En début de semaine, ils étaient une cinquantaine sur les soixante établissements de la Ville à lancer un « cri d’alerte ». Les directrices et directeurs de bibliothèques, peu coutumiers de ces méthodes, expédiaient à la Direction des Affaires culturelles un courrier commun. Étrangement, quelques jours plus tard, certains lieux de prêt ferment, toujours sur les mêmes bases. « Les injonctions paradoxales qui touchent la société, les bibliothèques n’en sont pas exemptes », nous assurait-on…