éditions Arlea

BONNES FEUILLES – A l’occasion de cette nouvelle rentrée littéraire, les éditons arléa vous proposent de découvrir le premier roman de Gisèle Berkman, Madame. L’autrice donne ici un premier roman vertigineux. Le style, la maîtrise de l’écriture et de l’émotion, la gravité du sujet changée en grâce, tout cela fait de Madame un grand texte.

AVANT-PARUTION – « Et quant à la congnoissance des faictz de nature, je veulx que tu te y adonne curieusement. » On saisit assez aisément le propos de Gargantua dans cette lettre à son fils Pantagruel. Mais engloutir les cinq livres de François Rabelais à travers cette langue s'apparente à un défi immense. Les éditions Arléa ont ainsi décidé d'en produire une traduction confiée à Claude Pinganaud. 

BONNES FEUILLES – A l’occasion de cette nouvelle rentrée littéraire, les éditons arléa vous proposent de découvrir le nouveau roman de Silvie Wojcik. Roman sur le dépassement de soi, sur la puissance des rencontres et sur le grandiose d’une nature sublimée, Les Narcisses blancs nous conduisent avec grâce et émotion vers le partage d’un grand moment de vie, porté par une écriture sobre et inspirée.

AVANT-PARUTION – Pour 2020, les éditions Velvet rejoindront la cour des éditeurs, avec un premier ouvrage : cette jeune maison publiera en effet Le Bernard-l’ermite dans l’aquarium, de Corinne Dupuy. Un premier roman pour inaugurer la maison, présenté en exclusivité sur ActuaLitté.

BONNES FEUILLES — Pour cette rentrée littéraire, les éditions Arléa publient le prochain livre de Olivier Rasimi. À dix-sept ans, Bébé mesure tout juste soixante-dix centimètres et a conservé son apparence enfantine dont il possède l’esprit, l’inconstance, l’indolence, la bouffonnerie… Guidé par une sorte de sixième sens qui lui fait considérer les choses sous un angle étrange, inapproprié, qu’il exprime alors d’une façon qu’on pourrait juger poétique si elle n’était involontaire.

Pour la rentrée littéraire, les éditions Arléa publient le nouveau roman de Vincent Hein : La disparition de Jim Thompson. Dans ce livre, l’auteur revient sur la vie de cet homme d’affaires américain, anciennement lié au service de renseignements américain, disparu mystérieusement en 1967. « Il ajouta enfin – et rien à ses yeux n’avait plus de prix – qu’il avait eu l’impression ce soir de tenir dans le creux de sa main le personnage accompli d’un roman qu’il aimerait écrire. »

BONNES FEUILLES - Esparbec, décédé en 2020, est l’auteur-phare des éditions La Musardine. Qualifié par Jean-Jacques Pauvert de « dernier des pornographes », c’est aussi la meilleure vente ces dernières années du rayon littérature érotique. Par cette édition monumentale (12 volumes d’environ 800 pages, publiés entre 2021 et 2025), la maison d'édition veut montrer que l’œuvre d’Esparbec a toute sa place en littérature.

AVANT-PARUTION — Les Éditions du Rêve développent une collection Jeunesse avec la sortie au mois de mai prochain de l’album Le grand méchant qui ?, de Béatrice Ruffié Lacas, illustré par Pauline Amélie Pops. Joli conte autour des figures mythiques de la littérature jeunesse du loup et du pou, il aborde avec tendresse la question du compromis et de la résolution de conflits.

AVANT-PARUTION —La maison d'édition Martin de Halleux annonce l'ouverture d'une nouvelle collection au sein de son catalogue, nommée « 25 images » et consacrée aux récits graphiques courts et sans paroles. Pour l'inaugurer, La Forêt de Thomas Ott et Marguerite de Joe Pinelli, tous deux en librairie le 10 novembre prochain.

Ces 12 cahiers allant de 1909 à 1923, Kafka les qualifiait parfois de Journal, observations de vie quotidienne, rêves, visions, fulgurations, réflexions et même dessins alternant avec de multiples débuts de récit, certains répétés. Comme s’il s’agissait de réchauffer un moteur narratif refroidi. Dans cette galaxie brille un seul récit achevé, Le verdict, écrit d’une traite une nuit de 1912, devenu pour l’écrivain le modèle du bonheur de raconter. 

