bibliotheque arabe

Créé par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l'Institut du monde arabe, le Prix de la littérature arabe en arrive à sa deuxième édition. Avant la sélection finale, qui sera dévoilée en septembre prochain, une première présélection de dix-sept titres vient d'être présentée.

Regards croisés avec le Chili et la France : la foire du livre de Tunis offre ce 30 mars une rencontre organisée avec l’Alliance internationale des éditeurs indépendants. L’occasion d’interroger les outils que mettent en place les États pour valoriser le livre et l’édition, et par extension la lecture.

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe est la seule récompense française distinguant la création littéraire arabe. Ce prix, doté de 10.000 €, promeut le roman ou le recueil de nouvelles d'un écrivain ressortissant de la Ligue arabe et auteur d'un ouvrage écrit ou traduit en français et publié entre le 1er juin 2017 et le 31 mai 2018. La sélection de l'édition 2018 vient d'être dévoilée.

L’Arabie saoudite entend faire inscrire la calligraphie arabe sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Pour préparer au mieux le dossier de candidature à rendre auprès de l’UNESCO, le ministère saoudien de la Culture a organisé une session de réunions du 2 au 6 février 2020 à Riyad, la capitale du royaume. 16 pays y ont participé, en collaboration avec l’Organisation arabe pour l’éducation, la culture et les sciences (ALECSO).

Le Prix de la littérature arabe 2019, créé par l’IMA et la Fondation Jean-Luc Lagardère, a été décerné à l’écrivain égyptien Mohammed Abdelnabi pour son roman La Chambre de l’araignée, traduit de l’arabe (Égypte) par Gilles Gauthier et paru aux éditions Sindbad (Actes Sud). 

Le 13e Prix international de la fiction arabe a été décerné, ce 14 avril, à l'écrivain algérien Abdelouahab Aissaoui pour son livre The Spartan Court (La Cour de Sparte, Eddiwan El Isbarti en version originale), publié par les éditions Dar Mim. La cérémonie de remise du prix, qui devait se dérouler dans le cadre de la Foire du livre d'Abou Dabi, a bien entendu été annulée.

Dareen Tatour, poétesse arabe israélienne, vient d’être libérée, après une condamnation à cinq mois de prison. L’État l’avait condamnée pour « incitation à la violence » et « soutien à une organisation terroriste », rappelle l’AFP. Elle avait en effet posté une vidéo, récitant son poème, « Résiste, mon peuple, résiste-leur ».

Grande nouvelle pour de nombreux lecteurs du monde entier : l'environnement Kindle d'Amazon, soit la librairie, les appareils de lecture, les applications, mais aussi Kindle Direct Publishing, peut désormais lire et afficher l'arabe. Amazon a annoncé cette nouvelle fonctionnalité, très attendue, avec un catalogue de 12.000 titres.

À l'heure ou le peuple égyptien vient de renverser le Président Mohamed Morsi, qu'il avait lui-même élu il y a un an et qui l'avait tant déçu, comment ne pas rappeler que le poète syrien, Mohamed al-Maghout, dénonçait à la fin des années cinquante la situation réservée au peuple arabe dans les vers magnifiques de son recueil La joie n'est pas mon métier, que La Différence vient de faire reparaître dans la collection Orphée.

L'écrivain libanais Rabee Jaber a remporté le Prix international de la fiction arabe 2012 pour son ouvrage Les druzes de Belgrade, qui raconte la vie d'un chrétien condamné à l'exil après la guerre civile à Beyrouth, rapporte AP. L'auteur avait déjà été nominé pour recevoir ce prix en 2010 pour son livre America.

Après The 99, du dessinateur koweïtien Naif al-Mutawa inspiré des 99 vertus de Dieu selon l'Islam mais transposées dans un univers comics, c'est au tour des manga de servir de vecteur à la culture du Moyen-Orient.

Ce mois-ci, le prix littéraire le plus prestigieux du monde arabe a dévoilé la liste des aspirants, tous entrés en lice pour le Prix Arabe de la Fiction. Le lauréat, outre la dotation de 38.000 €, bénéficiera d'une traduction assurée en anglais et d'autres langues. Rendez-vous en mars.

Tradition millénaire dans le monde arabe et islamique, la calligraphie arabe est entrée, le 14 décembre, dans la liste du patrimoine culturel immatériel établie par l'UNESCO. Pour ce faire, 16 pays du monde arabo-musulman se sont réunis afin de porter cette candidature. Pour l'organisme, le patrimoine culturel immatériel demeure, plus que jamais, « un facteur important de maintien de la diversité culturelle face à une mondialisation croissante. »

Le Prix de la littérature arabe 2022 est décerné à l’auteur tunisien Yamen Manai pour son roman Bel Abîme (Éditions Elyzad). Le lauréat du Prix sera reçu à l’Institut du monde arabe le 3 décembre dans le cadre des rencontres littéraires « Une heure avec… ». Une mention spéciale est attribuée à l’écrivain soudanais Hammour Ziada pour son roman Les Noyées du Nil (Éditions Sindbad / Actes Sud), traduit de l’arabe par Marcella Rubino et Qaïs Saadi. 

