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Olivier Grenouilleau, Joseph Mosneron Dupin

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Dossier

Liquidation, prudence, salariés : les librairies Gibert Joseph en question

Figure toute particulière de la librairie et du disque, le réseau Gibert réunissait 31 établissements sur le territoire français. Jusqu’à ce que la direction annonce, brutalement, son choix de mettre en liquidation judiciaire trois d’entre eux. Suite au rachat de Gibert Jeune en novembre 2017, la famille était réunie après un siècle de discorde. Mais entre temps, la pandémie est passée par là.

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Dossier

Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

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Dossier

En route pour l'aventure : des livres pour voyager et s'évader

Sur terre et sur les mers, à la découverte d’horizons inconnus, voici une liste de livres qui vous embarquent vers des destinations folles. Ce sont des récits de voyage, des essais, des textes empreints de poésie, ou des biographies d’aventuriers, comme autant de panoramas de la splendeur de notre planète.

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Dossier

9e édition du prix "Envoyé par La Poste"

Imaginé et créé par la Fondation La Poste en 2015, le prix Envoyé par La Poste récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, à un éditeur qui décèle un talent d’écriture et qui décide de le publier. 

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Dossier

Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

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Dossier

“Grands romans”, une littérature inoubliable

Les plus grands romans, tout simplement. Venus de toutes les époques et de tous les continents, ces ouvrages de la collection créée en 2006, se sont vendus à plus de 2 millions d’exemplaires. « Les Grands Romans, passionnément ! », tout simplement.

Extraits

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Ouvrages généraux et thématiqu

Mémoires d'un négrier. Joseph Mosneron-Dupin 1748-1833

A l'heure de Black Live Matter, voici introduit et commenté le journal de Joseph Mosneron (1748-1833), armateur nantais de la Traite. Une contribution cruciale à la connaissance d'hier et au questionnement d'aujourd'hui, présentée par un grand historien. 1804 Joseph Mosneron Dupin achève la rédaction du " Journal de mes voyages ". Il y raconte, pour ses enfants, comment, adolescent, il s'est fait négrier. Sans remord, en insistant sur les " valeurs " qu'il entend transmettre aux siens. Incompréhensible pour l'homme d'aujourd'hui, sa démarche nous rappelle que l'histoire ne nous invite pas seulement à un voyage dans le temps. Elle est aussi incursion dans des univers aux logiques parfois totalement étrangères aux nôtres. Mais, pour combattre l'esclavage, il faut l'étudier, le comprendre. A cet égard, unique, le récit de Mosneron Dupin est précieux. Il nous livre une multitude d'informations : sur les opérations de traite, le commerce dit " en droiture " vers les Antilles, les méthodes éducatives du temps, la manière de composer les équipages des négriers, la navigation... Plus encore, il nous renseigne sur les mentalités d'une partie des milieux maritimes du tout début du xixe siècle. A un moment, pourtant, où se multiplient les critiques à l'encontre de la traite.

09/2021

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Histoire de France

Fortunes de mer et sirènes coloniales. Economie maritime, colonies et développement : la France, vers 1660-1914

C'est vers 1660 que la France entre dans le grand commerce atlantique et colonial, notamment avec le port de Saint-Malo. Mais l'essor du négoce colonial au siècle suivant, avec la production antillaise de canne à sucre, d'indigo et de café, et le développement de la traite négrière, occulte souvent l'émergence de ce premier système capitaliste maritime au XVIIe. Et fait oublier que le commerce colonial se poursuit, sous d'autres formes, avec le vaste empire que la France se constitue à partir du XIXe siècle. Les sirènes coloniales ont séduit de nombreux acteurs, mais les risques encourus par le négoce investissant dans des circuits commerciaux lointains sont nombreux, et les richesses accumulées aléatoires. Les fortunes de mer réservent des surprises. Ainsi la fabuleuse croissance du commerce colonial au XVIIIe siècle n'est-elle pas en partie illusoire ? Constitue-t-elle véritablement l'un des piliers du développement économique national ou ne profite-t-elle qu'à un petit nombre ? Quels rôles jouent l'Etat, la noblesse et les milieux négociants dans l'affaire ? Autant de questions auxquelles on trouvera ici des réponses. Grâce au recul du temps long (des années 1660 à 1914, voire 1940) et à une approche combinant des méthodes rarement connectées : étude quantitative, culture des acteurs du jeu économique, rôle de l'Etat... , se dessine un panorama complet du grand capitalisme maritime français, de ses forces et de ses faiblesses, ainsi que de ses acteurs.

10/2019

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Sciences historiques

Esclaves. Une humanité en sursis

Comment percevait-on l'esclave dans les sociétés esclavagistes lorsque l'esclavage était légal et que nombre d'hommes libres pouvaient risquer d'y être plongés ? C'est à cette question que les auteurs de ce livre ont tenté de répondre, en confrontant des situations issues des mondes gréco-romains antiques, d'Afrique noire et du monde musulman à celles des modèles esclavagistes de l'Amérique coloniale. De ces approches diverses à travers le temps et l'espace, entre histoire, droit et anthropologie, ressortent de grandes différences entre les sociétés, mais aussi des points de rapprochement. Ainsi, généralement considéré comme une chose et parfois rapproché de l'animal, par son maître comme par ceux désirant légitimer l'institution esclavagiste, l'esclave demeure cependant toujours perçu par eux comme un homme (en droit comme en fait), et donc comme un être humain qui, tout en ne cessant jamais totalement d'être ainsi reconnu, peut être à volonté réduit et/ou assimilé à la condition souhaitée par son maître. Apparaît ainsi l'une des caractéristiques premières de tout système esclavagiste : le pouvoir discrétionnaire du "maître" faisant de l'esclave un homme-frontière, en sursis.

03/2012

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Généralités

Christianisme et esclavage

Pourquoi les Eglises et les chrétiens ont-ils tant tardé à se mobiliser en faveur de l'abolition de l'esclavage ? Et comment a-t-on pu si longtemps s'accommoder de cette insoutenable contradiction associant une religion prônant l'amour de son prochain avec la réalité de pratiques esclavagistes attentatoires à la dignité humaine, parfois justifiées par des alibis religieux, voire génératrices de profits pour l'institution ecclésiastique ? A ce premier discours très critique en répond un second présentant l'histoire du christianisme comme celle d'une lente, nécessaire et logique maturation de l'idée abolitionniste, en quelque sorte contenue en germe dans son esprit. Aucune de ces explications univoques ne peut rendre compte d'une relation aussi complexe. Antique, médiéval, moderne ou contemporain, l'esclavage se recompose en effet en permanence, jouant un rôle plus ou moins important selon les époques, et touchant des populations différentes. Le christianisme, aussi, se recompose sans cesse. Et les débats se multiplient, s'enchevêtrent, se recombinent. Paul pense que le chrétien doit se faire esclave de Dieu pour se libérer du péché. Pendant des siècles on s'évertue à protéger de l'abjuration les chrétiens esclaves de non-coreligionnaires, tout en admettant qu'un chrétien puisse être esclave d'un frère en foi. La question concerne également l'Autre, musulman, Indien d'Amérique, Africain. Théologiens, institutions, simples chrétiens se questionnent, s'affrontent parfois. Aux fausses certitudes de certains répondent les doutes et l'engagement d'autres. Au XV ? siècle, cela en est fini de l'esclavage des chrétiens par des chrétiens. Au siècle suivant, l'esclavage des Indiens est officiellement aboli dans l'Amérique espagnole, avant que ne se pose la question de celui des Africains.

09/2021

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Ouvrages généraux

Quand les Européens découvraient l'Afrique intérieure. Afrique occidentale, vers 1795-1830

Les Européens se sont longtemps contentés d'aller chercher en Afrique subsaharienne des esclaves pour l'Amérique sans volonté de la contrôler ni de l'explorer. Avec le processus menant à l'abolition de la traite (1807 pour l'Angleterre), des voyageurs ont porté un autre regard sur l'Afrique intérieure pour en connaître la géographie et les peuples. Si le racisme et les préjugés ne sont pas absents de leurs récits, la bienveillance est parfois là. Sept explorateurs ont, entre 1795 et 1830, laissé de passionnantes observations sur l'Afrique occidentale. Bien loin du ton dominateur de la seconde moitié du XIXe siècle, ils nous livrent une image riche et suggestive de l'Afrique. Une révélation pour le lecteur européen de l'époque, une surprise pour celui d'aujourd'hui.

08/2021

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Histoire de France

Nos petites patries. Identités régionales et Etat central, en France, des origines à nos jours

Comment des identités ont-elles pu se cristalliser à l'échelle de "pays" transformés en régions ? Et, surtout, comment ont-elles été perçues par l'Etat central ? Pour tenter de répondre à ces questions sans cesse rebattues mais toujours à partir de points de vue spécifiques, l'auteur nous propose ici une approche originale, globale et sur la longue durée. Globale en appréhendant les multiples facettes de ce vaste problème, qu'elles soient géographiques, politiques, économiques, sociales, littéraires ou encore culturelles. Sur la longue durée en l'abordant depuis l'époque des pagi gallo-romains jusqu'à aujourd'hui, en passant par le temps des principautés médiévales, lorsque se sont sans doute cristallisées ces premières identités, à un moment où la France se constituait, elle aussi. Ce faisant, on comprend mieux comment le vrai faux débat entre Girondins et centralisateurs, République et régionalisme, a contribué à renforcer les oppositions, à favoriser les formes d'instrumentalisation. Qui sait aujourd'hui, par exemple, que les "provinces" administratives ont d'abord été façonnées par l'Etat monarchique afin de lutter contre des entités féodales porteuses d'identités ? Et ce, avant que se recombinent, au sein de ces mêmes provinces et "régions" , des sentiments d'appartenance aux rapports sans cesse renégociés avec l'Etat central ? Souvent dénoncées, parfois mises en avant, lorsque l'amour des Petites Patries régionales devait nourrir l'amour de la Grande Nation française, les identités régionales ont le plus souvent été détournées. Notamment dans une optique économique et "modernisatrice" que l'on imagine être née lors des Trente Glorieuses, mais que l'on trouve déjà sous la plume des réformateurs de la fin de la monarchie absolue. Si la question des identités régionales demeure aujourd'hui toujours ouverte, le détour par l'Histoire permet d'en mieux saisir les dimensions et les enjeux. Signe que passé et présent peuvent mutuellement s'éclairer.

02/2019

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