Le grand règne

Grand Roi, Grande Reine et Petit PrinceEmilie SoleilChristine Davenier

Ce lundi 6 février 2012 était une date importante pour nos voisins Anglais. En effet, la reine Elisabeth fêtait ses 60 ans de règne. Mais, comme ce jour correspond également à l'anniversaire de la disparition du père de la reine, George VI, Elisabeth II, du haut de ses 85 printemps, a préféré la simplicité à des festivités ostentatoires qui n'auraient guère convenu à ses habitudes.

C’est le petit jeune – le primo romancier –, qui viendra porter une partie de la rentrée littéraire pour L’Iconoclaste. Peu de titres, traditionnellement, seuls quatre titres seront présentés au public par la maison. Mais il en est un qui retient l’attention, de ceux dont il est bon de se souvenir par avance, parce qu’ils feront parler. Et lire. Surtout lire.

Le 5 novembre 1977 disparaissait René Goscinny, dont les œuvres sont entrées dans le patrimoine tant littéraire que graphique français. Que ce soient les aventures des Gaulois Astérix et Obélix, l’ignoble et haïssable vizir Iznogoud, ou son Petit Nicolas, pris hors du temps... Toutes ces œuvres ont profité de la patte textuelle de Goscinny. Alors une fresque, en hommage ?

Le Prix Régine Deforges 2018 a été décerné à l'écrivain Mahir Guven pour son premier roman, Grand frère, publié en octobre 2017 par les éditions Philippe Rey. Le Prix Régine Deforges sera officiellement remis au lauréat le vendredi 27 avril lors du salon Lire à Limoges.

Les Archivistes, grands oubliés de Mitterrand avec le Grand Emprunt

L’Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée (ACBD) a décidé de remettre son Grand Prix de la Critique 2022 à l'album de bande dessinée René.e aux bois dormants, de Elene Usdin, publié aux éditions Sarbacane. La récompense sera remise à l'autrice au moment du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême.

Universités françaises : la pagaille règne

Le socle de l’écoute qu’un psychologue peut offrir à son patient tient en peu de mots : « On ne conteste pas un ressenti. » A l’ami qui vous dit « j’ai froid », on ne répond pas : « Non, il ne fait pas froid, tu n’as pas froid. » Au patient qui vous dit : « Je sortais à peine de l’enfance quand j’ai été séduit par un homme adulte avec lequel j’ai eu des relations sexuelles consenties, et cette relation m’a traumatisé de mille façons » on ne répond pas « Vous n’avez pas été traumatisé puisque vous aviez consenti... ». Vanessa Springora évoque ce cheminement que les soignants des blessures de l’âme connaissent trop bien du « consentement » de l’enfant vers l’effroi de l’adulte.

Sur une Terre d’où l’Humanité a disparu, les animaux tentent de survivre. Un monde post-apocalyptique, où les castes et les clans se mesurent avec prudence – où les faibles doivent se soumettre aux forts. Mais tout un chacun se soumet à un pèlerinage, vers le Shrine. Pour échapper à une fin certaine.

Chaque jour amène son lot d’annonces de nouvelles formations proposées par des établissements de l’enseignement supérieur. Et, de plus en plus, le terme « bachelor » est utilisé sans qu’on sache véritablement ce qui se cache derrière cette belle appellation issue directement du monde anglo-saxon.

Ce fut à coup sûr l’un des grands romans de la rentrée littéraire 2016 ! Jean-Baptiste Del Amo, qui nous avait tant remués avec un de ses précédents romans, le sel (encore une histoire de famille), retrace dans Le règne animal l’histoire de cinq générations d’une famille de paysans gersois devenus éleveurs porcins.

ROMAN FRANCOPHONE – Dans cette petite ferme qu’exploite la famille, il y a, en dehors des animaux domestiques et du chien, le Père, la génitrice et leur fille Éléonore. Une vie de paysans de la fin du XIXe siècle, dure, laborieuse, pénible, sans répit, acharnée, dont l’issue ne fait pas de doute et dont les souffrances sont offertes, la plupart du temps par les femmes, à Dieu ! Omniprésence divine jusqu’au plus profond des terres rurales !

Directrice de recherches au CNRS, spécialiste de la Russie, Francine Dominique Liechtenhan brosse un portrait passionnant de Catherine II de Russie, publié chez Perrin. 

L'araignée, qui n'a jamais été appelée à devenir pape, alors que l'inverse est vrai, a commencé sa carrière de super-héros génétiquement modifié en 1962. Le premier exemplaire, vendu 12 cents de l'époque en kiosque vient de passer aux enchères...

C'est une tradition à laquelle le chroniqueur du règne de Nicolas 1er ne pouvait pas échapper. Patrick Rambaud, aura décortiqué les aventures, les faits du prince et toutes les petites choses commises durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy.

De par le monde, plusieurs villes ont leur nom désormais attaché au jeu, et plus particulièrement au casino. Si Las Vegas est souvent la plus célèbre, il ne faut pas oublier des villes comme Macao en Asie, et bien sûr Monaco à proximité immédiate de l’hexagone.

Les éditions Syros Oz. Parce que si on n’Oz pas, on n'avance pas. Oz sera une nouvelle collection, prévue ce 25 juin, qui revendique ludisme et légèreté pour les préados. « Des aventures bourrées de fantaisie et d’humour, de pouvoirs qui font rêver, de drôles de créatures magiques, de mondes merveilleux de l’enfance... » Sacrée promesse.

De retour des fêtes, la rentrée oblige, peut-être, à réfléchir à des plats qu’on peut également emporter au travail pour éviter la cantine ou l’éternel sandwich. Quoi de mieux d’une tarte salée ? J’ai plongé alors dans Tartes gourmandissimes 80 recettes pour fondre dans le plaisir…  d’Éric Kayser. Le résultat ? En moins de deux, des repas faciles et des desserts, pour se mettre à table !

Depuis maintenant quelques jours, ActuaLitté est privé d’un outil très prisé : sa newsletter. Envoyée à plusieurs dizaines de milliers d’inscrits, cette epistole ne faisait de mal à personne – voire, nous avons la faiblesse de le croire, servait à certains. Chaque matin, à 4 heures, elle partait sans un bruit et atterrissait dans les boîtes mail. Enfin… ça, c'était avant le drame.

A l’occasion de la prochaine rentrée littéraire, les éditions Julliard publieront le nouvel opus de Yasmina Khadra, La dernière Nuit du raïs, le 24 août prochain. Si, en France, l’information n’est pas encore trop relayée, elle est déjà savamment distillée à l’étranger, rapporte Le Figaro.

ROMAN FRANCOPHONE - Dans Les métamorphoses, Camille Brunel réinvente la pandémie mondiale. Ici, pas besoin de masque, rien ne saurait vous protéger des transformations animalières qui gagnent la planète… Une vision loufoque qui vient bousculer les clichés d’une société étouffée par les médias et la technologie. Dans la lignée de La guérilla des animaux, le roman dénonce et défend également la condition animale.

Certains auteurs ne s'en sortiront jamais. Pour Taslima Nasreen, tout porte à croire que la vindicte - ou doit-on parler d'intifada ? - ne cessera jamais. En effet, un proviseur d'établissement technique vient d'être arrêté, apprend-on des forces de police, pour la bonne raison que la bibliothèque de son institut contenait l'un des ouvrages de Taslima...

Kay et Gerda sont les meilleurs amis du monde. Ils partagent tout, même leurs secrets. Le petit garçon est effrayé par la cruelle Reine des Neiges, qui enlève les enfants, mais son amie promet de ne jamais l'oublier si cela devait arriver. Un jour, Kay est kidnappé par la Reine, qui l'enferme dans son palais de glace. Gerda, n'écoutant que son courage, part à sa recherche. Quand elle parvient enfin au château des neiges, Kay ne la reconnait pas: son cœur et son esprit sont glacés. Ce sont les larmes de Gerda, chaudes et vibrantes d'amitié, qui lui rendront la vie.

Selon les éditeurs américains, la vente de livres numériques, s'élevant quasiment à 20 % du marché, a doublé par rapport à l'an passé. 65 % du marché du livre numérique transiterait par le Kindle, et deux-cent cinquante éditeurs et libraires «indépendants» ont d'ores et déjà signé des contrats avec Google.

Des milliers d'audiolivres de la production littéraire grecque ont été découverts, mis à disposition sur un même site, dans la plus totale illégalité. Cette diffusion a pu être interrompue, pour partie, assure l'OSDEL, l'organisme de gestion collective local.

Il aura fallu une année à Charles IX pour mourir, après avoir signé, sur la demande insistante de sa mère, Catherine de Medicis, l'arrêt de mort de tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un protestant. C'est qu'il faut savoir, pour l'amour et la plus grande gloire de Dieu, massacrer son peuple, au moins un petit peu. On sépare le bon grain de l'ivraie, et tout rentre dans l'ordre.

Deuxième chronique du règne de Nicolas Ier : Rambaud 2, le retour

Le mystère de la donation René Char