils donc ignorants, au point de ne pas connaître les palais imaginés par tous ces amateurs de bâtisse ? C'est en vérité ce que semblent croire les fondateurs de mondes nouveaux. Dès que vous n'adoptez pas une école, c'est que toutes vous sont étrangères. Votre ignorance seule peut vous retenir indifférent entre tant de prisons-modèles où les poursuivants organiques prétendent claquemurer l'avenir. Fouriérisme, Saint-Simonisme, communisme, positivisme, c'est à qui s'est empressé d'édifier de bagnes tout neufs, où l'humanité jouira du bonheur de la chaîne perfectionnée. Tous vous demandent une formule, une administration, un système, une réglementation, les anarchistes, les anti-gouvernementaux, aussi bien que le reste. Les uns réclament un ordre nouveau centraliste, les autres le veulent décentraliser, mais tous s'accordent à réclamer la réglementation. Singulière monomanie ! Les révolutionnaires n'ont point prétention de construire de toutes pièces un monde neuf d'après leurs seules lumières. Ils voient fort bien par où pèche l'ordre ancien. Ils ont instruit le procès du coupable qui barre la route à l'humanité. Ils l'ont jugé, condamné, ils l'exécutent. Au premier banc des accusés s'étale le christianisme, ou plutôt le monothéisme. C'est l'empoisonneur par excellence, l'ingrédient mortifère qu'il faut expulser du corps social. Dit et vu, sentence sans appel. Le théisme sous ses trois formes, judaïsme, christianisme, islamisme, doit être mis à néant. Là est la boussole, le point fixe du compas. Vient ensuite le capital, question infiniment plus complexe et plus difficile. En principe, d'après les lois de la morale, c'est aussi une question jugée. En pratique, c'est un abîme inconnu, où l'on ne peut marcher que la sonde à la main. Est-il possible de bâtir d'ores et déjà un édifice d'où le capital soit proscrit ? Avons-nous le plan, les matériaux, tous les éléments de cette maison précieuse ? Les sectaires disent oui, les révolutionnaires disent non, et il n'y a de vrais socialistes que les révolutionnaires, car ils sauvegardent bien mieux l'avenir qui appartient au socialisme. Dans cette voie, ils se rapprochent des économistes qui demandent au gouvernement le simple maintien de l'ordre, rien de plus, nulle intervention constituante. Seulement, les économistes invoquent cette action gouvernementale en faveur de l'organisme existant, et les socialistes l'invoquent contre, parce que l'organisme actuel est reconnu mauvais, qu'il est condamné par la justice, par le sentiment, par toutes les protestations de la conscience humaine". ''

01/2023

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Philosophie

Toujours contre le travail

La remise en cause du travail est une remise en cause du "sens de la vie". Et je postule que si l'Homme ne peut se passer de travailler, il ne peut se passer non plus de critiquer le travail car loin d'être supérieur aux autres activités humaines, le travail en est au contraire la lie puisqu'il empêche, par la place qu'il occupe dans la vie et dans les rapports sociaux, la création et l'invention d'autres rapports. Si priver l'Homme de son travail revient à le priver de son cerveau et de ses mains, à en faire un zombie puisqu'il ne sait guère faire autre chose que travailler ou recomposer ses forces pour attaquer un nouveau cycle de travail, il nous faudrait alors constater que notre évolution a réduit l'Homme à un être dont le cerveau et les mains ne servent plus qu'une seule fin: le travail. Et abandonner toute critique, "nous imaginer heureux", comme le disait Camus...

03/2010

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