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Sobhi Habchi

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Poésie

Cantate pour la paix en Europe. Edition bilingue français-allemand

Sobhi HABCHI a écrit cette cantate pour honorer l'Europe et la mémoire de l'abbé Franz STOCK qui a sauvé de nombreuses vies humaines pendant la seconde guerre mondiale ; son procès en béatification est en cours à Rome. Sur une musique d'Alexandre BENETEAU, cette cantate a déjà été exécutée en France et dans sa version allemande au printemps 2012 dans deux villes de Westphalie, pays natal de Franz STOCK. Une première version de cette Cantate a été réalisée en 2012. Elle est aujourd'hui rééditée avec deux textes qui éclairent la genèse de l'oeuvre au plan textuel (préface de Daniel-Henri PAGEAUX, professeur émérite à la Sorbonne Nouvelle) et musical (postface du musicologue Bruno MOYSAN, connu par ses travaux sur le virtuose hongrois Franz LISZT), Le traducteur en allemand, Raymond LOEWENTHAL, vit à Reims. Agrégé de l'Université, professeur honoraire de Première Supérieure, il mène parallèlement une activité de musicien (baryton) et de photographe.

12/2018

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Poésie

Prophète, mon Ami. Thrènes pour Michel Hayek (1928-2005). Tombeau pour le Père Hayek.

"Thrène" : chant triste. Le mot n'est plus guère utilisé de nos jours. Sobhi Habchi le reprend ici pour honorer, comme dans les temps anciens, son ami le plus cher, disparu en septembre 2005. Mgr Michel Hayek, "le Père Hayek", comme on l'appelait affectueusement en France comme au Liban, a été une figure exemplaire du dialogue entre les cultures et entre les religions. Universitaire, poète, journaliste, chercheur et admirable prédicateur, il est pour Sobhi Habchi avant tout un "prophète". Pour reprendre deux vers de ce recueil : il apprenait aux autres "à résider dans la maison de la Vérité", à les "installer dans la Juste Parole". Sobhi Habchi célèbre un homme qui fut à la fois un penseur et un visionnaire, un homme de recherche et d'action. Pour ce témoin d'un demi-siècle de bruit et de fureur, qui a vécu dans sa chair le drame de sa patrie (le Liban), Sobhi Habchi a rendu un ultime hommage, d'abord en 2006, puis dans cette nouvelle version augmentée d'un Ve chant : " Dans l'Orient impossible ".

04/2006

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Poésie

Sur le chemin de haute solitude. Postface de Daniel-Henri Pageaux.

Dans ce nouveau recueil poétique, Sobhi Habchi médite sur la condition amoureuse et ses rapports avec l'être dans le monde, entre Orient et Occident. C'est pourquoi l'acte de la poésie est ici un acte de connaissance intuitive ou cognitive par excellence. Les dix livres ou cahiers qui composent ce présent recueil éveillent chez le lecteur des évidences oubliées qui sont l'essence même de toute vision, de toute illumination. De là, le poème porte dans ses fragments les traces d'une expérience privilégiée qui est à l'origine de tout instant poétique digne de ce nom. Sobhi Habchi s'est engagé dans ce "chemin de haute solitude" pour être un et multiple, "vivre en ton ombre", pour faire d'une ombre la matière d'un chant, non pas seulement nouveau, mais profondément personnel. Si le corps s'est évanoui, si l'amour n'est plus qu'un souvenir fuyant et lancinant, le poète demeure "le gardien de tes rêves". Et cette ombre qui est aussi en lui comme une intime blessure reste "mon guide et mon premier chemin" : puissante, étrange, nouvelle et formidable leçon poétique.

06/2014

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Poésie

Les pages blanches du hasard.

Dans Les pages blanches du hasard, Sobhi Habchi offre au lecteur une suite de poèmes qui sont tout autant des états poétiques que des méditations dans lesquelles le poète chante la vie et ses métamorphoses devant l'histoire et le devenir. La vision aide à mieux dévoiler le réel, l'écriture qui prend parfois des accents prophétiques donne à l'acte d'écrire un poids humain et à l'oeuvre créatrice sa valeur première de témoignage. Dans Les pages blanches du hasard, le lecteur découvrira un état des lieux de l'âme qui ne cesse de multiplier ses voix pour mieux cerner l'essentiel de la condition humaine devant l'amour, la guerre et la mort. Ecrits et conçus comme un voyage intérieur, ces poèmes témoignent également des sources et des frontières entre Orient et Occident. C'est donc à une quête d'authenticité qu'a voulu se livrer Sobhi Habchi, loin de tout jeu verbal, de tout artifice qui menace souvent l'inspiration et l'imaginaire des poètes d'aujourd'hui.

09/2013

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Critique littéraire

Les souffles de l'aurore. Acculturations et modernités au Liban et au Proche-Orient ; De Sanchuniathon de Béryte à Gibran Khalil Gibran

Organisé en sept chapitres, ce nouveau livre de Sobhi Habhi se veut un retour aux sources, aux origines historiques et mythiques d'un Liban qui ne cesse, au coeur même des dangers entre l'Orient et l'Occident, de déranger et d'étonner notre monde. Dans notre monde, laïc ou théocratique, qui célèbre volontiers la pensée unique, un certain message de poésie, d'amour et de paix ne se fait plus entendre et les souffles de l'esprit venus des cèdres antiques ne se font plus sentir. Dans les trois premiers chapitres, le lecteur trouvera des questions et des réponses personnelles, biographiques et toujours provisoires, à une certaine obsession de l'écriture : pourquoi écrire en deux ou trois langues ? Et pourquoi écrire tout court ? Dans les autres chapitres, Sobhi Habchi rappelle le rôle du Liban comme espace de liberté par lequel les idées et l'ouverture sur l'étranger, l'Occident en général et la France en particulier, se sont diffusées, grâce à la langue et la pensée française adoptées par une majorité de Libanais depuis la fin du XIXe siècle. Mais cela a supposé, en contrepartie, deux phénomènes culturels complémentaires : une suite d'acculturations et une modernité parfois superficielle, trompeuse aussi, problématique pour toutes les générations de poètes et de penseurs qui se sont succédées. Deux noms émergent et s'imposent : Sulaymân al-Boustâny, le premier traducteur de l'Iliade d'Homère dans la langue du Coran offre, dans une "introduction" de deux cents pages une idée, une vision de la poétique d'une puissante modernité et, plus proche de nous, Gibran l'auteur du Prophète, une oeuvre maîtresse de notre temps, et d'une authentique "prophétie" : "D'un poète chrétien aux musulmans" qui remonte à plus d'un siècle (1913). On découvrira enfin de nouvelles voix poétiques, en dialectal libanais, comme Michel Trad et, au fil des études, une certaine idée de l'écriture poétique et de la mission possible de la poésie "en ces temps de détresse" . Cette nouvelle édition est augmentée d'une "Conclusion en guise de postface" qui propose quelques éclaircissements sur la logique et la structure de l'ouvrage.

06/2015

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Critique littéraire

Des lyres et des voies. Sept études sur l'art, la musique et la poésie précédées de Tarab ou l'ivresse harmonique suivies de Jorge Luis Borges et Les Mille et Une nuits

Dans les études rassemblées sous ce titre, Sobhi HABCHI, en poète mais aussi en comparatiste et en chercheur, a voulu montrer comment le fait littéraire, poétique, artistique et musical, peut devenir un moyen de réflexion dans la mesure où il exprime une certaine vision de l'homme et du monde et plus encore de L'homme dans le monde. Dans son propos sur le phénomène du Tarab/enchantement ainsi que dans ses deux études sur la musique et la poésie et la poésie de la musique, il tente de donner au lecteur occidental la "traduction" des effets de ce ravissement ou de cet émerveillement à dimension ontologique qui envahit celui qui cesse d'être auditeur pour faire participer les mouvements de son âme et de son corps au rythme de l'univers. L'étude sur l'essence de la création poétique, comme celles consacrées au poète argentin Porchia (l'une des premières réflexions en français sur ce grand visionnaire), au romancier cubain Alejo Carpentier et à Jorge Luis Borges proposent de nouveaux angles de lecture pour mieux saisir ce qu'est le mystère de la création poétique. Et au nom de l'amitié, Sobhi Habchi consacre un essai au peintre franco-espagnol Manolo Ruiz-Pipó, ami trop tôt disparu : un hommage où ne manquent pas les bons souvenirs de Chartres... ni le partage d'une fraternité poétique et artistique exemplaire.

03/2013

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