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La drôle de guerre. L'entrée en guerre des Français (septembre 1939 - mai 1940)

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La guerre de Vladimir Poutine contre l'Ukraine ou la Russie impériale

En fond historique, la place Maïdan, d’où était partie la révolution de 2014 qui avait conduit au soulèvement contre le gouvernement. Mais depuis le 24 février, la Russie de Vladimir Poutine a décidé d’une invasion du territoire ukrainien. Une force militaire en marche qui soulève l’indignation internationale et provoque des réactions de soutien partout dans le monde. Les organisations littéraires avec des mots pour armes grossissent les rangs de cette opposition.

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Le Syndicat national de l'édition (SNE)

Créé en 1874, le syndicat rassemblant les éditeurs de livres français devient le Syndicat national de l'édition à la sortie de la Seconde Guerre mondiale, en 1947, et réunit rapidement plusieurs centaines de maisons d'édition. La structure permet d'organiser l'action collective, notamment auprès des pouvoirs publics, mais aussi de mettre en œuvre des campagnes de promotion du livre et de la lecture au niveau national.

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Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

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Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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L'humeur de la rentrée littéraire

Parce qu’il faut de l’humour pour inventer un moment de l’année où près de 600 romans vont s’affronter pour trouver une place en librairie, rions ensemble.

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Histoire de France

La drôle de guerre. L'entrée en guerre des Français (septembre 1939 - mai 1940)

Entre la déclaration de guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939 et l'entrée des troupes de la Wehrmacht en France le 10 juin 1940, alors que les états-majors se préparent à l'affrontement, les Français prennent progressivement conscience de la réalité de la guerre. Cette période, souvent perçue comme faite d'insouciance avant la plongée dans les « années noires », a pourtant bien été un temps de guerre pour la population française. Rares sont les périodes de l'histoire récente qui ont suscité autant d'idées reçues que les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale en France. L'expression « drôle de guerre », qui s'est développée parmi les soldats à l'automne 1939, s'est imposée pour qualifier une entrée en guerre qui se serait faite « à reculons », par opposition à l'été 1914. Pourtant, malgré l'absence d'offensives d'envergure, une étude attentive du quotidien des Français n'en montre pas moins que le pays était bien en état de guerre, avec des familles déchirées par la mobilisation, la peur des attaques aériennes soudaines, les déplacements de populations frontalières, et l'arrière déjà contraint à de nombreux sacrifices. En se fondant sur des sources encore inexploitées, notamment des archives saisies en Allemagne par les Soviétiques au lendemain de la guerre, Fabrice Grenard s'intéresse de près non seulement à la situation militaire et politique de la France mais aussi et surtout à l'état d'esprit des Français et à la façon dont ils ont vécu ces huit premiers mois du second conflit mondial.

09/2015

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Histoire de France

Les soldats de la drôle de guerre. Septembre 1939 - Mai 1940

" Drôle de guerre " pour les Français, " guerre assise " pour les Allemands, " guerre des rumeurs " pour les Anglais : ces huit mois d'escarmouches terrestres, aériennes et navales ont paradoxalement été vécus comme un vrai combat pour le moral des troupes. François Cochet raconte une vie qui devient chaque jour plus difficile. L'ennui mène son travail de sape, la désobéissance gagne et la chaîne de commandement s'effrite : c'est la " dépression d'hiver ". Jeux de cartes, alcoolisme deviennent le lot commun. Sur la ligne Maginot, les soldats attendent. Cependant, l'industrie de guerre tourne à plein régime, la France s'arme et les militaires se font ouvriers : ils manient la pelle, la pioche, coulent parfois du ciment pour construire des fortifications et protéger la frontière. L'auteur relate avec finesse une période complexe de la Seconde Guerre mondiale, loin des stéréotypes qu'en a gardés la mémoire collective : les Français ne sont pas partis au front à reculons, mais forts du devoir à accomplir et décidés à en finir une fois pour toutes avec l'Allemand. La débâcle de 1940 n'était pas inéluctable. François Cochet s'attache à penser la drôle de guerre comme une période en soi : la véritable défaite des dirigeants est de n'avoir pas su expliquer le sens du combat à mener et les moyens envisagés pour vaincre l'Allemagne nazie.

09/2004

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Histoire de France

Vivre la drôle de guerre en Moselle et à la frontière. Septembre 1939-mai 1940

En septembre 1939, Les frontières de l'est de la France sont désertées par leur population suite aux opérations d'évacuation vers le sud-ouest et Le nord du pays. Plus de témoins et point de photos pour fixer l'événement. Les civils, absents, ne savent pas ce qui s'y passe, ne découvrant pour la plupart les dégâts de La guerre qu ä Leur retour pendant l'été 1940. Mais, en même temps, ces territoires sont livrés à la troupe et voient défiler une grande partie des hommes mobilisés pour se positionner face à l'ennemi. Les témoins sont donc les soldats, souvent de passage, dont les récits rassemblés par le centre de documentation d'Ascomémo à Hagondange alimentent cet ouvrage. Cette guerre qualifiée de "drôle " par Roland Dorgelès ne le fut pas. Pendant cette période d'attente, les pertes militaires françaises hors marine s'élèvent à 10 410 morts majoritairement dues aux maladies et, dans une moindre mesure, aux accidents. Du côté allemand, d'octobre 1939 à avril 1940, on compte 8 900 tués et 500 disparus. Le double témoignage, écrit et photographique, Livré ici à l'occasion du quatre-vingtième anniversaire de ladite " Drôle de guerre ", permet, les auteurs l'espèrent, de poser un autre regard sur cet épisode douloureux de notre histoire appuyé sur une iconographie riche de plus de 700 clichés.

