Recherche

Jacques Mény, André-Alain Morello, Jean-Marc Quaranta, Grégoire Lacaze, Nicolas Bianchi

Rédacteurs

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Grégoire Delacourt

Grégoire Delacourt est un écrivain français, né en 1960, dont les œuvres ont suscité l'intérêt tant au niveau national qu'international. Avant de se consacrer pleinement à l'écriture, Delacourt a fait carrière dans la publicité, un domaine où il a acquis une expertise notable. Cette expérience a influencé son style d'écriture, caractérisé par une capacité à capter l'attention du lecteur avec des récits à la fois accessibles et profonds.

ActuaLitté

Dossier

Romans, nouveautés : tous les livres d'Alain Damasio

Alain Damasio, de son vrai nom Alain Raymond, est né le 1er août 1969 à Lyon. Il adopte son pseudonyme en hommage à sa grand-mère, Andrée Damasio. Après un baccalauréat scientifique, il poursuit des études à l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), mais se détourne rapidement du monde des affaires pour embrasser la carrière d'écrivain, se spécialisant dans la science-fiction et la fantasy​​​​.

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Marc Levy

Né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt, Marc Levy connait plusieurs carrières avant de se mettre à l'écriture : le succès de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, l'incite à se consacrer exclusivement à son activité d'auteur. Bien lui en a pris : à un rythme qui devient rapidement annuel, Marc Levy publie un roman qui devient presque automatiquement un ouvrage classé dans la liste des meilleures ventes.

ActuaLitté

Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

Extraits

ActuaLitté

Critique

Giono. Paysages

Tout le monde connaît la Provence de Giono, mais moins ses paysages espagnols ou italiens. Ce volume montre la modernité de ce précurseur de l'écopoétique et la façon dont le paysage, personnage à part entière, habite son oeuvre. Giono est gourmand de paysages. Il regrettait le peu de cas fait du paysage chez deux de ses auteurs favoris, Machiavel et Stendhal. Du premier, il écrit : "Nicolas ne nous renseigne guère sur le paysage qui l'entoure". Stendhal, pour sa part, note en marge de l'écriture de ses romans "Ici paysage, ici description" sans pour autant le faire, "mais moi", ajoute Giono, "à ce moment-là, j'avais besoin d'une description, d'un arbre, d'une herbe, d'un bruit dans la nature...". Giono a mis le paysage au coeur de son oeuvre et a beaucoup réfléchi à sa fonction romanesque. Cet ouvrage, auquel ont collaboré les meilleurs spécialistes internationaux de son oeuvre, propose une exploration paysagère de l'oeuvre de l'écrivain trop souvent cantonné à la Provence. Il passe en revue le paysage au travers de ses différents aspects, dans un mouvement qui conduit du plus familier au plus surnaturel : les lieux du paysage (villages, jardins, parcs, forêts, cataclysme), les territoires du paysage (Provence, Italie, Espagne), le paysage dans le "cycle du Hussard" (Stendhal, la lumière et l'ombre), les thèses que porte le paysage (discours sur la guerre, utopie et dystopie), l'écopoétique (l'olivier, les métamorphoses d'un paysage en perpétuel mouvement), le labeur du paysage (traduction et genèse textuelle) et enfin ses médiums (métatextualité, peinture, couleur, cinéma).

04/2024

ActuaLitté

Religion

La légende dorée. Tome 1

Saint André, saint Nicolas, saint Thomas, saint Etienne, saint Jean, saint Paul, saint Rémi, saint Marcel, saint Antoine, saint Sébastien, saint Vincent, saint Julien, saint Ignace, saint Valentin, saint Pierre, saint Grégoire, saint Patrice, saint Georges, saint Marc, saint Philippe, saint Jacques, saint Léon, sainte Lucie, sainte Agnès, sainte Paule, sainte Agathe, sainte Sophie, sainte Marie l'Egyptienne, sainte Apolline, sainte Pétronille, sainte Marine, sainte Marguerite, sainte Marie-Madeleine, sainte Christine.

01/1967

ActuaLitté

Littérature française

Jean-Jacques

" Etre fan est un trou dans la tête que l'on comble de la lumière d'un autre. " Enfant des Stones et de Bowie, elle n'aurait pas dû s'enticher d'un chanteur de variété française. Envers et contre tous, Goldman est resté l'idole de son adolescence, le frère, l'oncle, l'ami venu animer sa vie intérieure. Comme tous les fans, elle s'est sentie incomprise, possessive, torturée. A bientôt quarante-quatre ans, l'âge où l'on s'accepte, l'âge où grandir n'est en théorie plus un concept, Carine H. , scénariste parisienne fraîchement établie dans la cité phocéenne, s'est donné pour mission de rencontrer Jean-Jacques Goldman - son dieu intime - et de filmer cette quête. Car Marseille, ville rugueuse de son exil tardif, abrite, dit-on, son chanteur préféré. Et c'est pour elle providentiel. De la Corniche au palais Longchamp, une traque burlesque, tendre et poétique qui, à défaut du vrai Jean-Jacques, mais à grand renfort de mauvais sosies et avec la perspicacité d'un Philip Marlowe, va conduire une femme à aller au bout de ses rêves. Et qui sait si cette amoureuse du cinéma, qui voit dans chaque scène de sa vie un peu de James Ivory ou de Billy Wilder, ne finira pas par apprivoiser sa propre histoire... A propos de l'autrice Diplômée d'HEC, Carine Hazan a d'abord travaillé dans la publicité avant de devenir scénariste. Elle est aussi réalisatrice de courts métrages et autrice pour la jeunesse. Son dernier album, La Petite Vague bleue, a paru chez Gallimard en 2020.

