Recherche

Daniel Grojnowski, Mireille Dottin-Orsini

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Le Prix Eugène Dabit du roman populiste

Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».

ActuaLitté

Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

ActuaLitté

Dossier

Affaire Renaudot : un auteur autoédité chez Amazon qui dérange

Depuis 1926, le prix Renaudot n’aura jamais autant fait parler de puis qu’en cette édition 2018. La présence d’un ouvrage autopublié chez Amazon, manifestement chouchou de Patrick besson, fait désordre. 

ActuaLitté

Dossier

Des lectures pour les vacances, pour les enfants de 6 à 8 ans

Durant les vacances, la lecture offre l'occasion d'apprendre et découvrir, en dehors de l'école. En partenariat avec l'association Lire et Faire Lire, ActuaLitté propose une sélection d'ouvrages pour les enfants de 6 à 8 ans. En puisant dans les différentes sélections que le Comité de lecture a réalisées entre 2017 et 2022, voici huit ouvrages pour embellir la période de Pâques.

ActuaLitté

Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

ActuaLitté

Dossier

Littératures de l'Imaginaire : questionner le monde de demain

Depuis le début de son aventure éditoriale en 2010, Scrineo a publié des romans imaginaires, portés par des auteurs et autrices exclusivement francophones – du steampunk à la dark fantasy, en passant par le fantastique et la SF. Les premiers titres ont permis de lancer une nouvelle génération comme Patrick McSpare et Olivier Peru, avec la série Les Hauts Conteurs (Lauréat du Prix des Incos 2012), Joslan F. Keller et Aurélie Laloum avec la série Via temporis et Marie Pavlenko et sa trilogie Le livre de Saskia

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

Un joli monde. Romans de la prostitution

Gustave Flaubert a confessé qu'il ne pouvait pas voir passer une prostituée sur le boulevard sans avoir un battement de cœur. Le destin des " filles publiques " lui chatouillait l'âme. Etrange miroir que celui que lui tendaient leurs décolletés et leurs lèvres peintes : " Il se trouve, en cette idée de la prostitution, un point d'intersection si complexe, luxure, amertume, néant des rapports humains, frénésie du muscle et sonnement d'or, qu'en y regardant au fond le vertige vient, et on apprend là tant de choses. " Au XIXe siècle, présentes au cœur des villes, et pas seulement dans les bas quartiers, offertes sur le trottoir ou enfermées dans des bouges, elles habitent les rêves et les obsessions. Un joli monde est une anthologie consacrée aux filles les plus modestes, celles de basse condition, figures de la rue ou de la maison close, promises aux plus extrêmes des solitudes. Beaucoup d'écrivains les ont fréquentées, aimées parfois, peintes souvent dans les pages de leurs livres. Suffisamment en tout cas pour que l'on puisse parler d'" écrivains de filles ". Un certain nombre d'entre eux, Maupassant, Jean Lorrain, Charles-Louis Philippe, J.-K. Huysmans ou Léon Bloy, pour n'en citer que quelques-uns, ont pris les filles publiques pour héroïnes. Ils ont sondé la vérité de leurs personnages de l'intérieur, bien au-delà de leurs apparences de simples objets sexuels, s'attachant parfois, comme Edmond de Goncourt, à faire œuvre de médecin, de savant ou d'historien. Un joli monde a aussi convoqué quelques hommes de lettres remarquablement oubliés, tels Paul Adam (Chair molle) ou Eugène Montfort (La Turque), et des écrivains francophones, comme Georges Eekhoud, qui a illustré avec force les bas-fonds du " riddeck " d'Anvers. Des documents d'époque font écho à ces textes de fiction qui tous nous parlent de l'amour et de sa profanation.

01/2008

ActuaLitté

Critique littéraire

Cette femme qu'ils disent fatale. Textes et images de la misogynie fin-de-siècle

Qui se cache derrière cette expression fascinante mais banale qui, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, fut une source d'inspiration féconde chez les artistes ? C'est en s'appuyant sur des tableaux, des dessins et de nombreux textes de cette période que Mireille Dottin-Orsini a étudié l'étonnante ambivalence de leur regard sur la femme dite "fatale". De Gustave Moreau aux frères Goncourt en passant par Huysmans, Laforgue ou Villiers de l'Isle-Adam, on voit comment cette époque était obsédée par l'image de la femme et comment cette obsession n'était que la face visible d'une misogynie profonde dont les deux aspects étaient la vénération de la femme-objet, mais de toute façon dépourvue d'âme, ou l'abomination haineuse, véritable catalogue des poncifs de la misogynie.

04/1993

ActuaLitté

Poésie

Etienne Orsini

Avec Etienne Orsini, le venin des certitudes (l'expression est de lui O ne peut faire de mal à personne ! La fierté corse est bien présente mais la moquerie de lui-même s'exprime pour illustrer une désillusion. Ainsi, se pencher sur son cas est une belle leçon : "Le bonheur est dans le pré! Mais il n'y a plus de pré" avoue dans un grincement le convive cynique qui sait, en toute pertinence, qu'il n'a plus même à se lever de table puisque sa vie se boit sans lui. Orsini est fait comme un rat aurait dit de lui Jean-Paul Sartre. Il est prisonnier de ses propres contradictions, même verbales. Il réclame des restes de lumière et se refuse aux envolées romantiques de consolation. En cela, il est désabusé. J'aime particulièrement sa lucidité permanente devant le spectacle de soi-même confronté aux autres.

08/2021

ActuaLitté

Littérature française

Mireille

Au soir de sa vie, Gustave Fayet (1865-1925) a réussi en tout, sa fortune est immense, ses oeuvres rencontrent un succès grandissant, sa collection d'art est l'une des toutes premières de son temps. Il possède de très nombreux Gauguin, les plus précieux Van Gogh et les plus belles oeuvres de Redon, son ami, venu réaliser chez lui son chef-d'oeuvre Le Muret la Nuit dans la bibliothèque de l'abbaye de Fontfroide, à Narbonne, que Gustave Fayet a acquise en 1908. Cet homme comblé vient de se défaire de ses biens au profit de ses enfants pour se consacrer exclusivement à son art. Il se lance sur un nouveau chemin de vie et de création le conduisant vers la simplicité, l'essentiel, le beau, la pureté, le rejet des convenances. Mireille, le sublime chant d'amour et de liberté de Frédéric Mistral, et la beauté de la Provence s'imposent à lui avec évidence. La pureté des sentiments, la lumière qui règne sur les paysages emportent Gustave Fayet dans un tourbillon d'émotion esthétique et spirituelle, celle-là même qu'il avait ressentie face aux oeuvres "provençales" de Van Gogh. Il choisit alors de l'illustrer en noir et blanc, mode d'expression ultime de la lumière. Les soixante-douze planches qu'il dessine à la plume et au roseau composent une oeuvre majeure, mêlant indissolublement la Provence de Mistral et celle de Vincent Van Gogh, que nul n'avait avant lui rapprochées.

11/2009

ActuaLitté

Poésie

Poétique N° 100

Maarten ban Buuren Hystérie et littérature Yves Citton La preuve par l'Emile Daniel Grojnowski De Mallarmé à l'Art postal Annie Mavrakis Décrire l'invisible Mireille Noël Lisières de l'oeuvre de Julien Gracq Bruno Tritsmans Poétiques de l'Histoire chez Gracq et Jünger Document André Jolles, Johan Huizinga Clio et Melpomène Textes présentés et traduits par Silvia Contarini

11/1994

ActuaLitté

Romans de terroir

Le dernier des Orsini

Joseph, pêcheur recueilli à l'âge de deux ans par la généreuse Honorine, se lie d'amitié avec Jarousse, mystérieux commissaire à la retraite curieux d'apprendre l'art de la pêche. Le jour où il est découvert assassiné chez lui, l'enquête est confiée à Julie Marletta, une jeune inspectrice qui plaît beaucoup à Joseph. Elle va vite se retrouver sur la piste du clan des Orsini, démantelé par le défunt commissaire, dont tous les membres ont le même signe d'appartenance : il leur manque un doigt à la main droite... à l'instar de Joseph !

05/2020

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté