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Pascal Airault, Antoine Glaser

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Livres, actualités : tout sur Antoine de Saint-Exupéry

Né le 29 juin 1900 à Lyon, Antoine de Saint-Exupéry reste l'homme du Petit Prince pour des millions de lecteurs dans le monde entier. Publié en 1943 à New York avant de ne l'être que 2 ans plus tard par Gallimard en France, après la mort de son auteur, ce conte féérique et philosophique fait depuis partie des ouvrages français les plus célèbres à l'international.

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Dossier

Le Petit Prince, conte intemporel d'Antoine de Saint-Exupéry

Le Petit Prince n'est pas seulement allé dans l'espace : il a traversé toute la planète. Livre le plus traduit au monde après la Bible, ce classique d'Antoine de Saint-Exupéry a été publié pour la première fois en 1943 par la maison d'édition Reynal & Hitchcock, puis aux éditions Gallimard, en français, en 1945. De loin le livre le plus connu de son auteur, ce conte a touché des millions de lecteurs par sa portée philosophique et onirique...

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Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

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Dossier

La librairie et le Label Lir : les raisons de la colère

Une étude réalisée conjointement par le ministère de la Culture et de la Communication, le Syndicat de la librairie française et le Syndicat national de l’édition, le rapport de la mission « Livre 2010 » et celui d’Antoine Gallimard, remis au cours de l’année 2007, ont souligné la fragilité de la situation économique des librairies indépendantes et préconisé de faire du maintien et du développement de ces entreprises une des priorités de la politique du livre. 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Alice Zeniter

2017 sonne comme l'année de la consécration pour Alice Zeniter : son roman L'Art de perdre, publié par les éditions Flammarion, reçoit une variété de prix littéraires, dont le Prix Goncourt des lycéens 2017, le prix littéraire du Monde de la même année, le Prix des libraires de Nancy ou encore le Prix Landerneau.

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Dossier

Les Ensablés : Survivre en littérature

"Les Ensablés, survivre en littérature" est un blog créé en 2010 et depuis intégré pleinement chez Actualitté.com. Chaque semaine, des écrivains ou des amateurs de littérature présentent le roman d'un écrivain français dit "ensablé", autrement "oublié" ou carrément disparu.

Extraits

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Géopolitique

Le piège africain de Macron. Du continent à l'Hexagone

Tout juste élu président de la République française, Emmanuel Macron promet de faire souffler un vent nouveau sur les relations avec le continent africain. Il dénonce une "Françafrique" postcoloniale et mise sur les nouvelles générations pour réconcilier les mémoires. Mais il se heurte vite au réel. Les autocrates, à la longévité exceptionnelle, lui rappellent qu'ils sont les derniers à défendre les intérêts français sur un continent mondialisé, redevenu géostratégique. Le président joue alors un joker inédit : "l'Afrique" en France. Au terme d'une enquête fournie, les auteurs dressent un constat implacable : la "génération Macron" n'a pu effacer, plus d'un demi-siècle après les indépendances, des relations ambiguës. Emmanuel Macron l'admet dans une longue interview exclusive. Par un singulier effet boomerang, le président risque d'être piégé autant en France qu'en Afrique. Journaliste et spécialiste de l'Afrique, Antoine Glaser a été directeur de la rédaction d'Africa Intelligence. Il est l'auteur, dans la collection "Pluriel" de Africafrance (2018). Journaliste éditorialiste à L'Opinion, Pascal Airault a réalisé de nombreux reportages pour Jeune Afrique. Il est l'auteur de Françafrique. Opérations secrètes et affaires d'Etat (avec J. -P. Bat, Tallandier, 2016). Postface inédite

02/2023

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Géopolitique

Le piège africain de Macron. Du continent à l'Hexagone

Mai 2017 : quinze ans après son stage d'énarque au Nigeria, Emmanuel Macron est élu président de la République française. Il promet de faire souffler un vent nouveau sur les relations avec le continent africain. Fort de sa jeunesse et de son libéralisme, il dénonce une "Françafrique" postcoloniale dont il ne se sent pas comptable et mise sur les nouvelles générations pour réconcilier les mémoires des deux côtés de la Méditerranée. Mais il se heurte vite au réel. Les autocrates, à la longévité exceptionnelle, ne tardent pas à lui rappeler qu'ils sont les derniers des Mohicans à défendre les intérêts français, en Afrique comme dans les organisations internationales. Sur un continent mondialisé redevenu géostratégique, la France ne pèse guère plus que par son armée dans le Sahel et quelques empires économiques familiaux. Pour échapper à cette perte d'influence globale, Emmanuel Macron joue un joker inédit : "l'Afrique" en France. Il crée un Conseil présidentiel pour l'Afrique composé essentiellement de Français originaires du continent, dans le dessein de dépoussiérer la politique africaine de l'Hexagone. Au terme d'une enquête de deux ans auprès de multiples interlocuteurs, les auteurs dressent un constat implacable : malgré des succès, l'ardoise magique de la "génération Macron" n'a pu effacer d'un trait, plus d'un demi-siècle après les indépendances, des relations ambiguës. L'offensive de charme, notamment auprès des diasporas, du chef de l'Etat n'a pas réussi à convaincre l'électorat des banlieues, comme il l'admet dans une longue interview exclusive. Une épine dans le pied à l'approche de la présidentielle de 2022 ? Ou comment, par un singulier effet boomerang, Emmanuel Macron risque d'être piégé autant en France qu'en Afrique.

04/2021

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Photographie

Girault de Prangey

Catalogue officiel de l'exposition Girault de Prangey au musée d'Orsay du 3 novembre 2020 au 7 février 2021. Depuis une vingtaine d'années, le Langrois Joseph-Philibert Girault de Prangey (1804-1892) s'est imposé parmi les figures majeures des débuts de la photographie française, à la faveur de quelques expositions et publications. Peintre et dessinateur, archéologue et historien de l'architecture, savant amateur de plantes et d'oiseaux rares, il est en effet un pionnier du daguerréotype, technique qu'il maîtrise parfaitement dès 1841, et au moyen de laquelle il aura livré une oeuvre d'une qualité et d'une ampleur presque incomparables. Comptant non moins de 1000 plaques à ce jour, le corpus a majoritairement été réalisé entre 1842 et 1844, lors d'un tour du bassin méditerranéen de l'Italie à l'Egypte en passant par la Grèce, la Turquie, la Syrie, le Liban, Jérusalem et la Palestine. Prenant le relais des méthodes manuelles de relevés qu'il avait employées lors de précédents voyages, la photographie de Girault de Prangey s'inscrit alors avant tout dans un cadre d'études archéologiques. Elle nourrit une documentation iconographique conçue comme la base des nombreuses illustrations qui paraissent bientôt dans de luxueuses publications, centrées sur l'architecture islamique et ses relations avec l'architecture antique et médiévale. Beaucoup de vues ainsi produites comptent parmi les premières photographies connues de sites aujourd'hui détruits, détériorés ou menacés.

11/2020

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BD tout public

Glauser

Est-ce que ce ne sont pas des choses manifestement bien futiles qui réapparaissent encore et toujours, telles des bulles irisées recouvertes d'un film de couleurs éblouissantes qui font souffrir comme si, les yeux écarquillés, on fixe le soleil ? Des expériences insignifiantes, des souvenirs fugaces, et pour-tant, leur effet perdure jusqu'à ce que le sommeil éternel nous en délivre.

11/2014

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Sciences politiques

AfricaFrance. Quand les dirigeants africains deviennent les maîtres du jeu

Et si l'Afrique avait marabouté la France ? Depuis les indépendances des années 1960, l'ancienne métropole se croit toute-puissante dans son pré carré africain. A l'issue de la guerre froide, les dirigeants africains ont totalement inversé les rapports de dépendance. Ce sont désormais eux les vrais patrons. Le monde entier trépigne dans leur salle d'attente. Pour la France, fini le temps du pétrole et de l'uranium à des prix " politiques " , des marchés protégés pour une poignée d'entrepreneurs qui figurent parmi les plus grandes fortunes de l'Hexagone. Les opérations militaires dans le Sahel servent de cache-misère à une présence française en déshérence. Et les déclarations d'amitié de l'Elysée n'y changent rien. Habiles à se présenter en " victimes " de la Françafrique, les dirigeants africains profitent de cette nouvelle situation pour imposer à huis clos leurs exigences à leurs interlocuteurs officiels. Adieu Françafrique, bonjour AfricaFrance. Qui paie commande !

05/2017

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Sciences politiques

Arrogant comme un Français en Afrique

La France se réveille en Afrique avec la gueule de bois. Elle pensait que tout y était encore sous son contrôle et que sa « science africaine » était infaillible. Tout cela n’est qu’un leurre : les destinées politiques, religieuses, sociales et économiques de ce continent lui ont complètement échappé. Par arrogance, les dirigeants français ne se sont jamais véritablement intéressés à la complexité de l’Afrique. Quant à ceux qui s’y sont installés tout au long de la guerre froide, coopérants venus pour enseigner ou militaires y vivant en famille, ils ont plus souvent cherché à former des Africains à leur image qu’à comprendre leurs spécificités et leurs désirs. D’ailleurs, en France même, n’aime-t-on pas que les Afro-Français qui nous ressemblent ? Aujourd’hui, la France paie cher cette arrogance. Les anciennes générations lui reprochent son ingratitude, tandis que les jeunes diplômés refoulés aux portes des consulats préfèrent poursuivre leurs études ailleurs. Les plus grands groupes industriels français perdent des contrats qu’ils pensaient leur être dus et des parts de marché face à leurs concurrents chinois. Les congrégations catholiques françaises sont vivement concurrencées par les Eglises de réveil (évangéliques, pentecôtistes, charismatiques.), sans parler de l’expansion de l’islamisme radical. La méconnaissance de l’Afrique et des Africains a conduit la France à des analyses anachroniques et à sous-estimer la richesse de ce continent et de sa diaspora. C’est ce mépris qu’Antoine Glaser s’emploie à dénoncer ici. Il est temps de cesser de donner des leçons et d’apprendre de l’Afrique !

03/2016

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