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Dossier

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Dossier

Profession : agent littéraire, un métier mal connu

L’agent littéraire est une personne chargée de représenter les écrivains et leurs œuvres écrites auprès des éditeurs, des producteurs de théâtre et des producteurs audiovisuels. Il accompagne ses auteurs sur un plan juridique, financier et artistique, et veille sur leurs intérêts.  

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Dossier

Procès : un éditeur géant dans l'industrie américaine du livre

En novembre 2021, l’administration Biden décide d’interférer dans la transaction : le groupe Penguin Random House (propriété de Bertelsmann), s’apprête à sortir 2,175 milliards $ pour racheter Simon & Schuster (propriété de Paramount Global). Une concentration dans l’industrie du livre que combat le ministère de la Justice, dans un procès antitrust, au démarrage chaotique.

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Dossier

Le catalogue des nouveautés éditeurs de la rentrée

Les éditeurs planchent depuis des mois, les auteurs ont réécrit leurs livres... et voici le grand moment : la présentation des nouveautés aux libraires. Alors, quoi de bon à se mettre sous la dent ?

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Dossier

Samurai Légendes : le préquel, bien avant les Soeurs de l'Ombre

Sortie en novembre 2012, la série Samurai Légendes apporte un autre regard sur le cycle de Di Giorgio et Genêt, cette histoire se déroule 16 ans avant que Takeo ne soit confronté aux Sœurs de l’Ombre. Un ajout essentiel aux événements survenus au cœur du Japon médiéval.

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Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

Extraits

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Beaux arts

A rebrousse-temps

Le musée Camille Claudel propose un parcours d'art moderne et contemporain "A rebrousse-temps" qui se déploie dans les collections permanentes. Le fil rouge est celui de la collection du musée qui présente, outre les oeuvres de Camille Claudel, un riche ensemble de sculptures françaises de la seconde moitié du XIXe et du début du XXe siècle. Quels sont les échos et les dialogues possibles entre les oeuvres du XIXe et celles du XXe ou XXIe siècle ? Comment les artistes aujourd'hui interrogent-ils le monument, les canons de beauté féminins et masculins, la représentation du mouvement, de la danse ou encore la dimension théâtrale de la sculpture ? Rassemblant des sculptures, des peintures, des photographies et des performances, cette exposition et son catalogue proposent une autre histoire possible de la collection à travers la rencontre d'artistes, d'oeuvres et de pensées d'une époque à l'autre.

06/2019

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Sculpteurs

Pierre-Alexandre Morlon. Un art au service de la République

A l'occasion du centenaire de l'installation de deux groupes sculptés qui décorent la ville de Mâcon, Les Vendangeurs et le monument aux morts, réalisés par Pierre-Alexandre Morlon (1878-1951), le musée des Ursulines consacre à cet artiste sa première rétrospective. Celle-ci réunira plus de 260 oeuvres, peintures, sculptures, médailles mais également esquisses préparatoires et matrices, provenant de collections publiques et privées, rassemblées pour évoquer la diversité de son travail. Le choix d'un sculpteur encore très présent dans l'espace public de Saône-et-Loire. Auteur de plusieurs sculptures funéraires au cimetière Saint-Brice de la ville, il travaille également à la réalisation des monuments commémoratifs de la Grande Guerre dans les communes de Saint-Laurent-sur-Saône, de Charnay- lès-Mâcon, de Charolles et de Nantua. Associé au décor de la Chambre de commerce et d'industrie de Saône-et-Loire en 1911, il exécute un bas-relief à la gloire de l'agriculture locale, Le Pressoir.

06/2023

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Art contemporain

Barthélémy Toguo. Kingdom of Faith, Edition bilingue français-anglais

Barthélémy Toguo, né en 1967 au Cameroun, vit et travaille aujourd'hui entre Paris et Bandjoun au Cameroun. Il commence ses études à l'école des beaux-arts d'Abidjan en Côte d'Ivoire. Son apprentissage artistique débute avec la réalisation de copies des sculptures classiques européennes, jusqu'à ce que sa participation à un atelier de sculpture du bois en 1992 lui permette de modifier radicalement son travail. Il décide alors de poursuivre ses études en France, afin de connaître un autre type d'enseignement, et d'être plus libre dans ses recherches personnelles. Il suit les cours de l'école supérieure d'art de Grenoble et s'inscrit ensuite dans l'atelier de Klaus Rinke à la Kunstakademie de Düsseldorf. L'artiste commence à utiliser l'aquarelle en 1998 ; ce travail, naissant de ses multiples voyages et expériences, crée ainsi une sorte de journal de bord, de carnet de voyage. Il en réalise plusieurs séries Le travail de Barthélémy Toguo possède aussi une dimension politique. Il s'intéresse aux flux, de marchandises mais aussi d'êtres humains, ainsi qu'à ceux qui régulent ces flux. Barthélémy Toguo s'intéresse également à la présence de l'art en Afrique, et en particulier au Cameroun. Récemment, l'artiste s'est tourné vers le domaine du théâtre et de la mise en scène de l'espace.

