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Crénom, Baudelaire !

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil 2017

Le livre jeunesse représente en France 364 M€ de chi re d’affaires, sur l’année 2016, soit +5,2 % de croissance par rapport à l’an passé, et un total de 13,5 % de parts de marché, sur l’ensemble du secteur du livre. Avec 77 M d’exemplaires vendus, on en conclut qu’un livre sur 5 vendu est un livre jeunesse. Depuis 2000, la production de titres jeunesse à l’unité a doublé : 8 350 en 2000 contre 16 521 en 2016.

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Dossier

Du stylo à la caméra : 10 ouvrages autour du cinéma

Dans notre civilisation de l’image, le cinéma est roi, et « son encre est la lumière ». À première vue, on mettrait une barrière plus ou moins étanche entre cet art et la littérature. Où sont les grandes descriptions de Stendhal dans ses adaptations cinématographiques ? Où trouver les tableaux inoubliables d’Apocalypse Now chez Flaubert ? Ce serait omettre toutes les fois où les deux arts ont dialogué avec grâce, comme tous ces Hommes de l’écrit qui ont parlé avec force du 7e art.

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Dossier

Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Dossier

La collection de livres audio chez Actes Sud

AUDIOLIVRE – La lecture à haute voix, par les auteurs ou par les comédiens, fait depuis longtemps partie de la culture d’Actes Sud. Au-delà du livre imprimé, il s’agit de continuer à servir les textes, de les faire découvrir sous une autre forme, celle de l’oralité.

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Dossier

Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

Extraits

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Biographies

Crénom, Baudelaire !

Si l'oeuvre éblouit, l'homme était détestable. Charles Baudelaire ne respectait rien, ne supportait aucune obligation envers qui que ce soit, déversait sur tous ceux qui l'approchaient les pires insanités. Drogué jusqu'à la moelle, dandy halluciné, il n'eut jamais d'autre ambition que de saisir cette beauté qui lui ravageait la tête et de la transmettre grâce à la poésie. Dans ses vers qu'il travaillait sans relâche, il a voulu réunir dans une même musique l'ignoble et le sublime. Il a écrit cent poèmes qu'il a jetés à la face de l'humanité. Cent fleurs du mal qui ont changé le destin de la poésie française.

10/2021

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Divers

Crénom, Baudelaire ! Tome 1 : Jeanne

Fresque en 3 tomes, cette adaptation initiée par Jean Teulé fait la part belle à l'image et l'imaginaire. En trois volumes, elle s'attarde sur les grandes périodes de la vie de Baudelaire et enlumine de peintures expressionnistes les grands poèmes qui jalonnent le récit. Teulé montre un homme qui travaillait ses vers sans relâche, qui voulait réunir dans une même musique l'ignoble et le sublime, et qui a changé à jamais, avec les Fleurs du Mal, la poésie française. A Namur, en sortant d'une église, Baudelaire fait une mauvaise chute qui lui fait lâcher ce juron : Crénom ! Il ne dira dès lors plus rien d'autre. Nous sommes en 1867. Il ne lui reste que peu de temps à vivre... Enfant, il ne se sent heureux que dans les jupes de sa mère. A tel point que le décès de son père le réjouit car, désormais, la femme de sa vie ne sera que pour lui ! Son bonheur sera toutefois éphémère, car quelques mois plus tard elle épouse le chef de bataillon Jacques Aupick qui entend faire son éducation. Après son renvoi du lycée Louis Le Grand, son beau-père l'envoie sur un navire partant vers les Indes pour une année qui doit en faire un homme. A bord, il évite les autres passagers pour se consacrer à la poésie dont il est persuadé qu'elle fera sa gloire. C'est à bord qu'il écrit les vers de L'albatros...

04/2023

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Critique littéraire

Baudelaire

L'intervention du philosophe s'avère, ici, distincte autant de celle du critique que de celle du psychologue (médecin ou non-médecin) comme du sociologue. Car il ne s'agira pour lui, ni de peser au trébuchet la poésie baudelairienne (portant sur elle un jugement de valeur ou s'appliquant à en offrir une clé), ni d'analyser, comme on ferait d'un phénomène du monde physique, la personne du poète des Fleurs du Mal. Tenter, bien au contraire, de revivre par l'intérieur au lieu de n'en considérer que les dehors (c'est-à-dire : soi-même l'examinant du dehors) ce que fut l'expérience de Baudelaire, prototype quasi légendaire du " poète maudit " ...

09/1988

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Critique littéraire

Baudelaire

Enfant, Charles Baudelaire voulait être comédien. Cette fantaisie est très sérieuse : elle révèle toute l'importance que Baudelaire accorde à l'artifice, l'élément fondateur de son dandysme. Loin d'être une mode frivole ou juvénile, le dandysme représente pour lui une philosophie qu'il revendique et manifeste autant par sa vie que par son oeuvre. Voilà, parmi d'autres thèmes, ce qu'apporte cette biographie novatrice de l'auteur des Fleurs du mal : bien des pans de la geste du poète romantique méritaient d'être à nouveau questionnés. Nourrie de sources premières (les oeuvres, la correspondance, les notes autobiographiques, les témoignages directs), Marie-Christine Natta ne se contente pas de réutiliser une matière déjà exploitée. Elle accorde une place nouvelle à l'entourage de Baudelaire et en particulier à son éditeur Poulet-Malassis. Elle montre la pluralité de son talent, celui du poète, du traducteur, du critique littéraire et du critique d'art. Elle n'oublie pas non plus - ce qui est moins connu - l'humour de Baudelaire. Ce faisant, elle met en évidence les contradictions déchirantes de celui qui n'est jamais bien là où il est, qui célèbre les vertus du travail et maudit sa fainéantise, qui rêve d'ordre et de luxe, mais mène une vie de " chien mouillé ". La plume ciselée de Marie-Christine Natta restitue magnifiquement cette existence dont le cours paradoxal a favorisé l'éclosion d'une oeuvre à la fois singulière dans sa conception et universelle par sa portée.

08/2017

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Critique littéraire

Baudelaire

La découverte à la Bibliothèque nationale du plan établi par Benjamin pour son grand Baudelaire a bouleversé notre vision de son travail des dernières années. Ce livre suit fidèlement ce plan. Il comporte de nombreux inédits découverts en même temps. La totalité des textes de Benjamin sur Baudelaire a été traduite pour donner à l'ensemble sa nécessaire homogénéité. " Baudelaire, dans les dernières années de sa vie, n'avait guère l'occasion de jouer les promeneurs dans les rues de Paris. Ses créanciers le poursuivaient, la maladie s'annonçait et venaient s'ajouter les brouilles avec sa maîtresse. Les chocs que lui causaient ses soucis, les parades qu'il inventait pour les conjurer, le Baudelaire poète les reproduit dans les feintes de sa prosodie. Si l'on garde en tête l'image de l'escrime pour considérer le travail qu'il consacrait à ses poèmes, on en vient à comprendre l'oeuvre comme une suite ininterrompue de minuscules improvisations. " W. B.

10/2013

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Littérature étrangère

Baudelaire

"J'ai rêvé que j'avais écrit un roman détestable et détesté : la loi m'avait condamné à mort. Je voyais déjà la guillotine, cette haute porte noire, au milieu de la place. J'avais peur, évidemment ; mais j'aimais chaque mot de ce roman monstrueux intitulé Baudelaire. Je le mettais dans une poche de ma veste, il pesait doucement sur mon épaule gauche. Dans ma poche droite, j'avais un couteau très léger dont la lame fine et flexible ressemblait à la tige d'une fleur. Je marchais de nuit, vampire de Baudelaire, me cachant dans les ombres pointues de cette ville qui me détestait."

05/2014

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