Le carnet mystérieux

Le mystérieux trésor de Barbe-Noire

On connaît souvent Jean Cocteau cinéaste, dramaturge ou encore poète mais on passe régulièrement à côté de ses talents de dessinateur. Pourtant, l’artiste aux multiples facettes a laissé de très nombreux dessins dont une série d’autoportraits accompagnés de textes poétiques. Cette œuvre peu connue réalisée en 1924 porte en titre : Le Mystère de Jean l'oiseleur. Jusque-là difficile à trouver, elle vient d’être rééditée en fac-similé dans un très bel écrin bleu nuit aux éditions des Saints Pères.

La passion de l'écriture, c'est le coeur de marché de la société Moleskine, qui diversifie son offre au maximum, avec des carnets personnels, déguisés en enveloppes, toujours avec un soin particulier accordé aux finitions. Sauf que l'amateur de correspondance sera un brin embarrassé par ces carnets très design.

BIOGRAPHIE - C’est sans conteste le plus bel album consacré à l’auteur d’Archives du Nord, et il comblera tous ceux que la pourtant épaisse biographie de Marguerite Yourcenar par Josyane Savigneau (Gallimard, 1990, 542 pages !) et son pauvre cahier photo noir et blanc avaient laissé sur leur faim. Achmy Halley, ancien directeur de la Villa Yourcenar à Saint-Jans-Cappel et auteur de ce nouvel ouvrage, n’est pas seulement l’un des meilleurs connaisseurs de la vie et de l’œuvre de la première dame de l’Académie française, mais sans doute aussi son plus sensible et fervent admirateur.

Impossible, impensable, improbable que vous ayez passé votre enfance sans avoir rencontré Martine, la petite fille entourée d'animaux dont les aventures à la plage, à la montagne ou dans le marais poitevin (encore à écrire) ont émerveillé toute une génération. Voire plusieurs.

L'Ecole des Loisirs a ajouté un dixième carnet rédigé par Agnès Desarthes qui emploie la première personne pour raconter au nom de Lieneke l'histoire de sa famille pendant la Seconde Guerre mondiale. Jacob Van Der Hoeden, le père de notre héroïne, était un chercheur mais il était aussi très doué en dessin. Alors pour réconforter sa fille, isolée dans une famille d'adoption, il garde le contact au moyen de lettres.
On est remplis d'émotions lorsque l'on découvre les poèmes, contes et causettes émaillés de nombreux petits dessins, que reçoit Lieneke de son père. Il évoque surtout les instants de bonheur simple comme la beauté des perce-neiges ou la naissance de deux petits chevreaux. On entrevoit la vie quotidienne de Lieneke dans sa famille d'accueil grâce aux brides d'informations contenues dans les lettres de son père. Car grâce à la résistance, qui transmettait les messages, ils ont pu garder une correspondance continue pendant de long mois.
Cette histoire véridique permettra de faire découvrir cette période de l'histoire de manière tendre et drôle sans faire oublier pour autant l'impatience qui les asseye d'être a nouveau réuni et que les envahisseurs soient enfin repoussés.
A lire absolument quelque soit son âge !

Personne ne sait où il se trouve, et le mystère reste entier. En 1960, Harper Lee publiait un livre racontant l’Alabama profond, et changeait la face de la littérature américaine. To Kill a Mockingbird devenait un succès international, mais restait son unique roman. Presque : un second livre apparaît en 2015, presque miraculeusement… Et ce n’est pas tout.

Il y a des jours comme ça, où les administrateurs de la Boston Public Library ont le sourire aux lèvres dès le matin, après le passage du facteur : depuis 2006, la plus ancienne bibliothèque du pays se rénove à coup de dons anonymes. Trois sommes ont été déposées, par le même usager, pour la restauration et la préservation de documents rares et précieux.

Un tout nouveau portail sur l’édition numérique, l’innovation éditoriale et l'actualité du livre vient d’être lancé. Le carnet de la Fabrique du numérique est produit par Littérature québécoise mobile – pôle Québec, une équipe basée à l’Université Laval. 

Jack BALP, la cinquantaine bien conservée, plutôt bel homme, un mètre quatre-vingts, teint mat et brun,  yeux marron, à l’allure sportive, revenait d’une semaine de travail sur Paris.

Voilà cinq ans que le carnet circule de main en main, et que 72 illustrateurs partout dans le monde, ont mis leur petit coup de plume, pour apporter leur contribution. 

La plateforme Disney+ diffuse en France, à partir du 26 octobre prochain, la saison 2 de la série Le mystérieux cercle Benedict, tirée des livres de Trenton Lee Stewart. Ces derniers ont été publiés chez Bayard Jeunesse puis au Livre de Poche dans des traductions de Jean-Baptiste Dupin.

The Mysterious Benedict Society qui a fait la célébrité de Trenton Lee Stewart depuis sa sortie en 2007, se verra bientôt adapté sur le petit écran, apprend-on. La série, qui devrait voir le jour sur la plateforme Hulu, mettra en vedette Tony Hale dans le rôle du bienfaiteur quelque peu excentrique Nicholas Benedict, et de son frère jumeau diabolique, Ledroptha Curtain.

Matthieu Orphelin, un proche de Nicolas Hulot, a décidé de livrer en format ebook un carnet de bord intitulé Petites chroniques d'une primaire écologiste, qu'il a tenu lors de la campagne des primaires écologistes.

Depuis le mois de février, La Poste suisse suscite de vives inquiétudes. Un accord passé avec Amazon, facilitant l’implantation d’une filiale sur le territoire helvétique, soulève de nombreuses questions. Voilà maintenant plus d’un an que Amazon.ch a été annoncé, mais, pour l’heure, rien ne point. Anne, ma sœur Anne, que se passe-t-il ?

Alors que sa boutique en ligne annonce qu'elle dispose de la plus grande sélection de livres numériques de l'Irlande, la chaîne Easons et la librairie Figgis Hodge vont proposer prochainement des appareils de lecture numérique pour leurs clients. Une déclaration qui intervient au lendemain de l'accord dévoilé entre la chaîne Waterstone's et le géant américain, Amazon, autour du Kindle. 

BD JEUNESSE - Après les Lulus, l’Amiénois Régis Hautière agrandit sa famille d’enfants héroïques. Mais pour cette nouvelle série co-scénarisée avec Régis Goddyn (auteur de fantasy faisant ici ses débuts en bande dessinée), changement d’ambiance et de décor. De l’Aisne en 1914 à l’Afrique noire… et ailleurs, à une époque indéterminée.

Cet annuaire inversé, d’apparence classique, sert à savoir qui vous a appelé grâce au numéro de téléphone. Enfin, c’est ce que les utilisateurs du site croyaient. Une fois le numéro entré, des suites de phrases apparaissent, sans lien les unes avec les autres. Étrange, certes, mais rien d’effrayant, jusqu’à ce que les énoncés commencent à vous viser… 

« Je vous assure que je ne comprendrai jamais le succès de Tintin. Pour moi, il doit y avoir, au départ, un malentendu », avouait Hergé. Plus de trente ans après sa mort, le succès de Tintin perdure. L’universalité de son audience n’est plus à démontrer, avec une traduction en plus de cent langues. Mais s’est-on vraiment interrogé sur les raisons de ce succès, par-delà la reconnaissance de l’immense talent du dessinateur et scénariste belge ?

À London, dans la Province de l'Ontario, au Canada, un singulier mystère se déploie — ou déplie. Un mystérieux usager, ou usagère, dépose régulièrement dans les bibliothèques de l'université Western des origamis. Quelques habituelles grues, bien sûr, mais aussi des pièces bien plus élaborées, pour le plus grand plaisir des autres usagers et des bibliothécaires.

L'académie d'Amiens doit constamment faire face à un déficit d'enseignants. Si le nombre de lauréats des concours enseignants natifs de la région est déjà inférieur aux besoins, s'ajoute à cela le désir, pour beaucoup d'entre eux, de partir au soleil. Résultat, le turn-over des enseignants en Picardie est particulièrement important.

Moleskine et la fondation éponyme investissent trois lieux parisiens pour une exposition d’œuvres d’art créées à partir des célèbres carnets. Le Palais de Tokyo, le Bon Marché ainsi que Ground Effect accueilleront les quelque 1300 œuvres composant la collection Detour hors du commun.

Un censeur mystérieux sévit en bibliothèques : Fuck !

L’artiste Gildas Chassebœuf a rassemblé dans un carnet les témoignages des personnes qui vivent autour de la maison d’arrêt de Saint-Brieuc. Ce projet a débouché sur l’édition d’un livre, sur une exposition lors du festival Bulles à croquer, à Saint-Brieuc les 7 et 8 juillet et sur une journée d’étude « Écrire en prison » le 6 juillet.