Recherche

Philippe VI. Le premier des Valois

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Stanislas du premier roman

Créé en 2016 par Le Livre sur la Place et Groupama, le Prix Stanislas du premier roman récompense le talent d’un auteur d’un premier roman publié à la rentrée de septembre. Dix ouvrages de la rentrée littéraire sont sélectionnés au cours de l'été, le nom du lauréat est connu à la fin de celui-ci, avant que la récompense ne soit remise au cours du Livre sur la Place.

ActuaLitté

Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

ActuaLitté

Dossier

Un festival de lectures plurielles, à travers les univers de premiers romans

Premier événement littéraire collaboratif de France, le Festival du premier roman de Chambéry est l’occasion unique de découvrir la littérature contemporaine en français, italien, espagnol, allemand, roumain et anglais. Débats, rencontres, cafés littéraires, ateliers, spectacles, expositions... Voyagez à travers les univers des auteurs invités. 

ActuaLitté

Dossier

10 autrices racontent leur première fois...

Muse, recherches acharnées ou nonchalance virtuose, l’inspiration reste le grand secret de la création. Mais dans quelles circonstances le premier pas vers l’écriture s’est-il opéré ? Comment ont-elles su qu’elles entamaient leur premier véritable livre, celui qui serait mené à terme ? 

ActuaLitté

Dossier

Les éditions J'ai lu inaugurent le Prix Club des lecteurs 2023

Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.

ActuaLitté

Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

Extraits

ActuaLitté

Bas Moyen Age (XIVe au XVe siè

Philippe VI. Le premier des Valois

Philippe VI a laissé dans les mémoires l'image d'un roi falot, sans talent militaire, dont le règne fut une longue lutte pour la sauvegarde de la Couronne. De fait, les batailles de L'Ecluse (1340) et de Crécy (1346) furent autant de désastres militaires qui ancrèrent le royaume dans une crise entamée sous les derniers Capétiens. En 1328, le premier Valois hérita d'un domaine à l'économie fragilisée par les aléas climatiques et d'une monarchie secouée par les scandales. " Roi trouvé ", c'est-à-dire " choisi " — en l'occurrence par une assemblée des grands du royaume —, le nouveau souverain souffrait d'un déficit de légitimité, qui participa au déclenchement du conflit avec son cousin anglais. Ce fut aussi à cette époque que débuta la grande peste qui ravagea l'Occident chrétien durant cinq longues années. Son règne, marqué par une succession de calamités, ne semble que le long crépuscule d'une grandeur passée. Pourtant, le royaume de France continue de se construire autour d'hommes et d'institutions toujours plus efficaces, au service d'un monarque à la souveraineté toujours plus affirmée. Les difficultés conjoncturelles n'entravent en rien, accélèrent même parfois, ces transformations structurelles. C'est ce que s'emploie à montrer Christelle Balouzat-Loubet dans cette remarquable biographie nuancée.

10/2023

ActuaLitté

Moyen Age classique (XIe au XI

Philippe Auguste. Le premier grand Capétien (1180-1223)

Philippe Auguste, héritier de la politique de ses ancêtres depuis 987, est incontestablement "le premier grand Capétien". Il opère une véritable rupture dans le fonctionnement de l'Etat dont il a une "haute conception" : une monarchie administrative, une souveraineté affirmée, une centralisation effective avec Paris comme capitale... Grâce à ses conquêtes territoriales, surtout contre les Plantagenêts, il accroît nettement les revenus de la couronne débouchant sur une politique empirique. Eclairé par de fidèles serviteurs dévoués, il impose progressivement sa volonté. Habile stratège, doté de nombreuses qualités, il n'en reste pas moins homme avec ses défauts, rencontrant de nombreux problèmes, entre autres sur le plan conjugal. Enfin, Philippe a bénéficié d'un contexte favorable (croissance économique, rayonnement culturel et artistique...) qui lui a permis de devenir sans conteste un homme d'Etat. Cependant, malgré ses mérites, il restera dans l'ombre de son petit-fils canonisé, Saint-Louis : même sa propre victoire à Bouvines en 1214 et surtout, le mythe qui en a découlé, ont éclipsé sa propre gloire. L'auteur, confronté aux sources contemporaines panégyriques, a tenté de démêler le vrai du faux en s'appuyant sur la chronologie, il a pu mettre en valeur la ténacité royale durant son règne (1180-1223), l'un des plus longs de l'Histoire de France.

11/2021

ActuaLitté

Histoire de France

Ambassades et ambassadeurs de Philippe Le Bon, troisième duc Valois de Bourgogne (1419-1467)

De 1419 à 1467, l'Etat bourguignon connut une expansion sans précédent, en partie servie par la politique diplomatique du duc de Bourgogne. Acteur central du mémorable congrès d'Arras de 1435, Philippe le Bon se posa en arbitre de l'Europe, grâce à ses alliances successives avec l'Angleterre et la France, mais aussi aux liens tissés dans toute la chrétienté. L'enjeu de cette recherche, grâce à l'étude des moyens conceptuels, humains et matériels mobilisés par la diplomatie bourguignonne, est de resituer la place de la diplomatie dans la politique globale de Philippe le Bon. L'étude des quelque 1412 ambassades et 621 ambassadeurs dépêchés par le duc durant son règne, la mise à jour de tactiques de négociation, de stratégies d'expertise, ainsi que la puissance financière mobilisée permettent d'éclairer un modèle de diplomatie ambitieuse, à l'heure où l'ambassadeur n'était encore qu'un " artisan de paix ", où les ambassades permanentes n'existaient guère et où les concepts et le droit des gens étaient encore en pleine fixation. Anne-Brigitte Spitzbarth est normalienne, agrégée et docteur en histoire de l'Université Lille 3 où elle a enseigné l'histoire médiévale. Elle est membre du CRHEN-O et d'IRENE. Ses recherches portent sur la diplomatie et la négociation.

01/2013

ActuaLitté

Histoire internationale

Philippe II

Philippe II incarne l'Espagne au faîte de sa puissance. Son père Charles Quint lui a légué les royaumes de Castille et d'Aragon, une grande partie de l'Italie, la Franche-Comté, les Pays-Bas et, au-delà des océans, l'Amérique, source inépuisable de richesses. Pendant cinquante ans, il maintient et accroît cet héritage. Roi Catholique, champion de la Contre-Réforme, il lance à l'assaut du monde ses armées et ses flottes, ne craignant pas de s'attaquer au pape, à la France, à l'Angleterre . Son frère don Juan est victorieux du Turc à Lépante. Le duc d'Albe s'empare du Portugal et Alexandre Farnèse restaure son pouvoir aux Pays-Bas. A ses sujets il impose une loi de fer. L'Inquisition allume ses bûchers. Les morisques sont déportés. Un tribunal de sang est instauré dans les Flandres. La répression s'abat sur l'Aragon. Mais l'heure des revers a sonné. Les éléments déchaînés dispersent l'Invincible Armada, Henri IV chasse à jamais les Espagnols de France. Homme de cabinet, penché nuit et jour sur ses dossiers, Philippe II assume pleinement la responsabilité de sa politique. Jugeant de tout, il n'hésite pas devant des mesures extrêmes, comme l'incarcération de son fils dément, don Carlos. La légende noire s'empare alors de son personnage. Et pourtant la personnalité du roi a bien d'autres facettes. Sa vie privée révèle des aspects attachants. Son humanité s'exprime dans le goût de la nature et l'amour des arts. Son règne qu'illustrent de grands peintres, Titien, Greco, célébré par un Lope de Vega et un Cervantes, inaugure le Siècle d'Or de la civilisation espagnole. Le palais-monastère de l'Escurial, huitième merveille du monde, en est le reflet prestigieux.

12/1996

ActuaLitté

Histoire de France

Marguerite de Valois

Celle que l'on nomme la reine Margot n'est pas tout à fait cette femme de luxe et de volupté que l'on s'est plu à imaginer. Fille d'une époque de fer et de sang, celle des guerres civiles, elle endure les horreurs et la Saint-Barthélemy la marque à tout jamais. Princesse puis reine, elle croit pouvoir jouir des atouts de son rang. Comme un prince, comme un roi, elle affiche ses amours, elle déploie le luxe ostentatoire des puissants et participe aux clans politiques : vaine liberté, vains espoirs qui la renvoient sans cesse à elle-même, à cette femme qui ne peut exister ailleurs que dans le faste de la représentation. Car Marguerite subit jusque dans sa chair le joug de sa famille qui toujours l'utilise pour après la rejeter. Être la fille de Catherine de Médicis, être la sœur de Henri III distordent sa vie et sa destinée au point de la rendre misérable. Contrainte d'épouser le huguenot Henry de Navarre, futur Henry IV, premier roi Bourbon, elle ne trouve dans cette alliance qu'incompréhensions et infidélités. Marguerite de Valois, femme de scandale et de volupté, sûrement ! Mais que de courage, voire de témérité puisque, à la fin de sa vie, la dernière des Valois, sans renoncer à cette liberté qui lui a coûté si cher, appuie et favorise la nouvelle dynastie des Bourbons.

11/1994

ActuaLitté

Histoire de France

Les derniers Valois

Comment expliquer la légende noire qui pèse sur Catherine de Médicis et sur ses enfants ? Très tôt, en effet, protestants aussi bien que catholiques ont considéré les derniers Valois comme une lignée abâtardie de rois faibles, malades, névrosés. Leurs détracteurs n'ont vu qu'hésitations et louvoiements dans leurs efforts pour pacifier une France déchirée par les tensions religieuses et civiles. A les en croire, la ténébreuse reine mère serait la responsable de tous les malheurs du royaume : n'a-t-elle pas écarté du Conseil les grandes familles pour les remplacer par des Italiens avides ? Plus grave encore, n'a-t-elle pas éliminé la noblesse par les guerres, les emprisonnements, les assassinats ? La mauvaise réputation du clan Valois a longtemps souffert des horreurs de la Saint-Barthélemy et du meurtre du duc de Guise et de son frère. Mais ces crimes spectaculaires ont été perpétrés au nom d'"une cruelle nécessité", car chaque fois les Valois ont voulu préserver la Couronne de France des ambitions des grands et des convoitises de l'Espagne. En fin de compte, montre brillamment Janine Garrisson, ils ont tenté de " rétablir la justice par la violence ". Ils n'ont sans doute pas réussi à pacifier le royaume, mais leur vision du monde, leur culture, le cadre dans lequel ils vivent sont empreints de néoplatonisme. Un néoplatonisme qui est avant tout recherche de paix et d'harmonie, laquelle apparaît dans tout son éclat lorsque les Valois se font les ordonnateurs des fêtes de cour et des entrées royales.

09/2001

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté