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Hanns-Heinz Ewers, Hanns heinz Ewers

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Fantastique

Récits cauchemardesques

Parmi les "fantastiqueurs" d'expression allemande du début du XXe siècle que l'on découvre ou redécouvre aujourd'hui (Gustav Meyrink, Leo Perutz, Alexander Lernet-Holenia ...), H. H. Ewers est certainement encore le moins connu des lecteurs français. Sans doute en raison de son image d'écrivain à la fois sulfureux (du fait de son esthétique du macabre et de la monstruosité) et idéologiquement suspect (du fait de sa compromission éphémère, fondée sur un profond malentendu, avec le national-socialisme). Si ses grands romans ont été réédités récemment (L'Apprenti sorcier, Mandragore, Vampir), ses nouvelles ne sont encore accessibles qu'au travers de traductions pour la plupart anciennes et incomplètes. Cette édition offre une nouvelle traduction de 11 nouvelles parmi lesquelles certaines sont inédites en France. Préface et traduction de Jean-Jacques POLLET

04/2022

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Terreur

Récits terrifiants

Parmi les "fantastiqueurs" , H. H. Ewers est certainement le plus moderne et le plus fascinant. Sans doute en raison de son image d'écrivain sulfureux et de son esthétique du macabre et de la monstruosité. Pour compléter l'édition complète des récits fantastiques d'Ewers dans une traduction française inédite, et après Récits cauchemardesques déjà paru aux éditions OKNO, ce 2ème volume regroupe les 16 dernières nouvelles fantastiques de H. H. Ewers composées avant la Grande Guerre. Cette nouvelle édition a pour but d'offrir une traduction française de référence (certaines nouvelles sont inédites en France) qui rende justice à l'écrivain. Préface de Jean-Jacques POLLETA : L'Esthétisme du Terrifiant.

12/2023

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Poches Littérature internation

Dans l'épouvante. Histoires extraordinaires

"Le Pays des fées", "La Jeune fille blanche", "La Fin de John Hamilton Llewellyn", "La Fiancée du Tophar", "La Mamaloi"... : autant de titres, autant d'horreur et de terreur libérées dans ce recueil de onze nouvelles de nuit et de ténèbres. Dans une veine expressionniste, Hanns Heinz Ewers (1871-1943) a élaboré une littérature de l'étrange à la lisière du fantastique et de l'épouvante. Mystérieuse, macabre, érotique, grotesque, mystique, son oeuvre est toute empreinte de l'esprit fin de siècle.

09/2017

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Science-fiction

Mandragore. Histoire d'un être mystérieux

Elle est née de l'insémination d'une prostituée démente et sexuellement insatiable par la semence d'un condamné à mort prélevée au moment de son exécution... Elle est le fruit de l'imagination dérangée d'un vieillard pervers conseillé par son neveu instable et dilettante... Elle est l'incarnation de la mort pour tous ceux qui l'approcheront et ne pourront s'empêcher, malgré sa cruauté sadique, de succomber à ses charmes vénéneux... Elle est la Femme enfant... Elle est la séduction du Mal incarnée... Elle est le prix à payer... Elle est Mandragore...

02/2018

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Littérature française

Heinz

Spécialiste des portraits de famille, l'auteur se remémore ici sa mère, et cherche à expliquer les motifs de la mésentente qui a toujours régné entre eux, et qui a fait que son affection filiale s'est tout entière reportée sur sa grand-mère maternelle. Or l'auteur, né en 1948, est venu au monde cinq ans après l'arrestation, la déportation et la mort du frère de sa mère, dont il porte le prénom, Henri (Heinz), sa mère ayant échappé au pire. L'auteur tente donc de redonner un peu de vie à cet être fantomatique : né en Allemagne, il échappe avec sa soeur à la rafle du Vel' d'Hiv, est ensuite assigné à résidence dans un hameau de Charente, où il y sera arrêté fin 42 puis déporté et tué à Majdanek. C'est dans ces recherches sur l'histoire tragique de son oncle et la reconstitution du drame de l'Occupation que le récit prend toute son ampleur. Raczymow se rend en Charente, à Fontavie, sorte de désert provincial où il a l'impression d'une fin de terre et aussi d'histoire. Voyage qui lui permettra d'entrer dans une sorte de deuil... Etrange livre, où le souvenir et le travail sur le passé vont de pair non pour rendre vie à l'oncle martyr mais pour une sorte de réparation supérieure demandée aux lieux et au pays dans lequel l'oncle s'était réfugié, et qui l'a trahi et livré aux nazis.

04/2011

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Fantastique

Les Cœurs des rois

La légende veut que le peintre Martin Drölling, né en Alsace en 1752, venu à Paris vers 1779, soit entré en possession en 1793, lors de la profanation des tombes royales de Saint-Denis, de la chapelle Sainte-Anne du Val-de-Grâce et de l'église Saint-Louis des Jésuites de la rue Saint-Antoine, de quelques-uns des coeurs des rois de France, dans le but de les utiliser comme "? momie ? ", coûteuse substance alors fort prisée des artistes, car permettant d'obtenir un rendu des couleurs incomparable. D'aucuns s'accordent à croire, sans preuve, que L'intérieur d'une cuisine, qu'on peut voir au Louvre, fut peint par Martin Drölling en 1815 en usant de ladite royale "? momie ? ". Cette invraisemblable affaire, très sujette à caution, tout à la fois sulfureuse, inquiétante et propre à stimuler l'imagination, sera reprise et sublimée en 1907 par l'écrivain allemand Hanns Heinz Ewers, traducteur de Poe, d'Oscar Wilde et de Villiers de l'Isle-Adam, considéré comme un des maîtres du fantastique au tournant du siècle, dans une nouvelle intitulée Die Herzen der Könige, dont la version française paraîtra dès 1911 sous le titre Les coeurs des rois. On y retrouvera le personnage de Martin Drölling, sous les traits d'un peintre torturé par la mission qu'il crut être sienne, de montrer dans ses tableaux la déchéance des rois de France, en y mêlant pour moitié leurs coeurs momifiés, l'autre étant destinée, non sans ironie, à devenir du tabac à priser. Le peintre se débarrassera d'une forme de malédiction en vendant ses toiles à Ferdinand-Philippe, duc d'Orléans, petit-fils de Philippe Egalité, faisant ainsi s'entrechoquer l'Histoire. La nouvelle fut rééditée à Vienne en 1922, accompagnée de six magistrales gravures, ici reproduites, de la main de Stefan Eggeler, étonnant artiste autrichien, familier d'Arthur Schnitzler, dont il réalisa les planches qui illustrent La Ronde en 1921, ou Le Voile de Pierrette en 1922. A côté du texte allemand, une nouvelle traduction française est proposée, enrichie des créatures de Denis Pouppeville, qui ne craignent pas de se mesurer au monde fantastique de Hanns Heinz Ewers.

11/2022

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