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Mes années... devant moi Tome 1 : 1958-1968

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Livres, actualités : tout sur Michel Houellebecq

Révélé avec Extension du domaine de la lutte, publié en 1994 par les Éditions Maurice Nadeau, Michel Houellebecq, né Michel Thomas en 1956 ou 1958 selon ses propres dires, a cultivé le mystère tout au long de sa carrière : après ce premier roman remarqué, il publie Les Particules élémentaires (1998), puis Plateforme (2001), alors qu'il vient de s'exiler en Irlande.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Ray Bradbury

Né le 22 août 1920, Ray Bradbury est un des grands noms de la littérature de science-fiction américaine, particulièrement réputé pour la qualité de ses nouvelles, notamment grâce à ses recueils L'Homme illustré (1951), Un remède à la mélancolie (1958) ou encore les Chroniques martiennes (1950). 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Neil Gaiman

Né le 10 novembre 1960, Neil Gaiman s'est d'abord fait connaitre dans le milieu des comics, avec, après avoir suivi l'apprentissage d'Alan Moore, un début aux côtés du dessinateur Dave McKean. Gaiman entame ensuite sa série la plus célèbre à ce jour, Sandman, qu'il mènera entre 1988 et 1996. 

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Dossier

Le Prix des Libraires

Créé en 1955, le Prix des Libraires est porté par une association réunissant des libraires indépendants. Chaque année, la récompense, décernée au mois de mai ou juin, vient saluer un roman écrit en français. La particularité du prix est de permettre à tous les libraires indépendants de faire entendre leur voix...

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Dossier

Une loi pour entériner les missions des bibliothèques

Déposée auprès de la présidence du Sénat en février dernier, la proposition de loi de la sénatrice d'Ille-et-Vilaine Sylvie Robert relative aux bibliothèques et à la lecture publique a pour ambition d'inscrire les missions des bibliothèques dans la loi.

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Dossier

XIII : 40 années d'amnésie

Cette année marque le 40e anniversaire de XIII, le célèbre amnésique du neuvième art, dont les aventures ont vendu près de 20 millions d'exemplaires. Créé par Jean Van Hamme et illustré par William Vance, XIII est un personnage qui nous emporte entre espionnage, guerilla et secrets d'État dans des aventures pleines de rebondissements.

Extraits

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Littérature française

Mes années... devant moi Tome 1 : 1958-1968

1958 - 1968 deux dates importantes dans l'Histoire de France, mais deux passages importants pour moi. De l'enfant surprotégé par ses parents à l'étudiant lambda spectateur intéressé du mouvement qui fit trembler la France. Du rire surement, des larmes peut-être, de l'émotion sans aucun doute.

09/2019

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Critique littéraire

Correspondance 1938-1958

Quelle place la tauromachie a-t-elle réellement occupée dans la vie de Michel Leiris ? Fut-elle uniquement, pour l'autobiographe, une métaphore de l'écriture ? L'arène devint-elle le lieu où se conjuguèrent ses intérêts pour l'ethnographie, la poésie, le mythe, l'éthique et le langage ? A ces questions, les 186 lettres de sa correspondance croisée avec celui qui fut son mentor dans la "planète des taureaux", André Castel — oenologue nîmois que ses contemporains appelaient "Don Misterio" — apportent une réponse circonstanciée et inédite... Les deux hommes font connaissance en 1938 alors que Leiris, encore jeune ethnographe, s'apprête à publier une série de poèmes tauromachiques, Abanico para los toron. Depuis 1926, année de son mariage, Leiris assiste en effet à des corridas (il en verra près d'une quarantaine jusqu'en 1965), mais ce n'est qu'en 1935 qu'il éprouve une véritable "révélation", lors d'une faena de Rafaellilo Ponce : "[...] je n'ai jamais trouvé, dans aucune oeuvre artistique et littéraire, l'équivalent de ce que j'ai ressenti à Valence en voyant toréer Rafaelillo, très peu de temps avant qu'il reçoive l'alternative", écrit-il à Castel. Révélation confirmée par la première corrida à laquelle ils se rendent ensemble, à l'automne 1938 : encore sous le coup de l'émotion, Leiris en rédige le compte rendu pour La NRF : "Rafaelillo le 9 octobre à Nîmes"... Après la guerre, André Castel veille à introduire Michel Leiris lequel court les arènes pour voir toréer Fermin Rivera ou Luis Miguel Dominguin — dans le "mundillo" : il lui fait découvrir les " terres à taureaux" de Camargue, l'emmène chez des manadiers, l'invite à des "tientas", lui fait rencontrer des toreros et des aficionados. Et par lettres, ils rivalisent d'érudition tauromachique en évoquant les écrits de Garcia Lorca, Bergamin, Hemingway, Montherlant, Stendhal, Melville ou Alarcon... En Castel, Leiris trouva non seulement un spécialiste avec lequel partager une précieuse conversation sur "l'art tauromachique", mais également un "ordonnateur de plaisirs" qui sut accueillir généreusement ses invités : dès le lendemain de la guerre, se sont ainsi retrouvés, dans la cour de son "labo" au coeur de Nîmes, des toreros célèbres et des chanteurs de flamenco, ainsi que Pablo Picasso (compagnon d'aficit6n avec lequel Leiris vit sa première et sa dernière corrida), Georges Bataille, Blaise Cendrars, Elie Lascaux, André Masson, Jean Paulhan, Jean Hugo, Jean Dubuffet... Mais en 1955, le départ brutal d'André Castel pour l'Espagne annonce la fin de ce commerce amical, tout entier tendu vers l'"image même de notre émotion", que Michel Leiris avait reconnue dans Miroir de la tauromachie.

