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Marie-Hélène Froeschlé-Chopard

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Hélène Lafon

Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Bernadette Dupuy

Marie-Bernadette Dupuy est une autrice française née en 1952 à Angoulême. Elle fait aujourd'hui partie des 10 auteurs français les plus lus en France.

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

La littérature à Montmorillon, sous la présidence de Franck Bouysse

Du 2 au 4 juin prochain, la manifestation littéraire dédiée aux territoires et à leurs réalités en mouvement revient. Ouverte à toutes et tous des plus petits aux plus grands, elle offrira lectures, rencontres, débats, projections, ateliers, spectacle jeune public, repas festif, balades patrimoniales... 

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Dossier

La Comédie du livre 2023 : 10 jours de lectures à Montpellier

Créée en 1986, la Comédie du Livre est un des rendez-vous majeurs de la vie littéraire en France, qui réunit chaque année près de 250 auteurs et 70 000 visiteurs à Montpellier. Ces dix dernières années, sa programmation dédiée aux littératures françaises et étrangères, à l'édition indépendante de création littéraire et à l'émergence de nouveaux talents lui ont permis de conquérir de nouveaux publics.

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Dossier

Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

Extraits

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Guides gastronomiques

Tables prodigieuses. Marie-Hélène de Rothschild

Patrice Balny est "chef privé", il exerce son savoir-faire et son talent depuis trente ans au service de la famille Rothschild. Pendant dix ans, il a cuisiné pour Marie-Hélène de Rothschild, l'accompagnant de l'hôtel Lambert à Paris où tout a commencé, au manoir de Meautry, au château de Ferrières, à Marbella et à Marrakech. A travers ces cinq lieux d'exception, le chef livre vingt-cinq recettes parmi les préférées de Marie-Hélène de Rothschild, mais aussi des anecdotes sur la famille et les invités prestigieux reçus à l'occasion de somptueuses réceptions, d'élégantes fêtes déguisées qui ont fait la gloire de l'hôtel Lambert, ou de dîners familiaux plus intimes. Environ 250 photos en couleurs.

02/2023

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Monographies

Marie Orensanz. Entretien avec Hélène Meisel

Livre d'entretien avec Marie Orensanz

02/2023

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Sciences historiques

Images de l'ancienne Provence. Description Historique, Géographique et Topographique des Villes, Bourgs, Villages et Hameaux de la Provence...

Qui n'a jamais ouvert la Description de la Provence d'Achard ? Que l'on cherche à saisir tel aspect de la vie dans les villes ou les villages provençaux de la fin de l'Ancien Régime ou que l'on s'intéresse simplement à telle commune, on est toujours conduit à consulter cet ouvrage d'une exceptionnelle richesse. C'est un guide indispensable, tant pour l'historien que pour le citoyen amoureux de son petit " pays ". C'est que la Description d'Achard est un dictionnaire qui, pour les villes, bourgs, villages ou fiefs de Provence classés par ordre alphabétique, donne des indications sur l'administration, la géographie, l'histoire et les moeurs. Oeuvre encyclopédique, elle aborde ainsi, en deux gros volumes d'environ 600 pages chacun, bien des sujets. Elle est à l'image de son auteur, médecin et académicien, amoureux des Lettres et des Arts, amateur de sciences naturelles, de physique et de numismatique. Mais c'est surtout dans le domaine des fêtes villageoises, les Romérages, que le Description de la Provence d'Achard reste un document irremplaçable qui décrit, dans leurs moindres singularités, tous les aspects de ces réjouissances populaires. La fête est liée à celle d'un saint vénéré par la communauté. C'est donc d'abord une fête religieuse. Elle commence par une procession dans laquelle on porte les reliques du saint que l'on honore par des tirs réguliers de mousquet, la bravade. Cette procession, à l'issue de laquelle on entend la messe, fait le tour du village ou, plus souvent, se dirige vers une chapelle champêtre particulièrement vénérée. Mais la fête n'est pas seulement celle du saint. C'est aussi celle de la communauté d'habitants, dans laquelle s'expriment les compétitions entre les jeunes gens, dans les danses, les courses ou les luttes qui se transforment quelquefois en véritables " guerres ", lorsque le romérage réunit les habitants de plusieurs localités. L'ouvrage d'Achard ne se trouve actuellement que dans les fonds anciens des bibliothèques et son troisième volume est resté manuscrit. C'est pourquoi les auteurs ont choisi de procéder à cette réédition, non pour l'ensemble de la région, mais pour la Provence orientale des pays de Grasse et de Draguignan. Ils ont ainsi le plaisir d'offrir aux chercheurs comme à tout habitant des communes de ces " pays ", avec des illustrations fournies par de vieilles cartes postales ou des clichés inédits datant du début du XXe siècle, ces images de l'ancienne Provence.