15.000 € de récompense pour le Prix du roman arabe

Décès de Souheil Idriss, un grand de la littérature arabe

La liste restreinte du Prix international de la fiction arabe (IPAF) a été annoncée. Il comprend des auteurs d’Algérie, d’Égypte, d’Irak, de Libye, d’Oman et d’Arabie saoudite. Le lauréat de cette 16e édition de la récompense sera nommé à Abu Dhabi le 21 mai lors d’un événement que les organisateurs ont l’intention de diffuser. Le lauréat sera annoncé le 21 mai 2023 à Abu Dhabi.

Vidéo, couleur : le premier lecteur ebook arabe, dédié au Coran

'La culture arabe ne se résume pas aux fondamentalistes islamistes'

Créé en 2013, le Prix de la littérature arabe représente l'une des rares distinctions littéraires françaises qui mettent en lumière la création littéraire arabe. Cette récompense, dotée d'une somme de 10.000 €, vise à promouvoir l'œuvre d'un écrivain originaire et/ou ressortissant d'un des pays de la Ligue arabe, auteur d'un ouvrage rédigé en français ou traduit en français, publié dans l'année précédant le prix. En 2023, pour la première fois, il s'accompagne d'un Prix de la littérature arabe des lycéens.

La sélection de cette nouvelle édition met à l’honneur la grande richesse de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivaines et d’écrivains issus de divers pays (Algérie, Égypte, Irak, Koweït, Liban, Syrie). Et elle souligne la qualité des traductions et la diversité des sujets abordés, portées par l’engagement de maisons d’édition. Pour cette édition, huit ouvrages ont été présélectionnés et seront proposés au jury.

Le Prix de la littérature arabe 2023, une initiative de la Fondation Jean-Luc Lagardère et de l’Institut du monde arabe, a été attribué à Feurat Alani, un auteur franco-irakien. Il a été récompensé pour son roman Je me souviens de Falloujah, publié aux éditions JC Lattès. L'ouvrage avait déjà reçu le prix Senghor en septembre dernier.
 

Le Sheikh Zayed Book Award, supervisé par le Centre de langue arabe d'Abu Dhabi sous l'égide du département de la culture et du tourisme d'Abu Dhabi, a honoré La Casa Árabe en la désignant comme la Personnalité culturelle de l'année, lors de sa dix-huitième édition. 

La Bibliothèque nationale de France annonce l'ouverture, le 12 septembre 2017, de la plateforme Bibliothèques d'Orient, conçue avec 7 bibliothèques patrimoniales et de recherche implantées au Proche-Orient. Avec près de 7000 documents accompagnés de 100 textes de contextualisation scientifique dans une interface trilingue (français, arabe et anglais), Bibliothèques d'Orient veut devenir un incontournable pour les chercheurs et les curieux.

Jack Lang, président de l'Institut du monde arabe (IMA), et Olivier Faron, administrateur général du Conservatoire National des arts et métiers (Cnam), ont signé le 3 juin 2016 une convention de partenariat dans le domaine de la formation en langue arabe. Le partenariat entre les deux établissements vise à :

Pour sa deuxième édition, le Prix de la littérature arabe a été décerné à Mohamed al-Fakharany pour son roman La Traversée du K.-O. (Seuil, février 2014, 216 pages, 18 €). Traduit de l'arabe (Égypte) par Marianne Babut, cet ouvrage nous plonge dans les désillusions des habitants d'un bidonville situé à proximité du Caire.

Le catalogue des Coups de cœur des libraires du monde arabe est sorti : cette sélection de livres établie par les libraires membres de l’AILF sera officiellement présentée durant le salon Livre Paris, sur le stand Maroc.

L’Institut du monde arabe fait à nouveau une place au théâtre après dix ans d’absence. Dans l’auditorium que possède l’établissement, une représentation unique du Rouge du Tarbouche, d'après le roman d'Abdellah Taïa, sera proposée le vendredi 4 mars 2017 à 21h.

La Foire du Livre de Charjah, dans les Émirats arabes unis, attire peu d'éditeurs français : et pour cause, les littératures arabes ne sont pas très prisées par l'édition française, à l'exception de quelques maisons. Si les auteurs sont présents, le coût des traductions reste élevé, et les bourses, rares. Mais les marchés, dans les différents pays, se développent et s'ouvrent de plus en plus.

Le nouveau rendez-vous hebdomadaire à l’Institut du monde arabe pour faire connaître, découvrir et entendre les auteurs arabophones et francophones, émergents et confirmés, venant ou parlant du monde arabe.