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Hugues Mouckaga

Extraits

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Sociologie

Le Bapunu du Gabon, communaute culturelle d'Afrique centrale. Sexualité, veuvage, alcoolisme, esclavage, maraboutage, anthropophagie

Le veuvage des femmes chez les Bapunu avait des allures " spartiates " dans la société précoloniale. Mais qu'en est-il aujourd'hui ? La sexualité des hommes et des femmes, au sein de cette communauté culturelle, était-elle particulière au point d'en faire des experts ? Les Bapunu, étaient-ils des consommateurs impénitents de vin de palme, le dinguib di mbari ? Qu'en est-il de nos jours ? Et les Banzèbi : furent-ils leurs esclaves ? Etaient-ils acquis par eux en échange du sel ? Et les Fang : leurs femmes pratiquent-elles le tabeghe si, autrement dit le " maraboutage " ? Et les hommes de ce groupe, ont-ils été et restent-ils des praticiens du nzi bot, c'est-à-dire l'anthropophagie ? Telles sont les questions que l'auteur a soulevées dans cet ouvrage et auxquelles il a cherché à apporter des esquisses de réponses. En s'appuyant aussi bien sur les sources orales que sur les témoignages des explorateurs, des administrateurs coloniaux et de quelques auteurs qui ont abordé ces sujets dans le cadre de travaux divers, il est ainsi parvenu à les examiner sous toutes leurs coutures et à apporter des ébauches de réponses qui peuvent être considérées comme des pistes vers la connaissance des " communautés culturelles " du Gabon. Dans le même temps, il permet de connaître l'Homme punu, l'Homo punuensis et de saisir tous ses ressorts, côté underground.

10/2010

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Pédagogie

L'Histoire romaine dans les universités africaines. Passer les examens sans fraude

Comment réussir les examens d'Histoire Romaine dans les Universités africaines ? En pratiquant la fraude, encore appelée, à l'Université Omar Bongo (U.O.B.) de Libreville, la " pompe ", qui se décline par des expressions comme le " carreau ", la " défense en ligne ", le " djouz ", le " topo ", le " biz "... ? Après avoir montré la spécificité de l'Histoire Romaine, l'auteur, praticien de l'enseignement, y répond par la négative. Il reste persuadé que des pistes " propres " existent. Aussi les recense-t-il et les passe-t-il en revue. L'auteur clôt son " recueil " de conseils et d'avis par des exercices pratiques portant sur la Dissertation historique et le Commentaire de textes. Bien que destiné en priorité aux étudiants admis à composer en Histoire Romaine, ce manuel s'adresse aussi à tous les autres, y compris ceux inscrits dans les disciplines considérées comme " pures ".

01/2010

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Histoire internationale

Les déportés politiques au bagne de Ndjolé (Gabon) 1898-1913. L'Almamy Samory Touré, Cheikh Amadou Bamba Mbacké, Dossou Idéou, Aja Kpoyizoun, et les autres

Au départ furent les galères. Elles accueillaient des prisonniers, non pas de droit commun, mais ceux qui étaient considérés comme dangereux du fait de leurs délits. Puis ce furent les bagnes. Ils furent implantés en métropole, avant d'être étendus aux Territoires et Départements d'outre-mer (DOM-TOM), Guyane, Nouvelle Calédonie. Enfin, il y eut les bagnes coloniaux. La décision de les instituer fut prise par Napoléon III le 30 mai 1854. Un autre texte suivit : un décret du 1er décembre 1887. L'Afrique occidentale française (AOF) et l'Afrique équatoriale française (AEF) furent sommées de les abriter. Il en fut ainsi de Libreville, en 1887, mais aussi de Ndjolé, en 1898, une quinzaine d'années après le passage de Pierre Savorgnan de Brazza. L'espace choisi fut une île ; d'où son nom d'Ile-prison. Y séjournèrent, entre autres, l'Almamy Samory Touré, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, Dossou Idéou, Aja Kpoyizoun. Les habitants de Ndjolé les appelaient les Danhoméens (Danhoméens). Certains s'en sortaient, après avoir purgé leur peine ou après avoir été graciés, d'autres passaient de vie à trépas soit sur place, soit sur le chemin du retour. Cet ouvrage permet donc d'examiner la question de la déportation politique à l'époque coloniale, et de la voir sous le prisme d'une ville gabonaise, placée au coeur du dispositif sécuritaire français, puissance tutélaire et maîtresse d'un Empire. En même temps, il offre l'occasion de revisiter un pan de la politique que la France avait initiée en direction de son pré carré, au XIXe et XXe siècles.

09/2013

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BD tout public

Le Cousin Hugues

Le Cousin Hugues, sa mère dénaturée, sa cousine incestueuse, ainsi que sa gouvernante anglaise ont l'honneur de vous prier d'assister à leur totale décadence.

02/2009

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Science-fiction

Fugues

Ray Shackleford, réparateur de matériel hi-fi, se noie dans l'alcool et la musique pour tenter d'oublier une vie de couple chaotique et les brimades de son père. A la mort de ce dernier, sa vie bascule. Il se découvre un don singulier : il a le pouvoir de se projeter dans l'univers de ses groupes de rock favoris, d'enregistrer des versions inédites de leurs chansons. Poussé par Graham Hudson de Carnival Records, il accepte d'enregistrer l'album mythique et inédit des Doors : Celebration of the Lizard. Mais ces fugues vers le passé sont-elles sans conséquence ? Roman initiatique, réflexion sur le deuil, Fugues est aussi un magnifique hommage au rock des années 1960-1970 où l'on croise, entre autres, Jim Morrison, Brian Wilson, Jimi Hendrix ou les Beatles. Il a reçu le World Fantasy Award en 1994.

05/2014

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Littérature française

Fugues

Ce volume est la suite logique de La Guerre du Goût (1994), d’Éloge de l’infini (2001), et de Discours Parfait (2010). Jamais trois sans quatre. Une fugue, je n’apprends rien au lecteur, est une composition musicale qui donne l’impression d’une fuite et d’une poursuite par l’entrée successive des voix et la reprise d’un même thème, et qui comprend différentes parties : l’exposition, le développement, la strette. La strette, comme on sait, est la partie d’une fugue précédant la conclusion, où les entrées du thème se multiplient et se chevauchent. Les thèmes sont ici multiples, mais, en réalité, il n’y en a qu’un : la formulation comme passion dominante. Le mot « fugue » a aussi un autre sens, toujours musical : les enfants rebelles font souvent des fugues dans la nature. Il ne leur arrive pas forcément malheur. Il est vrai qu’ils ne deviennent pas universitaires ou membres des institutions académiques. Leur tempérament est foncièrement anarchiste. Leurs choix sont variés, mais tendent tous à la liberté. En 1985, paraissait un curieux roman, Portrait du Joueur, dont voici le début : « Eh bien, croyez-moi, je cours encore… Un vrai cauchemar éveillé… Avec, à mes trousses, la secte des bonnets rouges… Ou verts… Ou marron… Ou caca d’oie… Ou violets… Ou gris… Comme vous voudrez… Le Tibet de base… Singes, hyènes, lamas, perroquets, cobras… Muets à mimiques, tordus, érectiles… Hypervenimeux… Poulpeux… Un paquet de sorciers et sorcières, un train d’ondes et de vibrations… (…) L’anti-littérature au complet !… » L’anti-littérature, sans doute, mais aussi, de plus en plus, l’absence totale de pensée. A travers mille difficultés et ennuis, j’ai fait ce que j’ai pu, lecteur. Cependant, je crois à ton avenir d’éclaircie, et j’espère que tu cours encore.

10/2012

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