12/2019

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Histoire de France

Georges Orselli. Officier, gouverneur des colonies, industriel : un patriote critique

Fils d'instituteur, Georges Orselli (1896-1971) échoue au concours de l'Ecole Polytechnique arrêté par la guerre en 1914. Engagé en 1915, il refuse d'être officier. Il entre à Polytechnique en 1919. Officier d'aviation par passion du vol, ingénieur au Service du matériel et homme de terrain, il fait la guerre au Maroc (1931-1933). Lors du célèbre raid de la Croisière Noire (8 novembre 1933-15 janvier 1934), il est le copilote de son chef, le général Vuillemin, futur Chef d'état-major général de l'Armée de l'Air de 1938 à 1940. Plus jeune Commandant de l'Aviation en 1934, il quitte l'armée en 1938 et entre à L'Air Liquide qui l'envoie au Japon au début de 1939. Mobilisé sur place malgré ses demandes à revenir se battre, il rejoint la France libre en janvier 1941 et s'engage dans la Royal Canadian Air Force, où il fait un nouvel apprentissage d'officier britannique. De Gaulle le récupère et l'envoie en septembre 1941 dans le Pacifique pour commander l'aviation que devaient y fournir les Britanniques, ce qui avorta. Il le nomme alors Gouverneur des Etablissements français d'Océanie où il restera jusqu'en fin 1945 malgré sa demande d'obtenir un commandement dans l'aviation française en début 1944. Gouverneur à la Martinique en 1946-1947, puis en Côte d'Ivoire en 1948, il est mis à la retraite d'office pour s'être opposé à la violente reprise en main de la colonie, ce dont il témoignera devant une Commission d'enquête parlementaire en 1950. En 1949, il entame une carrière d'importateur de matériel industriel allemand, en précurseur de la réconciliation franco-allemande et de la Communauté européenne du charbon et de l'acier créée en 1951.

10/2014

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Histoire de France

La drôle de guerre. La vie politique en France, 2 septembre 1939-10 mai 1940

La drôle de guerre n'avait pas jusqu'ici retenu l'attention des historiens qui se préoccupaient davantage des causes de la défaite et des derniers jours du régime. Pourtant la période mérite mieux que des allusions discrètes. Elle présente un intérêt à la mesure de son caractère exceptionnel car, tout à la fois, elle annonce et éclaire Vichy tout en constituant une sorte de cas limite en raison du facteur nouveau introduit par la guerre : que deviennent, à son épreuve, les structures et les cadres de la vie politique démocratique - Parlement, opinion, partis, presse? C'est à combler cette lacune de l'historiographie et à répondre à ces questions que s'attache l'auteur, Guy Rossi-Landi, maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris. Grâce à une documentation abondante, parfois inédite, il peut trancher sur plus d'un point controversé et plus d'une allégation partisane. C'est donc une inappréciable contribution que cet ouvrage apporte à l'histoire contemporaine comme à la science politique.

01/1971

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Ouvrages généraux

Camps d'internement en France, 1939-1940. La drôle de guerre des "indésirables" français

En période de crise, certains pans de la société sont toujours suspectés par les pouvoirs en place d'être des ennemis potentiels : à cause d'un engagement politique, où même leur non-engagement peut devenir suspect, en raison d'une appartenance à une nation ennemie, etc. En France, pendant la drôle de guerre, à la suite de la signature du pacte germano-soviétique et de la dissolution du Parti communiste, le gouvernement Daladier décide d'éloigner du front et des usines de la banlieue muge des "indésirables français" estimés dangereux pour la Défense nationale et la sécurité publique. Ainsi, plus de 1 000 militants communistes, élus, syndicalistes ou anarchistes sont internés dans des camps de la région parisienne (Roland-Garros, Bailler-en-France, ferme Saint-Benoît...). La plupart sont ensuite mobilisés dans cinq formations militaires spéciales, les Compagnies spéciales de travailleurs militaires, puis sont affectés à des travaux de génie civil dans les Alpes. D'autres indésirables politiques, non mobilisés, sont envoyés à l'île d'Yeu. Pour "nettoyer la capitale", le préfet et le gouverneur militaire de Paris internent administrativement d'autres suspects civils, des réservistes, des repris de justice ou des gens sans aveux dans des forts de la région parisienne (batterie de l'Yvette et fort de Vaujours). Ce livre rassemble des textes, des témoignages et des photographies parfois inédits sur cet aspect méconnu de la Seconde Guerre mondiale en France.

06/2021

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