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Collectif, Christophe Jaffrelot

Dossiers

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Dossier

Nouvelles têtes : les éditeurs suisses jeunesse et BD la jouent collectif

Nouvelles têtes est un projet porté par trois maisons d’édition suisse, axé sur la bande dessinée et la jeunesse. Considérant que l’union fait la force, Antipodes, Helvetiq et La Salamandre ont sorti de leur catalogue le meilleur de leurs ouvrages. Une mise en lumière inédite, où les textes se répondent, exposant des lignes éditoriales variées où se retrouvent les problématiques contemporaines.

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Le Manque : chansons et plus si affinités

Le groupe Le Manque se compose de deux vaillants troubadours – ou trouvères, en regard de leur position géographique. Christophe Esnault dans le rôle principal et Lionel Fondeville derrière la caméra, arrosent internet de leurs vidéos, depuis Charte. Avec humour option 40e degré, voir gratte-ciel ou prosaïsme déconcertant.

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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Dossier

Sangre : espoir, désespoir, rage et amour

Lorsqu'on évoque le monde de la bande dessinée, certains noms se démarquent instantanément. Christophe Arleston est l'un de ces talents incontournables. Avec une plume affûtée et une imagination débordante, il nous a offert de nombreuses sagas captivantes. Parmi elles, "Sangre" se distingue par son originalité et sa profondeur.

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Dossier

Albums et documentaires : un monde “Sens Dessus Dessous”

« Pour faire une histoire, il faut toujours un point de départ. » Pour inaugurer ce commencement, les éditions Delcourt ont confié à Christophe Tranchant leur nouveau label : Sens Dessus Dessous. Un nouveau défi qui proposera aux jeunes lecteurs une gamme d'ouvrages illustrés et d'albums, aussi bien en fiction qu'à travers des documentaires.

Extraits

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Histoire internationale

L'Inde contemporaine de 1950 à nos jours

L'Inde fait aujourd'hui irruption sur la scène internationale à la faveur de la globalisation économique, forte de son nouveau statut de puissance nucléaire et en vertu d'une formidable dynamique culturelle dont la littérature et le cinéma sont les meilleurs symboles. Cette montée en puissance est le fouit de ce qu'elle a semé au lendemain de l'indépendance de 1947, point de départ de cet ouvrage qui décrit la trajectoire singulière de l'Inde contemporaine, tant au plan politique que diplomatique, économique, social et artistique. Le non-alignement des années 1950 a ainsi fait place à un rapprochement avec l'URSS avant de céder le pas à la convergence indo-américaine des années 2000 ; l'intervention de l'Etat dans l'économie a été remise en cause dans les années 1990, la libéralisation donnant naissance à une nouvelle classe moyenne et creusant les écarts entre les régions ; l'urbanisation s'est poursuivie au rythme de la croissance démographique sans que l'exode rural ne vide pour autant les campagnes, toujours majoritaires ; les castes ne s'agencent plus suivant un ordre aussi hiérarchique que dans le passé, mais si elles s'organisent en groupes d'intérêt en compétition pour le pouvoir et l'obtention d'une meilleure part du gâteau, leur rôle dans la société ne faiblit pas. La dimension culturelle informe également tout l'ouvrage, non seulement parce qu'on ne comprend pas l'Inde en dehors de ses catégories propres, mais aussi parce que ce pays, riche en arts, est porteur d'une grande civilisation. Celle-ci souffre toutefois de tensions religieuses qui opposent notamment les hindous aux musulmans, un phénomène indissociable du contentieux indo-pakistanais à l'origine de trois guerres en cinquante ans. Cette nouvelle édition, augmentée de sept nouveaux chapitres et entièrement mise à jour, permet d'appréhender pleinement l'Inde dans sa complexité.

05/2006

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Sciences politiques

Inde : la démocratie par la caste. Histoire d'une mutation socio-politique (1885-2005)

L'Inde se présente comme " la plus grande démocratie du monde " ; de fait, cet autre empire du milliard qui organise des élections libres depuis plus d'un demi-siècle a pris l'habitude de l'alternance depuis 1977, jouit d'une presse libre et connaît une justice au moins aussi indépendante que sous nos latitudes. Longtemps cette démocratie a été conservatrice. L'influence de Gandhi —réformateur moins radical que ne le dit l'hagiographie occidentale — et la sociologie très élitiste des dirigeants du Congrès, le parti dominant au lendemain de l'indépendance, ont beaucoup contribué au statu quo. Mais les vraies racines du mal étaient ailleurs, dans l'agencement vertical d'une société de caste qui permettait depuis des siècles à une minorité d'hommes bien nés de gouverner sans partage. Cet ordre hiérarchique a été ébranlé, dès l'époque coloniale, non seulement par la pénétration des idées d'égalité et de liberté, mais aussi et surtout par les politiques de discrimination positive mises en oeuvre par les Britanniques en faveur des intouchables et des basses castes. Après l'indépendance, le Congrès s'est efforcé de circonscrire ces mesures au maximum, mais les basses castes y ont trouvé un objectif de mobilisation collective qui leur a finalement permis de former un front uni à partir de 1990. Désormais, les castes ne font plus système ; elles sont une collection de groupes d'intérêt en concurrence pour une part du pouvoir. La vieille logique clientéliste s'effondre, qui amenait la paysannerie ou les ouvriers endettés à voter pour des notables ruraux ou des magnats locaux du Congrès. A la place, des partis de basse caste prennent leur essor et s'emparent du pouvoir à travers toute l'Inde du Nord. C'est une véritable révolution silencieuse, unique en son genre : une révolution sans effusion de sang, aussi légaliste que l'ont toujours été les leaders de basse caste — à l'instar de leur modèle à tous, Ambedkar. L'Inde accède à une démocratie enfin digne de ce nom, et ce, paradoxalement, par la caste car celle-ci, point d'application des mesures de discrimination positive, aura été le cadre et le levier des mobilisations de la plèbe indienne, la structure collective qui a permis d'agréger les intérêts du grand nombre.

05/2005

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Histoire internationale

LA DEMOCRATIE EN INDE. Religion, caste et politique

La démocratie indienne n'a pas d'équivalent dans les pays du Sud, car elle s'enracine dans une longue histoire. Dès les années 1920, les Britanniques ont introduit une forme de parlementarisme et le Congrès, qui incarnait le mouvement d'indépendance, s'est construit comme un véritable parlement. Ses leaders adhéraient au modèle anglais tout en considérant la démocratie comme un titre de gloire de l'Inde ancienne ; même Gandhi, bien que plus réservé envers le système parlementaire, militait contre un pouvoir fort pour que les villages soient le cœur du système politique. En outre, les factions et les baronnies excluaient la création d'un Etat centralisé. Avant même l'indépendance, le Congrès dut prendre ainsi l'habitude de rechercher des compromis dans la quête d'un consensus. La démocratie conservatrice à laquelle l' " Etat Congrès " a donné naissance reposait sur un vaste réseau de clientèles, les milieux paysans et ouvriers demeurant largement inorganisés. Paradoxalement, la démocratie indienne a franchit une nouvelle étape dans les années 1990, quand la politisation des castes a favorisé le pluralisme politique et permis aux castes inférieures de faire valoir leur principal atout, le nombre. Mais bien des menaces pèsent sur elle aujourd'hui : l'essor de la corruption, la criminalisation du politique et la montée en puissance du nationalisme hindou.

07/1998

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Histoire internationale

Les nationalistes hindous. Idéologie, implantation et mobilisation des années 1920 aux années 1990

L'auteur analyse l'idéologie et les stratégies du mouvement nationaliste hindou, de sa naissance en 1920 aux années 1990. L'hindouisme militant s'est construit comme nationalisme sur la base d'un sentiment de vulnérabilité face à l'Occident chrétien et à l'islam. Il s'est ainsi fait l'avocat d'une réforme sociale cherchant à unir des hindous connus pour leur division en castes et sectes. Longtemps endigué par le sécularisme vigilant de Nehru, le mouvement natonaliste hindou s'est développé à partie de 1980 ; en outre, le ralliement d'un réseau de religieux, pendant cette même période, a contribué à son épanouissement.

12/1993

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Histoire internationale

Le syndrome pakistanais

Depuis sa naissance en 1947, le Pakistan est travaillé par des forces contraires. Ses fondateurs ont voulu construire un Etat-nation centralisé alors que les régions, attachées à leur culture et à leur langue, souhaitaient gérer leurs propres affaires. Faute de les avoir entendues, le pouvoir central n'a pu empêcher la création du Bangladesh en 1971, et il se trouve aujourd'hui confronté à divers mouvements séparatistes des Baloutches à la mobilisation des Mohajirs pour contrôler Karachi. A la question de l'Etat s'ajoute celle du régime. L'armée et la classe politique alternent en effet au pouvoir tous les dix ans avec une grande régularité. Auteurs de trois coups d'Etat, les militaires jouent de la menace indienne pour justifier leur emprise sur le pays et leur budget, colossal. Les partis leur résistent et obtiennent à intervalles réguliers le retour à une certaine démocratie. Mais tous les dirigeants civils ne sont pas forcément démocrates, et leur népotisme, voire leur corruption, que l'armée imite de mieux en mieux, nuisent à leur crédibilité. Enfin, la question religieuse pèse sur le destin du pays telle une épée de Damoclès. Créé sur des bases "sécularistes", le Pakistan a connu un processus d'islamisation qui, ajouté au jihad en Afghanistan, a favorisé l'essor de l'islamisme. Sunnites et chi'ites s'affrontent, soutenus respectivement par l'Arabie Saoudite et l'Iran. La talibanisation gagne, et les mouvements islamistes, parfois proches d'Al Qaeda, défient à coups d'attentats de plus en plus audacieux un Etat désorganisé, sinon failli, bien que nucléaire. Ni jacobin ni fédéral, ni démocrate ni autocrate, ni laïque ni théocratique, le Pakistan contemporain est soumis à des pressions contradictoires. De l'issue de cette épreuve de force dépend l'avenir d'une région clé pour la stabilité de la planète.

09/2013

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Histoire internationale

L'Inde de Modi. National-populisme et démocratie ethique

En 2014, la victoire électorale des nationalistes hindous, remportée en grande part grâce au populisme de leur leader, Narendra Modi, a fait basculer l'Inde dans la démocratie ethnique. Les tenants du sécularisme, des militants politiques aux universitaires en passant par les organisations non gouvernementales, ont été mis au pas. Cibles traditionnelles des nationalistes hindous, les membres des minorités religieuses - les chrétiens et les musulmans en particulier - ont été relégués au rang de citoyens de seconde zone. Non seulement leur mise à l'écart au sein des institutions indiennes - y compris les assemblées élues - est sans précédent, mais ils sont victimes de violences et d'une police culturelle visant tant leurs pratiques religieuses que leurs activités économiques. Cette transformation de la scène politique indienne s'explique par le pouvoir que le mouvement nationaliste hindou, fondé dans les années 1920, a acquis au fil du temps - au plan électoral comme sur le terrain, à travers l'infiltration systématique de l'appareil d'Etat et un dense réseau de militants actifs sur les réseaux sociaux. En retraçant la montée en puissance de Narendra Modi dans son Etat du Gujarat dès les années 2000, puis à l'échelle du pays, Christophe Jaffrelot livre une analyse saisissante de l'essor du national-populisme au sein de la plus grande démocratie du monde.

03/2019

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