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Françoise Kermina

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Dossier

Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

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Dossier

Milan Kundera par ses livres : la passion française

Milan Kundera est né le 1er avril 1929 à Brno, en Tchécoslovaquie (aujourd'hui République tchèque). Il est l'un des écrivains les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Ses écrits, qui abordent des thèmes tels que l'amour, l'existence et l'identité, sont connus pour leur complexité et leur profondeur philosophique.

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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Dossier

Les livres de Françoise Bourdin : la romancière aux millions de lecteurs

Née à Paris en 1952, Françoise Bourdin est, en 2012, au 4e rang des écrivains français les plus vendus avec 15 millions d'exemplaires. Celle qui voulait « Plaire au plus grand nombre » est décédée le 25 décembre 2022. Symbole de ces auteurs hyper-prolifiques, elle publiait un à deux romans par an et nous laisse près de cinquante livres.

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Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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Dossier

Programme, invités : La Grande Librairie, l'invitation à lire de François Busnel

Émission phare de la littérature sur le service public, La Grande Librairie, présentée par François Busnel, fait preuve d'une longévité que beaucoup lui envient. Créée en 2008 par son présentateur lui-même pour la chaîne France 5, l'émission hebdomadaire convie un ou plusieurs invités pour aborder différents thèmes, en lien avec des ouvrages récemment parus.

Extraits

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Littérature étrangère

Hermina

Bonjour, Heberto, avait-elle dit en baissant les yeux. Bonjour, Hermina. Tu vas bien ? Elle fit oui de la tête. Hermina, seize ans et en classe de première scientifique dans un lycée privé, était grande et belle, elle tenait physiquement de sa mère, son père étant, lui, plutôt petit et mince, pas moche, mais loin d'être le prince charmant auquel pouvait rêver une femme. Hermina, avec son mètre quatre-vingts, ses larges hanches, son visage rond et son port de tête altier, était la réplique exacte de Lourdés. Pour accueillir Heberto, elle s'était empressée d'enfiler une petite robe noire froissée qu'elle avait sortie du placard... Hermina, c'est un voyage à travers l'espace (le Mexique, Cuba, Haïti, Paris, Miami...), le temps, les philosophies, la création, la chair qui se fait livres et les livres qui se font chair, les identités perdues et les fantasmes. C'est aussi un regard lucide sur les joies et les tourments de la vie incarnés par des personnages tous plus inquiétants, plus attachants les uns que les autres, Samuel, Irma, Nora, Fritz, Karl, Katarina, Mira, Ingrid, Chingareno, Rachid, Cécilia, Bob, André, outre Hermina, Heberto, Lourdés, Federico, qui entre-tissent leurs destins, nous prennent au piège de la connaissance et du plaisir, des ambitions déçues, forment une mosaïque inoubliable de notre époque, de la mondialisation de l'exil, de l'universel théâtre de l'imposture, changent de masque jusqu'à la perversion, jusqu'aux questions qui laissent sans voix, jusqu'aux indicibles vérités.

02/2003

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Littérature française (poches)

Fermina Màrquez

Tous ceux qui l'approchaient, tous ceux auxquels elle parlait, ceux qui jouaient avec elle, formaient, autour d'elle, une sorte de cour d'amour ; c'étaient ses chevaliers. Les chevaliers de Fermina Márquez, donc, étaient admirés de tous les élèves, et peut-être même des plus jeunes parmi les surveillants. De ces belles promenades dans le parc, nous ne rapportions plus l'odeur du tabac fumé en cachette, mais le parfum des petites Américaines. Etait-ce le géranium ou le réséda ?

10/1972

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Histoire de France

Marie de Médicis. Reine, régente et rebelle

Seconde Médicis à avoir exercé la régence en France, appelée mère de l'Europe pour les six enfants, dont quatre souverains, qu'elle eut d'Henri IV, elle a laissé dans l'histoire deux souvenirs forts : un mauvais, pour avoir scandaleusement enrichi ses favoris italiens, les Concini ; un bon, comme mécène, pour avoir introduit à la cour de France les techniques florentines du ballet et de l'opéra, financé les peintres les plus prestigieux, Rubens, Van Dyck, Pourbus, et fait bâtir le palais du Luxembourg. Sa vie fut plus mouvementée que celle d'aucune autre reine de France. Elle connut le luxe, la puissance, mais aussi les humiliations de la femme trompée publiquement, l'assassinat de l'époux aimé malgré tout et une chute dramatique, après sept ans de pouvoir. Evadée à deux reprises des résidences surveillées où l'avaient conduite ses rébellions contre son fils Louis XIII, elle finit en exil, dans la solitude et le dénuement, indignement persécutée par celui qu'elle avait su découvrir et imposer, le cardinal de Richelieu. Si elle gouverna avec le goût de l'intrigue et aussi la prodigalité de ses ancêtres Médicis, ce fut sans leur cruauté ; et elle sut, à travers les pires écueils, maintenir la paix civile et transmettre la couronne intacte en de plus fortes mains que les siennes. Personne ne l'a mieux justifiée qu'elle-même lorsqu'elle disait : " J'ai préféré verser l'or plutôt que le sang ".

05/2010

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Histoire de France

Heurts et malheurs des grands argentiers

Le grand argentier désigne le ministre des Finances sous l'Ancien Régime, mais le nom et l'épithète en disent bien davantage sur ce personnage, qui dispose d'une grande fortune et est à ce titre le pourvoyeur des fonds de l'Etat. C'est cette richesse personnelle qui attire d'abord l'attention du roi et lui assure une position de premier plan auprès de sa personne, mais ce n'est pas sans risque. Si le souverain a besoin d'argent, c'est généralement pour soutenir des guerres coûteuses. Le grand argentier, pressé à outrance, est alors indispensable. Une fois la paix revenue, il devient moins nécessaire et souvent importun. Ses biens, désormais confondus avec ceux du roi, peuvent être confisqués. Par ailleurs, le grand argentier est ambitieux. Issu de ceux qu'on appelle alors les "chétives gens", et plus tard le tiers état, il veut accéder aux classes dominantes et partager le pouvoir avec elles, mais il a beau imiter leur façon de vivre, il ne réussit pas à s'imposer auprès du clergé et de la noblesse, qui travaillent à sa perte et le méprisent. Aussi est-il accusé de crimes imaginaires, victime de disgrâces éclatantes, parfois ponctuées de l'exil quand ce n'est pas de la mort. Avec le talent d'écriture qui la caractérise, Françoise Kermina dresse le portrait des dix grands argentiers les plus emblématiques.

02/2018

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Actualité et médias

Françoise Giroud. Une ambition française

Giroud a tout écrit sur Françoise. Au fil des années, elle a publié des articles, des portraits, des romans, des biographies à succès ; mais rarement journaliste aura mis tant de soin, de livre en livre, à se raconter soi-même, à décrire son parcours et son monde. Ainsi elle a constitué son effigie, construit sa statue, elle l'a affinée avec ses mots, masquant à l'occasion fêlures et fissures, tout ce que la vie charrie et qu'elle a voulu enfouir au plus profond. Longtemps elle nous a accompagnés de la sorte, séduisante et caustique, masque parfait, intimidant et toujours souriant d'une certaine réussite au féminin. Je suis partie à la découverte de la véritable Françoise Giroud. Avec infiniment de respect, d'admiration, d'affection, même, mais aussi avec l'exigence qu'elle manifesta si constamment à l'égard des autres. J'ai retrouvé bien sûr la grande journaliste, celle qui, sans relâche ni lâcheté, le temps d'un très long parcours, sut mieux que personne décrire ses contemporains et analyser l'air du temps. J'ai aussi compris une autre histoire, celle d'une femme venue de loin qui, surmontant l'humiliation, la souffrance et les préjugés, voulut coûte que coûte réaliser son rêve : atteindre une sorte d'excellence à la française. Son grand œuvre, ce fut sa vie. (Christine Ockrent)

05/2003

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Sciences historiques

François Furet. Révolution française, Grande Guerre, communisme

Publié en 1995, le livre de François Furet, Le Passé d'une illusion, consacré à l'idée communiste au XXe siècle, a marqué le premier moment de réévaluation complète de l'expérience communiste, après la chute du mur de Berlin puis l'effondrement de l'URSS et du système communiste mondial. Quinze ans après, les quinze auteurs de cet ouvrage reviennent sur l'interprétation générale de l'historien de la Révolution française. Ils s'interrogent sur l'importance du modèle révolutionnaire français dans la révolution bolchevique, sur le rôle matriciel de la Première Guerre mondiale dans l'émergence du phénomène totalitaire, sur la place centrale du stalinisme dans la réflexion de François Furet et sur le parallélisme entre nazisme et communisme - avec un texte de l'historien allemand Ernst Nolte, qui avait entretenu une correspondance sur ce thème avec Furet. L'ouvrage aborde également l'oeuvre de François Furet du point de vue de la philosophie politique, envisageant successivement la lecture par Furet d'Alexis de Tocqueville, de Karl Marx et de Raymond Aron, et cherchant à situer sa pensée dans le "tocquevillisme français". Enfin, sur le terrain de l'action politique et du commentaire politique, l'ouvrage cherche à comprendre le "libéralisme mélancolique" de François Furet, selon l'expression de Pierre Hassner.

08/2011

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