05/2002

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Critique littéraire

Correspondance 1928-1968

En 1928, un autodidacte de 28 ans adresse à La NRF le manuscrit d'un roman, Zig-Zag. L'auteur, abandonné par son père, a couru les rues d'une très vieille ville du Midi pour y épier la vie et l'amour, a perdu sa mère à 12 ans et a dû faire toutes sortes de petits métiers pour survivre. Il est passé aussi par le syndicalisme, le Parti communiste et vient de faire son entrée à Monde, hebdomadaire de gauche dirigé par Henri Barbusse... "Considérez-vous comme accueilli à la NRF", lui répond d'emblée Jean Paulhan. Il est vrai que Jean Paulhan et Marc Bernard sont nés à Nîmes à seize ans de distance : 1884 et 1900. Le premier, dès 12 ans, a été emmené vers Paris par son père, bibliothécaire et philosophe, et ne retrouve le Gard de son enfance que de loin en loin. Le second est presque prisonnier de sa ville natale, vers où les difficultés matérielles, les contraintes de l'Histoire, mais aussi le goût de la vie simple le font toujours revenir : même après ses prix Interallié en 1934 (Anny), Goncourt en 1942 (Pareils à des enfants), Marc Bernard garde en ligne de mire les Nîmois, dont il observe les ambitions et les illusions (Les Exilés, 1939 ; La Cendre, 1949 ; Une journée toute simple, 1950). A Paulhan qui lui avoue "Je donnerais cher pour qu'il y ait beaucoup de révolutionnaires comme toi", il ne cache guère certaines conversions radicales : "Je crois qu'il faut en finir avec ce chantage sentimental sur la Russie. Il ne leur reste plus qu'à accumuler toutes les saloperies possibles et imaginables pour dire ensuite : si vous publiez la moindre ligne contre nous, vous attaquez la révolution". Passent Romain Roland, Henri Calet, Jean Blanzat, Jacques Chardonne, Gaston Gallimard... Viennent Madrid et Barcelone dans les années trente, puis la Seconde Guerre mondiale, pendant laquelle les errements de Bernard sont patiemment raisonnés par Paulhan. Avec sa "bien-aimée" Else, juive autrichienne, Marc Bernard doit se cacher en Limousin, où il se lie avec le photographe Izis : les portraits que celui-ci réalise en 1945 figurent dans ce livre (grâce à son fils, Manuel Bidermanas). "Mon petit Marc", "Mon petit Jean" : c'est ainsi que les deux écrivains s'interpellent encore à 84 ans et 68 huit ans passés. Le plus âgé n'a jamais renoncé à être le conseiller littéraire de l'autre, qui, de son côté, l'a toujours lu avec attention : "C'est terrible, ces grands sujets, écrit Jean Paulhan en janvier 1965. Il me semble que les gens modestes (comme nous) devraient se demander, avant de se lancer : "Mais moi, qu'est-ce que je puis apporter de différent, que je sois seul à dire?" et n'en pas démordre". Toutes leurs lettres n'ont pas été retrouvées, mais les 461 présentées ici montrent la courbe de leur amitié : une amitié différente, et qu'ils ont été les seuls à dire ainsi.

11/2013

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BD tout public

Charles de Gaulle : 1958-1968. Joli mois de Mai

Mai 1968. De Gaulle s'ennuie. Pour lui, il n'y a plus rien de grand à accomplir. Survient la crise estudiantine, sociale et politique qui secoue la France. Se référant sans cesse à mai 1958 et à la façon dont il a manipulé les militaires, les pieds-noirs et les parlementaires de la IVe République, De Gaulle pense facilement venir à bout des contestataires, avec la maestria politique dont il est coutumier. Mais rien ne marche. Le général parait dépassé. Une histoire de fin de règne, celle d'un maître du jeu qui ne maîtrise plus grand-chose et qui s'enferme dans ses souvenirs.

05/2018

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Littérature française

Ho ! Marcel ! Paris, 1968-1998

"C'est étonnant... un récit-témoignage, une fiction, une pièce de théâtre, une peinture sociale, tout un univers pour une aventure humaine de toute histoire, à travers laquelle se croisent, dialoguent, se brouillent, se connectent, se déconnectent l'informatif, le poétique, le lyrique, le tourisme littéraire, la rigueur analytique, politique, psychologique... et pour autant ce ne sera jamais un fatras. Un nouveau roman ? Ou un autre roman ? Un récit autrement... celui d'un autrement approcher la réalité, une époque, sans doute toucher le réel de la pointe de ses actualisations... bref, un événement... dans l'espace littéraire". Philippe Tancelin.

07/2021

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Littérature française

Onze métiers – Cent Galères Tome 1 : Années 1950-1968

Reprise des livres de ma série autobiographique "ADHOMO" desquels je supprime les situations très intimes qui pourraient choquer les âmes sensibles. Cette série, que je déconseille aux moins de seize ans, retrace ma vie intime en plus de ma vie sociale et professionnelle, ce qui en fait des ouvrage disparates mais très fournis. Le présent ouvrage englobe les quatre premiers de ma série. J'ai quelque peu modifié certains passages et ajouté des situations. Je ne fais pas l'impasse sur mes spécialités de jeunesse, c'est ma première période de la vie. Ces années d'après-guerre sont révélatrices de l'évolution des mentalités mais aussi des transformations sociales à travers les emplois que j'exerce. J'y inclus quelques passages "philosophiques" de mon cru, à considérer dans le contexte de l'époque pour ne pas faire de rapprochement avec le fonctionnement actuel des années 2020.

03/2021

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