10/2021

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Beaux arts

Kehinde Wiley. Peintre de l'épopée, Edition bilingue français-anglais

Né à Los Angeles d'un père Yoruba du Nigeria — absent de sa jeunesse et qu'il ne retrouvera en Afrique qu'à l'âge adulte — et d'une mère afro-américaine1, Kehinde Wiley est titulaire d'un Bachelor of Fine Arts du San Francisco Art Institute (1999) et d'un Master of Fine Arts de l'université Yale(2001) ; il vit et travaille à Brooklyn, New York. Son style se caractérise par la volonté de replacer l'homme noir au coeur de l'Histoire. Ainsi, tel un DJ qui remixerait et samplerait des grands classiques de la musique, Kehinde Wiley reprend de grands classiques de l'Histoire de l'art qu'il recompose avec des personnages afro-américains imprégnés de culture hip-hop. Sensible dès ses débuts aux enjeux de pouvoir et leur transposition aux canons de l'art, il s'insurge contre les conséquences de " l'absence du corps noir dans les tableaux " des collections muséales et la rétrogradation des Noirs dans les fonctions d'esclave ou de servant. Il se lance alors dans la représentation des jeunes hommes afro-américain — d'abord des quartiers de Brooklyn et de Harlem — en les représentant dans des postures valorisantes1. Invité à la Maison Blanche par Barack Obama en 2016, il réalise son portrait, lui qui préférait jusque là représenter des anonymes et des personnes modestes1. Le portrait de l'ancien président des Etats-Unis, President Barack Obama, est exposé à la National Portrait Gallery de Washington, celui de Michelle Obama étant confié à Amy Sherald2. En 2019, son exposition Tahiti s'ouvre à la représentation des femmes et des transgenres1. Au mois de mai, il participe au Sénagal au festival Black Rocks Senegal avec des artistes africains comme Soly Cissé et Omar Victor Diop1, nommé ainsi en référence aux roches volcaniques qui jonchent les plages de Dakar. Il ouvre une résidence d'artistes luxueusement décorée par des artistes et artisans africains Il est représenté par la Galerie Daniel Templon à Paris et à

08/2020

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BD tout public

Esprit du vent t.9 - les cent fusils

Fango, un jeune coureur sioux, ami d'Esprit du Vent, a besoin d'un cheval pour devenir un valeureux guerrier. Mais, il est pauvre et orgeuilleux et ne souhaite pas que sa tribu lui en offre un. De plus, il ne se contenterait pas d'un vulgaire canasson. Il rêve de posséder un destrier spécial, rapide comme le vent, né de la boue et de l'argile et animé par le souffle sacré du Grand Esprit. En parallèle des poétiques aspirations du jeune indien, un ordre officieux du gouverneur Benjamin F. Potts, entaîne son chef Birch et son armée de tueurs blancs provoquer les sioux sur leur territoire sous les prétextes de mener une expédition scientifique et géologique ayant pour but la construction d'une piste dans la région du Yellowstone et la recherche de filons d'or. Suite et fin de cette aventure dans le prochain épisode : La Piste sans retour.

09/2017

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Architecture

Architectures impossibles

Comment l'architecture, gouvernée par des règles strictes et des dogmes intangibles, pourrait-elle être impossible ? Partant de cette apparente contradiction, l'exposition kaléidoscopique présentée au musée des Beaux-Arts du 19 novembre 2022 au 19 mars 2023 explore les multiples voies empruntées par les artistes, de la Renaissance à aujourd'hui, pour faire "déraisonner" l'architecture. Affranchie des codes rigides dans laquelle l'emprisonne sa seule existence bâtie, l'architecture est susceptible de porter des idées comme de sonder les tréfonds de la pensée humaine, la mémoire et l'inconscient. Telle qu'elle surgit dans notre imaginaire, elle constitue une source d'inspiration majeure pour l'histoire de l'art et a fécondé à toutes les époques l'inspiration des artistes, qui puisent dans l'imaginaire lithique un puissant potentiel d'évocation propre à surprendre, déstabiliser, questionner, dénoncer. La présentation est orchestrée en cinq chapitres thématiques placés chacun sous les auspices d'une notion (caprice, démesure, égarement, menace et perte) et offrant autant de clés de lecture possibles du thème. Certains motifs comme le labyrinthe, la tour, la maison hantée, les escaliers impraticables ou la ruine, servent de fil conducteur à un voyage dans des mondes étranges, fabuleux et inquiétants, où la présence humaine a souvent entièrement disparu. Placée dans un esprit d'ouverture, l'exposition ne se limite pas à la peinture et à l'art sur papier, deux médiums privilégiés de l' "artiste bâtisseur" comme de l'architecte (lorsque celui-ci choisit de délaisser règles et compas pour s'emparer du pinceau et du burin). Elle offre plus largement des résonances avec la littérature, la photographie, le cinéma et le jeu vidéo. Réunissant plus de 150 oeuvres de toute nature issues d'institutions nationales, internationales et de collections particulières, elle rassemble une cinquantaine d'artistes : noms éminents (Giovanni Battista Piranesi, Hubert Robert, Louis-Etienne Boullée, Victor Hugo, Gustave Doré, Maurits Cornelis Escher, Max Ernst, Wim Delvoye, etc.) ou plus confidentiels (Albert Trachsel, Wenzel Hablik, Emily Allchurch, etc.). Tous placent l'architecture au centre de leur démarche créative et de leur univers visuel. Chahutant les traditionnels discours sur l'art, les hiérarchies et les classifications par époque et par genre, l'exposition offre au visiteur une plongée sensorielle dans des univers déconcertants qui bousculent radicalement nos perceptions immédiates et nos habitudes cognitives. A travers une approche sensible du motif architectural, l'exposition se présente elle-même comme une expérience de perturbation spatiale. La promenade se transforme en errance et c'est gagné par le vertige que le visiteur déambule dans l'exposition.

12/2022

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