01/2021

ActuaLitté

BD tout public

Jean-Jacques

Grands admirateurs de Rousseau, Jean et Jacques Chapelet n'ont qu'une obsession : inviter le philosophe chez eux, à Précy-sur-Oise. Tant pis si leur maison tombe en ruine ou si le jardin qu'ils dessinent en s'inspirant des paysages décrits dans La Nouvelle Héloïse est inculte. Il viendra ! Et s'il ne veut pas, ils iront le chercher. Par les pieds s'il le faut.

08/2009

ActuaLitté

Critique littéraire

CAHIERS ANDRE GIDE N°12 : CORRESPONDANCE ANDRE GIDE JACQUES COPEAU. Décembre 1902-Mars 1913

C'est à la lecture des Nourritures terrestres et de L'Immoraliste que Jacques Copeau s'est épris d'André Gide, son aîné de dix ans. La première lettre qu'il ait reçue de lui, début janvier 1903, il l'avait attendue avec une impatience émue... Ainsi commence une riche et passionnante correspondance, l'une des plus longues que Gide ait entretenues, qui ne cessera qu'à la mort de Copeau en 1949 : près d'un demi-siècle d'échanges épistolaires, preuve tangible d'une amitié que ne devaient démentir ni les fluctuations de l'existence, ni les divergences d'opinions ou de préoccupations, ni les inévitables crises de confiance. Ces lettres, par la vivacité d'un dialogue tantôt grave, tantôt enjoué, dessinent le portrait au naturel de deux êtres en perpétuelle quête d'authenticité, reproduisent la courbe de deux carrières exceptionnellement fécondes. Ce premier tome correspond aux années 1903-1913, jusqu'à la fondation du théâtre du Vieux Colombier : une période intensément vivante dans les relations des deux amis que Claude Sicard, dans sa pénétrante introduction, appelle "le temps de la complicité" . Deux hommes se découvrent ici, se livrent, s'exaltent, s'encouragent dans leurs productions. Les sujets touchent à tous les domaines : la vie littéraire, la fondation de La N. R. F. et son fonctionnement au quotidien, la vie théâtrale, la vie artistique, la réflexion sur la création, la vie intime enfin dont se nourrit la lucide analyse d'eux-mêmes et de leur temps.

12/1987

ActuaLitté

Critique littéraire

CAHIERS ANDRE GIDE N°13 : CORRESPONDANCE ANDRE GIDE JACQUES COPEAU. Mars 1913-Octobre 1949

Le 30 janvier 1912, Copeau écrivait à Gide : «Ce mystérieux sentiment de ressemblance qui m’attira vers vous jadis, il ne nous a pas trompés. Je médite bien souvent là-dessus, et sur la nature de notre amitié dont rien ne pourra relâcher le lien.» Pourtant, après le temps de la complicité, voici le temps des épreuves et des routes divergentes. Ce second volume couvre une période nettement plus étendue que le premier. Le rythme de la correspondance n’est plus le même ; des plages de silence s’établissent, par-delà lesquelles subsiste un sentiment profond. Avec la création du théâtre du Vieux Colombier, Copeau a enfin trouvé sa voie la plus authentique, un engagement de tout son être que Gide n’approuve pas sans réticences. Surviennent la guerre, puis, pour Copeau, l’exil américain, la reprise du Vieux Colombier, le départ en Bourgogne, l’isolement altier et surtout le retour à la foi ; pour Gide, des ouvres maîtresses - Corydon, Si le grain ne meurt, Les Faux-Monnayeurs -, le voyage au Congo, le flirt avec le communisme. Si deux collaborations théâtrales, Saül et Perséphone, les réunissent, le temps n’est plus aux échanges fructueux, les distances menacent de se creuser. Cependant, les liens d’affection qui se sont affermis entre Madeleine Gide et Agnès Copeau contribuent à éviter la rupture, et l’amitié survit aux épreuves. Le 28 août 1939, Copeau peut écrire à Gide : «Je n’ai rien trouvé, tout au long de ma vie, ni qui vous vaille, ni que j’aime mieux» ; et Gide de répondre : «Votre dernière lettre m’a fait fondre le cour et venir les larmes aux yeux.» Commence alors «le bail de vieillesse» souhaité par Copeau et placé sous le signe d’une tendresse indulgente où s’expriment des sentiments vrais, épurés : la vérité du cour.

01/1989

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté