Recherche

La maladie du commissaire

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Le Commissaire Maigret, figure historique de la littérature policière

Le retour du Commissaire Maigret, cette fois sous les traits de Gérard Depardieu, relance l’intérêt pour le personnage de Georges Simenon. À travers 75 romans policiers et 28 nouvelles, l’enquêteur a officié entre 1931 et 1972. Amateurs de vins — sauf le champagne — et fumeur de pipe, il aura connu bien des visages sur petit et grand écran. 

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres d'Andrea Camilleri

Andrea Camilleri était un écrivain italien renommé, célèbre pour sa série de romans policiers mettant en scène le commissaire Montalbano. Il est né le 6 septembre 1925 à Porto Empedocle, en Sicile, et a grandi dans la ville voisine de Agrigente.

ActuaLitté

Dossier

KILÉMA Éditions : Pionnier du Facile à Lire et à Comprendre

Fondée en 2021, KILÉMA Éditions est la première maison d'édition francophone axée sur le Facile à Lire et à Comprendre (FALC). Elle vise principalement les personnes atteintes de maladies de l’intelligence, leur offrant l'opportunité d'accéder à la littérature de manière adaptée.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix “Envoyé par La Poste”

Créé par la Fondation d’entreprise La Poste, le prix « Envoyé par La Poste » récompense un manuscrit (roman ou récit) adressé par courrier, sans recommandation particulière, à un éditeur qui décèle, avec son comité de lecture, un talent d’écriture et qui décide de le publier.

ActuaLitté

Dossier

Festival international de la bande dessinée d'Angoulême

Qu'on l'apprécie ou non, le Festival international de la bande dessinée d'Angoulême reste l'une des plus grandes manifestations du monde consacrées à la bande dessinée.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Goncourt de la biographie

Dès 1980, l'Académie Goncourt se dote d'une bourse pour soutenir les auteurs de biographie : Jean Lacouture reçoit la première récompense pour son ouvrage François Mauriac, consacré à l'auteur d'Un Nœud de vipères et publié par les éditions du Seuil. Devenu un Prix Goncourt au même titre que le Goncourt de la nouvelle, par exemple, le prix est désormais remis chaque année par les académiciens, au cours d'une cérémonie organisée à Nancy pendant l'événement Le Livre sur la Place.

Extraits

ActuaLitté

Littérature étrangère

La maladie du commissaire

Le commissaire Leandri enquête sur la mort d'Enza Gorla. Il l'avait connue du temps de leurs études, et son enquête va naturellement le mener à la rencontre de ses anciens condisciples, qui étaient tous plus ou moins amoureux de la belle Enza. A travers une série d'interrogatoires, La maladie du commissaire aboutit à une subtile mais impitoyable spectrographie de l'Italie contemporaine et de la génération rebelle des années 70. L'enquête policière se double d'une investigation existentielle et d'un examen rétrospectif qui embrasse vingt ans d'histoire. Le pouvoir de fascination de ce roman tient pour une large part à ses atmosphères et plus encore au personnage du commissaire Leandri. Quelle est l'étrange maladie qui le ronge ? Prendrait-elle source dans une inaptitude à admettre le Mal, le monstrueux, tout ce qui dépasse notre entendement et que nous taxons de folie ? Mais alors n'est-ce pas précisément notre maladie qui nous sauve, qui nous empêche de nous abandonner au désespoir et de reconnaître, en même temps que l'existence du Mal, la vanité de nos efforts ?

