À la limite

Voici Le retour du Jeudi, comme dirait Dark Vador, mais surtout, l’instant de la sélection BD. Des planches à n’en plus finir, et des petites perles pour savourer des moments jalousement protégés, à l’abri derrière sa tablette ou son ordinateur. Et comme toujours, il vous suffit de cliquer sur les couvertures pour feuilleter librement l’intégralité de chaque BD, et en lire gratuitement les premières pages.

Une gratuité limitée de la scolarité à l'étranger

Vente de livres : La librairie française limite la casse

Arte inaugure la saison 2 de Artjacking !, émission où l’art contemporain « revisite les chefs-d’œuvre ». Et pour l’occasion, annonce la publication d’un premier ouvrage, en coédition avec La Martinière. Du beau, du bon, Dubonnet !

Le Gouvernement a annoncé une aide d’un milliard d’euros pour soutenir le développement du numérique à l’école. Dès la rentrée 2015, 500 établissements seront équipés afin d’expérimenter les nouvelles technologies comme forme d’enseignement.

Un député écossais a décidé d'interroger le gouvernement britannique, et sa position par rapport au livre d'Adolf Hitler, Mein Kampf. La version anglaise compte parmi les meilleures ventes, relève le

Affichant un résultat pour le premier semestre 2015 de 3,304 milliards €, le groupe Lagardère voit son chiffre d’affaires augmenter de 2,9 %, à données comparables. Du côté de Lagardère Publishing, le groupe Hachette Livre, le résultat opérationnel est en contraction de - 14 millions € lié à la baisse d’activité, aux États-Unis, notamment.

L'assassinat, Christophe Dufossé : à télécharger sans limites

ENTRETIEN – Il est tout à la fois la belle gueule et la face noire de la Nouvelle Vague, un personnage de fiction flamboyant perdu au milieu du morne réel. Presque trop beau pour être vrai. Paul Gégauff, dandy désabusé, aristo scélérat, séducteur misogyne, meurt à 60 ans, poignardé le soir de Noël par sa jeune épouse de 25 ans. Il lui aurait dit : « Tue-moi si tu veux, mais arrête de m’emmerder. » Le ton est donné.

Les bibliothécaires américains assistent à l’évolution régulière des conditions de prêt des livres numériques, mais déplorent un mouvement de restriction plutôt que d’ouverture. Dernier exemple en date, la décision du groupe Hachette de limiter la durée des licences de prêt à deux ans, au détriment d’un modèle d’accès perpétuel jusqu’à présent mis en place.

La journée autodéclarée des enfants ne doit pas empêcher les parents de se faire plaisir. Pour ce mercredi, Sequencity balaye toutes les BD de l’instant, à découvrir, ou redécouvrir, sur tablette et ordinateur. Un choix consistant, qui réunit ce que le monde des bulles a de plus sympa pour patienter jusqu’au week-end. Et comme toujours, il vous suffit de cliquer sur les couvertures pour feuilleter librement l’intégralité de chaque BD, et en lire gratuitement les premières pages.

Tout commence avec un mur. Celui érigé par la Wild French Réserve. Une immense barrière de métal vouée à protéger certaines espèces du reste du territoire. L’idée semble louable. Comment ne pas admirer cette action vers la préservation d’un écosystème fragile ? Or l’histoire de ce nouveau roman par Hélène Zimmer ne s’intéresse pas à ce mur, pas tout à fait ; il se penche en réalité sur trois protagonistes, et le bouleversement de leur existence… 

Nous l’attendions avec une impatience non feinte, nous l’accueillons donc avec un plaisir non dissimulé : AHHH, GRANDEUR, BONHEUR ET JOIE ! Enfin, la nouvelle bande-annonce de The Punisher vient de sortir sur la toile. 

Polémique Karski : où les limites de la fiction face à l'Histoire

Baisse de régime en librairie pour novembre : on limite la casse

Le fondateur du groupe LDLC ouvrira à la rentrée 2015 une école dédiée aux métiers du numérique. Basée à Dardilly, près de Lyon, cet établissement, qui reprend le nom de groupe, s’inscrit dans la lignée, en quelque sorte, de l’école 42 montée, cette fois, par Xavier Niel (voir notre article).

Les résultats financiers qui découlent du streaming sont pour les auteurs désespérants. Certes, pour les musiciens, les revenus sont encore plus absurdes, si l’on considère la rémunération. On considère en effet que ces derniers perçoivent entre 0,002 et 0,004 € sur une écoute – selon que le flux soit financé par la publicité ou payant. Mais dans les contrats, d'autres risques financiers pèsent, plus lourdement encore. Pourquoi en rajouter ?

Le financement participatif a souvent attiré l'attention de notre rédaction. Livres, appareils de haute technologie, films, ce système a permis de mettre en contact des créateurs en manque d'investissement et des internautes conquis par leurs projets. Dans une application économique typique du 2.0, chacun peut désormais contribuer financièrement à un projet jugé ailleurs trop risqué. Et dessiner de nouvelles tendances économiquement viables. D'abord investies par des artistes peu médiatisés, les plateformes comme Kickstarter ont battu des records d'investissement pour devenir des structures de financement tout public.

L'écrivain Jonathan Bate entreprend actuellement la rédaction d'une nouvelle biographie du célèbre poète de Cambridge, Ted Hugues, mais voilà que l'herbe lui serait quelque peu coupée sous le pied. La seconde épouse et veuve de l'auteur de Crow, Carol Hugues, est finalement revenue sur l'autorisation qu'elle avait précédemment accordée au biographe, et qui lui aurait permis de citer des extraits d'oeuvres inédites issues des archives. Il lui faudra se limiter aux documents rendus accessibles au public par la British Library.

Au fil des mois, la politique du gouvernement britannique de David Cameron se durcit de plus en plus, et s'éloigne d'un objectif de valorisation de la lecture publique. Le Secrétaire d'État à la Justice Chris Grayling a décrété la fin de la « justice douce », et bannit à présent les livres des prisons britanniques. Les détenus devront désormais faire preuve d'un bon comportement avant de pouvoir recevoir des livres de l'extérieur.

Vincent Message, Les Veilleurs : la course aux limites

« Le mois de septembre étant une période de forte activité en librairie », selon le communiqué du CNL, la date de dépôt des dossiers des librairies pour obtenir une aide sur la valorisation des fonds (VAL) est avancée au 31 juillet.

C'est ce nom-là, Béalu, Marcel Béalu qui a attiré mon attention... J'étais en train de lire des notes sur "La boîte à clous", la revue littéraire dont Jean Forton (voir le site de Mme Rabier Darnaudet ici) a été le créateur et le directeur dans les années 50. J'y lisais le nom des collaborateurs: Jean Cassou, Armand Lanoux, Raymond Guérin, d'autres encore puis Marcel Béalu. Béalu, je n'en avais jamais entendu parler. Ce nom avec ce "u" final m'a intrigué, et j'ai recherché ce que je pourrais en lire: parmi les recueils de poèmes, la dizaine de romans qu'il a écrits, deux titres m'ont attiré: "Journal d'un mort" et puis "L'expérience de la nuit". "Expérience de la nuit", le titre m'a plu, me faisant songer à celui de Richaud: "La nuit aveuglante" si admirable (cliquer ici).

Président nouvellement élu du Syndicat des Éditeurs Alternatifs (SEA), Olivier Bron, cofondateur des éditions 2024, succède à Benoît Preteseille (éditions Warum et Ion). Et il s'attend à une année 2020 particulièrement chargée, marquée par la remise du rapport Racine et les premières actions du ministère de la Culture. Pour le SEA, il s'agira toujours, par ailleurs, de faire valoir une autre édition, de faire entendre une autre voix d'éditeurs.

L'université du Québec à Montréal (UQAM) a accueilli mercredi la 5e Journée interprofessionnelle de l'Association des libraires du Québec (ALQ) : l'occasion de débattre sur les défis qui attendent le secteur, mais également de revenir sur une potentielle loi qui limiterait les remises possibles sur le prix d'un livre. 

Wikipedia limite les modifications d'articles sur les personnes

La question de la TVA nouvelle dans l'édition, qui fera basculer le prix des livres à 1,5 % de taxation supplémentaire agite les maisons. D'un noir si bleu, éditeur indépendant, spécialisé dans l'édition de nouvelles francophones a contacté ActuaLitté pour faire connaître sa position.

Saint-Denis fête le livre, très fort

La semaine passée, l'Assemblée nationale examinait la proposition de loi portant sur la régulation de la vente par internet de livres. Il s'agissait de mettre en place pour le groupe UMP une interdiction de la gratuité des frais de port, mais le gouvernement a tenu à y inclure également l'impossibilité de cumuler ce premier point, avec la remise de 5 % que les libraires sont légalement en mesure de proposer au public.