Dans un précédent article, il avait été question des relations, même indirectes, entre le processus de commercialisation d'oeuvres sous droit, en format numérique, au travers de Gallica 2, à celui de numérisation des oeuvres indisponibles. Si dans le premier, une certaine volonté de respect du droit d'auteur, et des contrats, était évidente, le second a largement démontré qu'il avait taillé dans le Code de la Propriété Intellectuelle de quoi s'aménager une place confortable. Et répondant à ses besoins. Voici donc une genèse de l'histoire de ReLIRE...