Décidément, la rue de Valois a ses humeurs : déjà en novembre 2013, la ministre de la Culture avait ostensiblement boudé les hommages attendus, suite au décès de Gérard de Villiers. « D'habitude, quand un grand personnage cesse à peine de respirer, aussitôt un communiqué tombe. Là, rien ! Aurélie Filippetti n'aimait peut-être pas l'écrivain et son œuvre, c'est son droit le plus strict. Mais c'est un droit intime et personnel. En tant que ministre, elle se doit de représenter la diversité de la culture », considérait Jean-Michel Aphatie. Et pour une élection à l'Académie française ?