12/2010

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Sciences historiques

Tourettes-sur-Loup au XVIIIe siècle. Hérésie et scandale au village

Pourquoi vouloir raconter l'histoire d'un village semblable à tant d'autres villages de Provence, d'un village où tout paraît s'être arrêté pendant des siècles jusqu'aux années 1950 dans lesquelles commence véritablement l'extraordinaire révolution d'une région qu'il est convenu d'appeler, depuis le début du XXe siècle, " la Côte d'Azur"? Peut-être parce que je suis née dans ce village le matin enneigé du 21 janvier 1942. Peut-être parce que, aux yeux de l'historienne que je suis, l'idée d'un village figé sur son promontoire depuis le Moyen Age, d'un village immobile enfermé dans son " patrimoine ", n'est pas recevable. Pourtant, si l'on ouvre les délibérations municipales, on verra l'éternel retour de problèmes lancinants : les mauvaises récoltes qui apportent les disettes, les impôts qu'il faut payer, les pauvres à qui l'on doit l'assistance, les enfants pour qui on doit payer un maître d'école, etc... Tout cela sur un fond d'élections annuelles des édiles locaux, les consuls, choisis immanquablement parmi les plus fortunés, ceux que l'on appelle les " apparents du lieu "... Mais, tous ces documents dépouillés, ainsi que les registres de baptême, mariages et sépultures qui livrent les stratégies d'alliances familiales et donnent les dates des crises les plus graves, celles qui sont dues aux guerres, aux famines ou à la peste, le " mal qui répand la terreur" et que l'on n'ose appeler par son nom au XVIll siècle, il restera toujours à comprendre les habitants de ce lieu, à connaître leur culture. Or, aux XVlIe et XVIlle siècles, la culture se définit dans et par le christianisme. Mais ce christianisme est divers. Il y a celui des évêques ou de leurs proches collaborateurs qui veulent introduire au village les réformes préconisées par le concile de Trente, qui veulent créer de nouvelles confréries. Il y a la religion des habitants qui s'enracine dans des traditions ancestrales. Il y a aussi la religion de certains groupes minoritaires qui ont vécu un moment au village, comme les protestants au XVIIe siècle, ou le petit groupe de " dévots " qui gravite autour d'un prêtre janséniste au début du XVIIIe siècle. Un prêtre accusé de doctrine suspecte et de vie scandaleuse...

09/2009

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Sciences historiques

Saint-Vallier-de-Thiey autrefois. La primauté de la "petite patrie"

La vie d'un village est à la croisée de nombreuses "histoires" générales : histoire de la féodalité et de la construction des villages fortifiés ; histoire de la population et des actes de franchise ou d'habitation qui ont amené les seigneurs à reconnaître l'existence d'un conseil de tous les habitants ; histoire du développement des cultures ou des modalités de l'élevage sur l'ensemble d'une région ; histoire des routes qui relient le village à toute une province ; histoire d'une communauté d'habitants dont les règlements, longtemps définis par la coutume, se fixent au cours des deux derniers siècles de l'Ancien Régime ; histoire d'une religion chrétienne qui devient, en France, à partir du début du XVIIe siècle, celle d'une lutte contre les protestants, celle d'une Contre-Réforme. La vie au village de Saint-Vallier-de-Thiey, c'est tout cela. On y distingue une évolution marquée par un profond contraste entre la fin du XVIe siècle et le début du XVIIe siècle d'une part, le XVIIIe siècle d'autre part. La première période est celle de l'apogée du village après la crise de la fin du Moyen Age : explosion démographique qui conduit à des constructions, à la conquête de nouvelles terres cultivables aux dépens du Défends... Le XVIIIe siècle se caractérise, au contraire, par le repli ou la stagnation de la population et du village. Dans cette longue histoire, la communauté d'habitants joue un rôle éminent. C'est elle qui préside à tous les événements, grands et petits, de la vie au village, comme la répartition de l'impôt en temps de paix ou de guerre, mais aussi les moindres réparations que l'on doit faire au four ou à tel chemin rural. Les consuls qui dirigent cette communauté sont les élus d'un "conseil général", constitué d'un petit groupe de notables réunissant les plus riches des habitants. On a affaire ainsi à un système électif dans lequel le représentant du seigneur n'a quasiment aucun rôle ou plus exactement, dont le rôle se réduit à présider la création du "nouvel Etat". Cet aspect "démocratique" de l'élection détermine l'indépendance de la communauté par rapport à son seigneur. Mais la communauté de Saint-Vallier ne se réduit pas au rôle politique et social d'une minorité aisée. La communauté d'habitants est un tout. Elle a également une forte unité religieuse que l'existence d'une confrérie du Saint-Esprit, encore bien vivante au XVIIIe siècle, permet d'analyser.

11/2013

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Histoire de France

Les premiers républicains grassois. Procès-verbaux des sociétés populaires de Grasse (29 janvier 1794 - 29 décembre 1794) et de Plascassier (27 avril 1792 - 28 septembre 1794)

Le Musée d'Art et d'Histoire de Provence de Grasse conserve les procès-verbaux manuscrits des délibérations de deux Sociétés populaires : la Société de la ville de Grasse et la Société d'un de ses hameaux, Plascassier. Ces manuscrits ont été acquis par M. de Mougins-Roquefort, conseiller à la Cour des Comptes d'Aix en 1876, et donnés plus tard, en 1923, au musée de Grasse. Les deux registres in folio des délibérations quotidiennes de la Société républicaine de Grasse (Ms 40/1, 378 pages, et Ms 40/2, 232 pages) couvrent respectivement les périodes suivantes : 10 pluviôse an II (29 janvier 1794) - 28 thermidor an II (15 août 1794) pour le premier, 29 thermidor an II (16 août 1794) - 9 nivôse an III (29 décembre 1794) pour le second. Les deux petits cahiers des délibérations, très irrégulières, de la Société de Plascassier (Ms 41/1, 38 feuillets et Ms 41/2, 25 feuillets) s'étalent sur une période plus large : 27 avril 1792 - 29 pluviôse an II (17 février 1794) et 30 pluviôse an II (18 février 1794) - 7 vendémiaire an III (28 septembre 1794) pour le second. Ces documents n'ont jamais été publiés. Les Sociétés populaires de Grasse et de Plascassier elles-mêmes n'ont jamais été étudiées autrement que dans une histoire générale, soit du département du Var soit de Grasse, au cours de la période révolutionnaire. Un seul auteur a abordé très succinctement la question, au sujet de la Société de Plascassier. En publiant l'intégralité des procès-verbaux de ces deux Sociétés, les auteurs ont voulu approcher au plus près leur vie quotidienne, différente et complémentaire selon que les membres habitent dans la ville ou dans son hameau. D'autre part, alors que la plupart des procès-verbaux des délibérations de la Société de Grasse sont perdus pour la période qui va de 1791 au début de début de 1794, ceux de Plascassier, qui commencent avec la création de ce club en 1792, permettent de jeter un regard sur la Société de la ville qui l'a créé, qui lui a donné son règlement et qui le domine dans la plupart de ses décisions. Puis, à partir du 10 pluviôse an II jusqu'au début de l'an III, les procès-verbaux des délibérations de la Société grassoise prennent, en quelque sorte le dessus. Ils permettent en effet de saisir directement, en cette période privilégiée de la vie des sociétés politiques, les préoccupations et les actes du club des sans-culottes, tant au niveau local de ses interventions auprès de la municipalité et du district de Grasse, qu'au niveau national de sa correspondance et de son réseau d'affiliations. Tout cela avec pour toile de fond, une guerre omniprésente et quasiment ininterrompue.

01/2018

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