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Sandra Lawrence

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Policiers

Sandra

Sandra, son frère aîné et son cadet, vivent luxueusement dans une famille de riches industriels dirigée d'une main de fer par un grand-père autoritaire, aux idées surannées. Sandra disparaît. Ses parents reçoivent une demande de rançon accompagnée d'une phalange de la jeune-fille. L'équipe du commissaire Bortier apprend rapidement que ce bout de doigt a été tranché post-mortem, mais également que les trois adolescents menaient une vie bien éloignée de celle exigée par l'antipathique patriarche.

10/2014

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Critique littéraire

Aimer Lawrence

Il fallait bien qu'un jour je croise la route de Lady Chatterley. J'ai fait mieux, je suis tombée amoureuse de celui qui l'imagina, D. H. Lawrence, à cause de sa figure de mauvais coucheur, à cause de l'extraordinaire sensibilité de son "écriture androgyne" dont parlait Anaïs Nin. Pendant deux ans, je n'ai pas quitté cet amateur des grands espaces qui, lorsqu'il écrivait, ne s'est jamais encombré des barrières du surmoi. J'ai voulu faire redécouvrir cet auteur célèbre qui n'est plus assez lu, contemporain des suffragettes, et qui vécut entouré de femmes libres. Il avait compris qu'au vortex de leur émancipation et de leurs revendications se trouvait le plein accomplissement de leur jouissance sexuelle.

09/2017

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Littérature étrangère

Lettres à Sandra

Sandra n'est plus. Mais l'homme qui la pleure lui écrit encore des lettres d'amour. Lettres poignantes, incantatoires, afin de faire resurgir l'image de la femme aimée, afin de pouvoir la toucher, la caresser, la posséder encore, de manière fantasmatique. Ses missives adressées à la disparue parlent de la sensualité et de la violence des corps, mais disent aussi l'absence et la mort. Sandra n'est plus. Mais l'homme qui la pleure lui écrit encore des lettres d'amour. Lettres poignantes, incantatoires, afin de faire resurgir l'image de la femme aimée, afin de pouvoir la toucher, la caresser, la posséder encore, de manière fantasmatique. Ses missives adressées à la disparue parlent de la sensualité et de la violence des corps, mais disent aussi l'absence et la mort. Car bien souvent le narrateur ne parvient pas à ressusciter le souvenir de l'être disparu, et ses lettres se font alors plaintives. A d'autres moments, il fait le récit des journées vides de celui qui est resté derrière et qui ne peut se résoudre à accepter la disparition de la femme passionnément aimée. La répétition obsessionnelle de ces thèmes dans un continuel va-et-vient, une sorte de flux intérieur, crée une mélopée envoûtante qui caractérise l'écriture de Ferreira et qui transcende également cette ouvre testamentaire du grand écrivain portugais.

03/2000

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Littérature française

Lawrence de Picardie

" Mes amis ! déclama Lawrence. Depuis trop longtemps, la Picardie a attendu son heure de gloire. Depuis trop longtemps, nous courbons l'échine sous le joug des Francs. " Voilà mille six cents ans que ces barbares bafouent notre droit à l'indépendance et à la souveraineté sur nos ressources naturelles. La Picardie était l'une des régions les plus belles et les plus fertiles d'Europe, et que nous ont apporté nos envahisseurs ? La misère, les guerres et l'impôt qui tue. Durant leurs guerres stupides contre Albion ou la Germanie, notre région fut le champ de bataille de l'Europe entière. Et maintenant, ils cherchent à nationaliser nos champs de betteraves ! A nous déposséder de tout ce que nous avons ! " L'insurrection générale de la Picardie m'a frappé comme un impératif littéraire et politique. Dans " Lawrence " comme dans notre réalité, ce ne sont pas les Picards qui rejettent le " système ", mais la société qui les rejette dans ses marges. A une élite qui les méprise ou les ignore, ils opposent leur débrouillardise, leur sens de l'entraide et leur esprit d'indépendance. L'indépendance des Picards est leur respiration : j'ai voulu leur donner un grand bol d'air. - Jean Saintot.

03/2015

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Histoire internationale

Lawrence d'Arabie

Les facettes de Thomas Edward Lawrence (1888-1935) sont si nombreuses que sa vérité est plus insaisissable que la légende qu'ont propagée ses hagiographes comme ses détracteurs. Historien et archéologue, orientaliste, poète, géologue, photographe, diplomate, agent de renseignements, chef de guerre, il fut l'ami d'hommes aussi différents que Winston Churchill et Bernard Shaw. D'une incroyable témérité, héros de la Grande Guerre au Proche-Orient, il souleva le monde arabe contre le vieil Empire ottoman et sa guérilla du désert apporta une contribution décisive à la victoire alliée. Mais plus que tout c'était un écrivain, et la prose dense, intense, des Sept Piliers de la sagesse captive son lecteur en lui jetant sous les yeux une poétique moisson de paysages, d'actions, de réflexions, de visages. Il pouvait prétendre aux plus grands honneurs, mais il s'en détourna pour se fondre dans la masse des sans-grade d'une armée de métier. Simple mécanicien dans les armes techniques, il écrivit alors un autre chef-d'œuvre, plus introspectif que le précédent, La Matrice. La lutte de ce serviteur de l'Empire britannique et des peuples arabes fut certes trahie par le cynisme des politiques, mais son génie sut transmuer ses échecs et sa misère intime pour les dépasser et en faire des œuvres de vérité.

01/2000

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Littérature étrangère

D. H. Lawrence

Né en 1885 dans un village des Midlands, D. H. Lawrence ne tarda pas à rompre avec la civilisation industrielle. Une vie d'errance et de voyage le mena en Italie, à Ceylan, en Australie et au Mexique. Ami notamment de Ford Madox Ford, de Katherine Mansfield et d'Aldous Huxley ; homme libre, provocateur, hanté par la sexualité, les instincts primitifs, l'inconscient et ce que Wordsworth appelait "les modes inconnus de l'être" , D. H. Lawrence avait une conception religieuse et absolue de son art. Rebelle à tous les conformismes, il fit sauter quelques tabous de l'Angleterre puritaine. Soupçonné d'espionnage, condamné par les tribunaux de son propre pays pour obscénité et pornographie, ses livres furent saisis. Mais il continua à brûler sa vie et mourut de la tuberculose à Vence, le 2 mars 1930, peu après la publication de L'Amant de lady Chatterley. Jeffrey Meyers a découvert des faits inédits sur la jeunesse de Lawrence, sur sa mère (personnage clé pour la compréhension de l'homme et de l'oeuvre), sur son mariage avec Frieda von Richthofen, la stérilité qui le frappa et ses probables relations homosexuelles.

04/1992

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