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Dalila Kerchouche

Extraits

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Immigration

Mon père, ce harki (Réédition)

"Française, je suis née en 1973 derrière des barbelés dans un camp d'Aquitaine. Pendant 12 ans, ma famille a été persécutée par l'Etat français. Pourquoi ? Parce que mon père s'est battu pour la France pendant la guerre d'Algérie. Face aux mensonges officiels, je suis partie sur les traces de mon passé. Quand l'Etat attaque ses propres enfants, c'est une partie de la France qu'il abîme. Ma France. Ce livre est ma quête de vérité et de résilience sur le plus grand scandale d'Etat de la France post-coloniale". D. L Journaliste et scénariste, Dalila Kerchouche a adapté son livre pour France 2 et Arte, avec Leïla Bekhti, Smaïn et Frédéric Pierrot. Elle a réalisé son premier documentaire (France 3 Nouvelle Aquitaine), diffusé cet automne.

09/2022

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Histoire de France

Leïla. Avoir dix-sept ans dans un camp de harkis

On ne dira jamais assez la souffrance des harkis. On ne parlera jamais assez de l'exclusion, de l'ostracisme et du mépris qu'ils endurèrent et qu'ils endurent encore. Dalila Kerchouche a vécu cette douleur, dans sa chair et dans son âme, et. a assisté, impuissante et révoltée, aux humiliations faites à ces milliers d'hommes et de femmes qui ont tout donné à la France. Auteur d'un premier livre remarqué, Mon père, ce harki, elle a choisi aujourd'hui la fiction pour raconter, à travers l'histoire de Leïla, fille de harki, la révolte, l'apprentissage de la liberté, la découverte de l'amour et la reconquête de la dignité.

10/2006

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Sciences politiques

Espionnes. Doubles vies sous haute tension - Une enquête exclusive au coeur des services secrets français

Espionnes ! Le mot affole l'imagination. Au-delà du mythe féminin qui fascine le cinéma et les séries télé, j'ai infiltré les services secrets français pour découvrir le vrai visage des femmes engagées dans la sûreté nationale. Pour la première fois, une cinquantaine d'entre elles, officiers traitants à la DGSE, agents de la DGSI et des nouveaux RG, contre-espionnes militaires ou superdouanières, ont accepté de se confier. Pendant un an, alors que les attentats de Charlie Hebdo et ceux du 13 novembre endeuillaient la France, j'ai rencontré les femmes les plus secrètes de la République. Elles m'ont révélé ce qu'elles ne livrent ni à leurs maris, ni à leurs collègues. Leurs doubles vies sous haute tension, la traque des terroristes, le poids du secret dans le couple, le machisme des espions et leur combat pour s'imposer dans ce monde d'ombre et de pouvoir. Sans rien occulter des failles et des succès des services secrets dans la lutte contre le terrorisme. Pour la journaliste que je suis, ce fut un vrai défi : interviewer des expertes du mensonge et de la dissimulation, dont le métier consiste à tout savoir des autres mais à ne rien montrer d'elles-mêmes. J'ai cherché précisément ce qu'elles voulaient masquer, j'ai traqué l'instant où le regard vrille sous le coup d'une émotion incontrôlée, j'ai tenté d'arracher une part de vérité dans ce monde de faux-semblants et de manipulation. Voilà comment j'ai espionné les espionnes.

09/2016

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Couple, famille

Sexploratrices. A la conquête du plaisir

Elles ont décidé de ne plus subir leur sexualité, mais d'en jouir. Elles défient les conditionnements qui ont verrouillé leur libido pendant des années. Elles bravent l'ordre social tacite qui les a privées de la puissance intime de leur sexe. Grand reporter, j'ai rencontré pendant un an des femmes qui ont mis leur jouissance au centre de leur vie. Le jour, elles travaillent comme puéricultrice, businesswoman, ingénieure ou médecin. La nuit, elles deviennent libertines, polyamoureuses, maîtresses dominatrices, initiatrices saphiques, effeuilleuses burlesques ou masseuses tantriques. De tous âges, de tous milieux sociaux, d'orientations sexuelles diverses, elles racontent leurs étonnants voyages sensuels tels des chemins de résilience. Leur corps, longtemps abandonné, ignoré, qui se met à vibrer. Leur vagin, jusqu'alors inerte, qui s'éveille, s'anime, se tonifie, pulse, s'embrase et irradie. Leurs paradoxes, aussi, quand certaines s'attachent pour se libérer. Toutes décrivent cette force intérieure organique, quasi viscérale, lorsque le clitoris se gorge de vie et se redresse fièrement. Elles brisent les codes d'une sexualité passive centrée sur la jouissance masculine pour inventer une nouvelle culture du désir au féminin, qui n'est plus seulement génitale, mais aussi relationnelle, égalitaire, consciente et joyeuse. En reprenant le pouvoir sur leur sexualité, en affirmant leurs désirs comme leurs non-désirs, elles transforment leur existence. En s'affranchissant de la norme, elles gagnent en liberté intérieure. Elles sexplorent pour s'explorer et s'exprimer. Ecoutons-les.

09/2020

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Musique, danse

Pour Dalida

" La voix de Dalida est dans ma chambre, elle se pose maintenant sur mes cahiers, sur mon lit, sur l'ordinateur. L'odeur de ses robes, la main qu'elle passe devant ses yeux, ses hanches, ses jeux de cheveux, son rire. Mais n'oublie pas que ce sera toi qui conduiras ce soir chez moi, ga-arde bien-en la dernière danse pour moi. On ne peut pas prétendre raconter sa vie, ni chercher à l'expliquer, tout est tellement plus vaste et plus secret qu'un simple récit, on avance presque toujours en somnambule, les yeux grand ouverts, on croit à chaque fois résoudre des rébus, éclaircir des zones d'ombre ou retrouver de vrais élans de bonheur et voilà que tout est déjà fini. On a tourné la tête un peu trop vite, on ne s'est aperçu de rien: en une brassée de secondes le monde s'est éloigné. Vie chansonnette. "

03/2010

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Musique, danse

La véritable Dalida

Après avoir vécu une enfance difficile au Caire, des débuts professionnels qui ne la destinaient pas à une carrière de chanteuse et une succession d'amours malheureuses, Iolanda Gigliotti, devenue Dalida, ne connut pourtant jamais le bonheur, même parvenue au sommet de la notoriété. Au fil des années, elle se retrouva prisonnière d'un entourage qui entendait la façonner à sa guise. Parce qu'elle ne sut jamais lui dire "non" et qu'elle plongea dans une solitude de plus en plus oppressante, elle choisit un jour de s'évader par le suicide. C'était en mai 1987. Pourquoi cet acte définitif ? Quelle femme meurtrie se cacha derrière une artiste admirée dont tout le monde salua le haut degré d'exigence dans le travail ? Pour comprendre le destin tragique et déconcertant de l'une des stars les plus adulées de la variété française, Emmanuel Bonini a mené une enquête rigoureuse. Il a interrogé des célébrités qui l'ont beaucoup côtoyée (Rika Zaraï, Annie Cordy, Hervé Vilard, Charles Dumont, Michèle Torr, etc.) et rencontré de nombreux et précieux témoins-clés dans les différentes étapes de sa vie qui ont accepté de sortir de l'ombre. Les révélations de son livre ne manqueront pas d'étonner tous ceux qui croyaient connaître une femme pourtant largement racontée dans les colonnes de la presse à sensation.

08/2004

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