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Sous le vent du monde Tome 5 : Ceux qui parlent au bord de la pierre

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Carnet de bord d'Audrée Wilhelmy

En août / septembre 2024, Audrée Wilhelmy publiera au Tripode son prochain roman, Peau-de-sang. L'autrice québécoise a choisi ActuaLitté pour raconter l'histoire qui précède l'ouvrage : entre carnet de bord et feuille de route, voici l'aventure inédite d'un livre à venir, et de sa créatrice.

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Dossier

La littérature à Montmorillon, sous la présidence de Franck Bouysse

Du 2 au 4 juin prochain, la manifestation littéraire dédiée aux territoires et à leurs réalités en mouvement revient. Ouverte à toutes et tous des plus petits aux plus grands, elle offrira lectures, rencontres, débats, projections, ateliers, spectacle jeune public, repas festif, balades patrimoniales... 

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Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Terres de Paroles 2024 : “Dans le bain du monde”

« Rien de tel qu’un enfant pour vous mettre dans le bain du monde », écrivait Christian Bobin, dans son recueil Tout le monde est occupé (éd. Mercure de France, 1999). Pour cette nouvelle édition itinérante en Seine-Maritime, le festival Terres de Paroles renoue avec littérature, théâtre, cinéma ou encore musique. 

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Dossier

Conseils de lectures : chaque semaine, “Les lecteurs en parlent”

Parce que le bouche-à-oreille reste l’une des recommandations favorites des lecteurs, ActuaLitté a initié avec le réseau social Babelio une nouvelle chronique. Un rendez-vous hebdomadaire qui recense les quinze ouvrages qui intriguent, attirent, fascinent... Votre Pile À Lire n’est pas prête de prendre fin !

Extraits

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Romans historiques (poches)

Sous le vent du monde Tome 5 : Ceux qui parlent au bord de la pierre

32 000 ans av. J.-C., au paléolithique supérieur, au bord de la mer qui sera un jour la Méditerranée, vivent les Doah, hommes de Cro-Magnon. Isolés sur le bord de la grande eau, les Doah n'ont pas croisé d'autres hommes depuis longtemps. Il pleut sans cesse et la mer continue de monter, comme si elle devait un jour tout submerger. Dohuka, le chamane de la tribu, a des doutes. Il se demande s'il a bien su comprendre sa dernière vision où " ceux du dessous " disaient aux Doha de rester sur le rivage. Et voici plusieurs années que son frère Naobah est parti de l'autre côté de la montagne, à la recherche d'une terre nouvelle pour la tribu... Naobah et Aruaeh, sa compagne, ont traversé les hautes montagnes enneigées. Ils y ont rencontré les Wêrehé, des hommes étranges, les derniers Néandertaliens. Et c'est dans leurs huttes que Tuhi-horea, l'enfant né du ventre de Aruaeh, a fait ses premiers pas avant de disparaître. Sur les bords de la grande eau, Dohuka a peut-être compris, enfin, le message des " forces du dessous ". Voilà qu'apparaissent à ses yeux deux créatures - mi-Doah, mi-Wêrehé - témoins du destin incroyable et tragique de Naobah et d'Aruaeh.

04/2003

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Littérature française

Ceux qui partent

Tout ce que l'exil fissure peut ouvrir de nouveaux chemins. En cette année 1910, sur Ellis Island, aux portes de New York, ils sont une poignée à l'éprouver, chacun au creux de sa langue encore, comme dans le premier vêtement du monde. Il y a Donato et sa fille Emilia, les lettrés italiens, Gabor, l'homme qui veut fuir son clan, Esther, l'Arménienne épargnée qui rêve d'inventer les nouvelles tenues des libres Américaines. Retenus un jour et une nuit sur Ellis Island, les voilà confrontés à l'épreuve de l'attente. Ensemble. Leurs routes se mêlent, se dénouent ou se lient. Mais tout dans ce temps suspendu prend une intensité qui marquera leur vie entière. Face à eux, Andrew Jónsson, New-Yorkais, père islandais, mère fière d'une ascendance qui remonte aux premiers pionniers. Dans l'objectif de son appareil, ce jeune photographe amateur tente de capter ce qui lui échappe depuis toujours, ce qui le relierait à ses ancêtres, émigrants eux aussi. Quelque chose que sa famille riche et oublieuse n'aborde jamais. Avec lui, la ville-monde cosmopolite et ouverte à tous les progrès de ce xxe siècle qui débute. L'exil comme l'accueil exigent de la vaillance. Ceux qui partent et ceux de New York n'en manquent pas. A chacun dans cette ronde nocturne, ce tourbillon d'énergies et de sensualité, de tenter de trouver la forme de son exil, d'inventer dans son propre corps les fondations de son nouveau pays. Et si la nuit était une langue, la seule langue universelle ?

08/2019

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Littérature française

Kel awal. Au nom de ceux qui parlent

Que ceux qui ont des oreilles écoutent ! Nous étions des enfants du sable et des collines, humbles et qui honoraient soleil et désert. Tout ce que les hommes d'Ighlas faisaient aujourd'hui, ma tribu le faisait autrefois, ainsi que les parents de nos parents l'avaient eux-mêmes hérité de nos ancêtres. Ce n'était ni étroitesse d'esprit, ni ignorance : c'était ainsi qu'on vivait, et c'était donc ainsi que se répétait la vie.

03/2022

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Lecture 6-9 ans

Yakari Tome 10 : Les pierres qui parlent

Graine-de-Bison dort mal : toutes les nuits, son grand-père lui apparaît en rêve et lui demande de retrouver un mystérieux objet... Aidé de ses amis Yakari et Petit Tonnerre, il part à la recherche de ce fabuleux trésor ! Mais leur route est pleine de dangers, et Graine-de-Bison devra gagner en sagesse s'il veut déchiffrer l'énigme lancée par son grand-père...

03/2020

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Ouvrages généraux

Questions disputées sur la philosophie africaine. La philosophie de ceux qui ne parlent pas comme vous et nous

"Ce livre prend prétexte sur l'énigme Tempels pour exposer la complexité de la philosophie de ceux qui avaient été considérés, à tort, comme ne parlant pas les langues abstraites, mais plutôt ontologiques : les Africains des langues bantu. L'originalité de ce livre ne réside pas tant dans sa démarche phénoménologique, mais dans le fait qu'en passant par la procédure des questions disputées, dans la suite de la tradition issue de Saint Thomas d'Aquin, il réorganise ''la lecture et l'écriture de la philosophie africaine contemporaine à partir d'un fond culturel religieux qui l'insère dans la tradition chrétienne''. Il révèle un dialogue instructif et heuristique entre philosophie, théologie et politique en Afrique contemporaine, particulièrement au Congo, où s'enchevêtrent les questions philosophiques, religieuses et politiques aux prises avec plusieurs visages de la violence : violence totalitaire, violence de l'imaginaire et du fétichisme, violence prédatrice des ressources et des corps. [... ] En somme, Prince Kaumba Lufunda nous conduit, à partir des questions disputées sur la philosophie africaine, nées à partir de l'oeuvre de Placide Tempels, aux larges de la philosophie chrétienne africaine qui croise les préoccupations religieuses, culturelles, politiques, humanistes et même écologiques". (Extraits de l'Avant-propos d'Emmanuel Banywesize).

03/2023

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Littérature étrangère

Au bord des fleuves qui vont

Un homme est hospitalisé à Lisbonne : dans ses viscères, une bogue ne cesse de grossir en silence, que le médecin appelle cancer. La douleur, l'opération, les traitements le plongent dans un état second. Remontent alors à la surface des souvenirs enfouis depuis toujours, qui se bousculent et s'entremêlent. Furieux contre cette mort "terrible et comique" qui se moque de lui dans l'obscurité, humilié par sa déchéance physique, "monsieur Antunes du lit numéro onze" divague dans les méandres de sa mémoire et c'est alors tout le monde de son enfance qui se rappelle à lui, avec ses sons, ses odeurs, ses visages.... Tandis que médecins et infirmières défilent à son chevet, passé et présent se télescopent, et le voilà emporté, en compagnie de défunts décidément pleins de vie, vers la source du Mondego dans la montagne sauvage, couverte de pins et d'eucalyptus. Sur ses contreforts, il revisite le bourg et la maison de ses grands-parents, la mine de wolfram et l'hôtel des Anglais... Alors que le mal "aboie dans son ventre", ce passé ravivé est comme un garde-corps, le seul peut-être à pouvoir l'empêcher de tomber dans "le ravin" qui s'ouvre au bord de son lit d'hôpital. Le livre, d'une brièveté assez rare chez Lobo Antunes, comprend quatorze chapitres, chacun portant comme titre une date allant du 21 mars au 4 avril 2007, autant de jours que le narrateur aura passés à l'hôpital. António Lobo Antunes ne se contente pas de passer d'un monde à l'autre, il amalgame passé et présent, au moment même où le narrateur semble promis à ne plus avoir d'avenir. Pour cela, il entrelace avec sa virtuosité coutumière les couches de temps, il livre mille et un récits, grimpe à toutes les branches des arbres généalogiques, invente une parentèle fournie, avec amis, voisins, vicaire et évêque, pharmacien et notaire, tout un monde peuplé de spectres hauts en couleurs. Son écriture tantôt heurtée, tantôt fluide, est comme toujours extrêmement sensorielle. On entend sans cesse des échos, des rumeurs (comme celles qui proviennent de l'album de photos de famille), le cri des milans, des corneilles, des corbeaux, les trains qui passent au fond de la vigne, le glas qui sonne, les châtaigniers qui discourent toute la nuit sur "la façon qu'a la terre de nous mépriser", on sent le parfum des eucalyptus qui "épellent le vent autour de l'hôtel", des landes de bruyère... Cette liberté et ce voisinage de l'émotion déchirante et des saillies comiques, formidablement ajustées, sont un des grands plaisirs que l'on ressent en lisant Lobo Antunes. Car il s'est évidemment refusé à tirer parti de la maladie dont il a bel et bien souffert pour se laisser dicter un changement de registre : les dates en tête de chapitres semblent là pour se moquer de ce qu'aurait pu être le journal pathétique d'un cancéreux à l'article de la mort. Lobo Antunes, avec son style bouillonnant, foisonnant et indomptable, a mis le mal qui l'avait atteint au service d'une nouvelle exploration de la vie, une remontée vers la source de l'existence, vers les mystères et la "joie perdue" de l'enfance.

02/2015

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