De quoi l'expression cancel culture est-elle le nom ? Selon les contextes, elle est adaptée : quand le gouvernement de Viktor Orbán l'utilise, en Hongrie, c'est pour remettre en question la parole d'une autrice, Krisztina Tóth, vis-à-vis de l'histoire littéraire telle qu'elle a été écrite par la postérité. Le PEN Club français, dans une tribune, défend Tóth, accusée de « censure féministe » et menacée sur les réseaux sociaux. Nous reproduisons ce texte ci-dessous, en intégralité.