02/2002

ActuaLitté

Littérature étrangère

La maladie

Voici une belle leçon d'écriture et d'éthique. Alors que d'autres romanciers moins doués n'auraient pu éviter de tomber dans le mélodrame ou dans un pathétisme complaisant, Alberto Barrera Tyszka trouve le ton juste - pudique, profond, émouvant - pour nous raconter une histoire de tous les jours, mais dont on ne parle pourtant pas très souvent. Car, quand la maladie surgit, elle impose le silence et elle trace, immanquablement, et partout où elle se manifeste, des lignes de partage qui isolent et séparent les protagonistes et les témoins de cet événement imprévisible. Au début du roman, Andrés Miranda, médecin dans un hôpital de Caracas, apprend que son père, Javier, est atteint d'un cancer. Bien qu'il ait toujours soutenu qu'il ne faut pas cacher la vérité aux patients, cette fois-ci, il n'ose rien dire au malade. Au lieu de lui transmettre les résultats des examens, et dans l'espoir de trouver le bon moment pour lui parler en toute franchise, il l'invite à faire un voyage sur une île des Caraïbes, Margarita, qu'ils avaient déjà visitée ensemble des années auparavant. Mais le docteur Miranda a un autre souci : se débarrasser d'un ancien patient, Ernesto Duràn, qui se dit très malade, et lui envoie régulièrement des e-mails pour lui demander de le recevoir d'urgence. Agacé, convaincu qu'il s'agit d'un malade imaginaire, Andrés demande à sa secrétaire, Karina, de ne plus lui transmettre les messages d'Ernesto. Il ignore qu'il existe entre eux une relation secrète dont la portée va créer très vite une situation explosive pour le médecin. Avec beaucoup d'habileté et de savoir-faire, Barrera Tyszka développe ces deux trames qui se répondent et finissent par prendre au piège les personnages et le lecteur. Mais en vérité il fait bien plus que cela : il nous invite à rompre le silence sur un sujet tabou et à mieux connaître la réalité de la maladie tout au long d'un roman parfaitement maîtrisé, à la fois d'une force et d'une sérénité admirables.

04/2010

ActuaLitté

Littérature étrangère

La maladie

La nuit terrestre que Birgitta Trotzig, de livre en livre, fait se refermer toujours plus implacablement sur ses personnages, atteint ici une épaisseur qui donne au livre une dimension de cauchemar épique d'autant plus terrifiant qu'il ne cesse d'être lié aux choses les plus concrètes de la nature et de la vie, et qu'il nous est communiqué selon les règles narratives d'un strict réalisme. La misère matérielle, dans l'univers de Birgitta Trotzig, ne se distingue en rien du malheur métaphysique, de l'absence de Dieu. Et ce serait trop peu de dire que l'auteur affronte ici le problème du Mal : le Mal comme problème a ses rires, ses échappées heureuses, ses défis, son plaisir. Rien de tel dans ce livre, où le Mal, si Mal il y a (mais il n'est pas nommé), règne en maître absolu. Cette vaste parabole est inséparable du cadre où elle se déroule : ciel bas sur les terres plates des champs de betteraves argileux, haies de saules dans le blanc dégouttant de pluie, brume, maisons grises. La seule couleur vive est celle des flammes de la briqueterie et celle de la guerre, des ghettos et des villages incendiés. Nulle psychologie, nulle parole presque, nul dialogue ne relance le récit. Dans le mutisme général, gestes et regards traduisent seuls la "vie intérieure", qui se confond avec les cris muets de l'inconscient, la pensée larvaire du rêve, l'incompréhension, traversée de lueurs de pitié. C'est là sans doute la singularité la plus frappante de Birgitta Trotzig que son réalisme insistant, cruel, presque incommodant, atteigne comme sans la rechercher jamais la force poétique.

03/1977

ActuaLitté

Littérature Italienne

La maladie

Il s'était couché comme d'habitude, avec son aspect et son humeur de tous les jours, et il s'était réveillé... ainsi... Libero Bigiaretti.

03/2021

ActuaLitté

Poches Littérature internation

De la maladie

Dans ce court texte écrit en 1926 pour la revue de T. S. Eliot, Virginia Woolf s'interroge sur cette expérience particulière dont personne ne parle, dont le langage peine à rendre compte, mais que tout le monde connaît : la maladie. Lorsqu'on tombe malade, constate-t-elle, la vie normale interrompt son cours réglé pour laisser place à un état de contemplation où le corps reprend ses droits et où l'univers apparaît soudain dans son indifférence totale à la vie humaine.

05/2018

ActuaLitté

Romans historiques

La maladie du roi

Versailles, 1686. Le règne du Roi-Soleil vacille. Louis XIV doit mener bataille contre les puissances européennes.11doit aussi lutter contre une fistule venue s'ajouter aux nombreuses maladies qui attaquent son corps abîmé. Alors que l'ambassadeur du Siam attend d'être reçu, le jeune chirurgien Félix de Tassy est chargé d'opérer le roi. De son intervention dépend la survie du pouvoir. Pendant ce temps, les espions rôdent à Versailles tandis que les Jésuites rêvent de convertir les populations d'Extrême-Orient. À partir de faits réels, Christian Cariseya composé un roman sur la fragilité du pouvoir. On y croise de grands noms de la cour, tels Louvois, Madame de Maintenon, le père La Chaise ou la Palatine, et l'on découvre enfin qui se cache derrière le Masque de fer...

09/2013

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté