« Je déteste les hommes. [...] J'ai tout fait pour les aimer, j'ai juste très vite appris que les hommes n'étaient qu'une source perpétuelle de déception. »
Passer un mois sous le soleil de Martinique pour le mariage de sa soeur : le rêve ? Pas pour Hortense ! Revenir dans la maison de famille lui donne – littéralement – des cauchemars chaque fois qu’elle y fiche les pieds. Impossible de fermer l’œil.
La seule chose qu’elle déteste encore plus, ce sont les hommes. Il faut dire qu’elle n’avait pas prévu de tomber enceinte à 17 ans et d’enchaîner les déceptions amoureuses depuis. À presque 28 ans c’est décidé, elle tire pour de bon un trait là-dessus.
Enfin, jusqu’à ce qu’elle croise Rafael. Il la prend pour une demoiselle en détresse, elle le rembarre ; il la défie, elle le nargue. Rafael n’a rien à prouver. Alors pourquoi ne peut-il s’empêcher d’essayer de convaincre Sia qu’il est différent ?
Heureusement, il y a une chose sur laquelle ils sont d’accord : s’il doit se passer quelque chose entre eux, ce ne sera jamais de l’amour. Même si ça y ressemble fort…
Le besoin d'indépendance d'une femme, la recherche et la reconstruction de soi-même, la confrontation avec son passé, les secrets de famille, le deuil, une pointe d'humour et un amour naissant : voilà ce que promet le roman.
Pourvu qu'on ne s'aime jamais est la promesse d'une femme qui fera tout pour ne jamais être une « Lois Lane » recherchant un « Clark Kent ». C'est un homme complètement perdu dans sa vie et qui peine à faire le deuil de son père et de sa soi-disant vie parfaite.
Ce roman fait ressentir toutes les émotions en passant de la joie à la peur en passant même par le dégoût, la colère et la tristesse.