BONNES FEUILLES – Voilà treize jours qu’Ariane a posé ses valises dans cette petite maison de la Côte d’Albâtre. Pour elle et sa fille de 3 ans, une nouvelle vie commence. Mais sa fuite, de Paris à Veules-les-Roses, en rappelle une autre, plus d’un siècle plus tôt, lorsqu’une fameuse actrice de la Comédie-Française vint y cacher un lourd secret. Se sentant observée dans sa propre maison, Ariane perd peu à peu le fil de la raison... 

BONNES FEUILLES — 60 ans après sa parution, Printemps silencieux frappe les lecteurs par l'exposé clair et précis des dégâts que peuvent causer les interventions humaines sur la nature, en rompant un fragile équilibre. Mais aussi par l'écriture de Rachel Carson, dont la puissance poétique et évocatrice renforce la lutte farouche qu'elle mène, au moment de la parution, contre l'usage des pesticides. À l'occasion de l'anniversaire du texte, les éditions Wildproject en proposent une nouvelle édition augmentée et illustrée.

RentréeLittéraire23 - Il est impossible de faire le portrait d’une culture. Que cherche-t-on au Japon ? Le kabuki ou le butō? Bashō ou Tanizaki ? Hiroshige ou Kurosawa ? Quel amalgame, aussi improbable soit-il, guidera nos pas ? 

BONNES FEUILLES - L'« infans », celui qui reste muet. La perte d'un parent nous confronte inévitablement à notre propre finitude. C'est comme si le voile qui nous protégeait jusque-là disparaissait.

RECIT FRANCOPHONE - Depuis l’enfance où son père instituteur l’amenait récolter des fragments de poterie, des silex ou des dents humaines dans les grottes ou au pied des dolmens de l’Ardèche, Jean-Jacques Salgon, écrivain et scientifique de formation, passionné d’art, a gardé un goût prononcé pour la préhistoire. En 2004, il a eu la chance de visiter la grotte Chauvet et, plus récemment, celle moins connue de Baume Latrone, dans le Gard...

HIVER2024 - Une future étoile du music-hall parisien voit le jour. Mais elle ne le sait pas encore. Dès son adolescence à Paris, elle se démène pour se forger un nom dans le milieu artistique, devenant une actrice pétillante et appréciée dans des lieux comme le Casino Montparnasse ou la Comédie Caumartin. 

BONNES FEUILLES – Le livre semble à la peine dans la société contemporaine, détrôné par les objets connectés. Les sondages inquiétants sur l'évolution de la lecture font apparaître un tassement du goût pour les livres, notamment chez les jeunes générations. 

BONNES FEUILLES – Début septembre, les éditions Delcourt publient en version intégrale l’adaptation de l’œuvre de Neil Gaiman, en comics. Cette réédition en intégrale de l’adaptation du roman The Graveyard est servie par la crème des auteurs de comics, de P.C. Russell à Kevin Nowlan, en passant par Jill Thomson et Scott Hampton. 

Cette histoire captivante nous plonge dans l'univers fascinant des ateliers d'art, où l'on effleure le seuil pour découvrir l'espace personnel et la splendeur cachée derrière la création. 

La biographie de Spinoza par Steven Nadler est exemplaire. Essentielle pour la compréhension des œuvres, elle donne vie à cet homme exceptionnel et nous plonge dans le Siècle d’or des Pays-Bas, au cœur d’Amsterdam, véritable et unique creuset de libertés. Voici, traduit par Jean-François Sené et Olivier Bosseau, une nouvelle édition, revue et augmentée de l’œuvre certainement la plus complète et la plus documentée jamais publiée à ce jour. 

BONNES FEUILLES – C’était un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, comme le dit la chanson, et qu’ils découvrent avec une certaine consternation. Serge Safran éditeur publie Le Monde d’avant, journal de Roland Jaccard. Une plongée, entre 1983 et 1988 dans le Landerneau parisien, tant de la presse que du milieu du livre. 

AVANT-PREMIÈRE – C'est officiel, le 4 mars, Le Jeu de la dame de Walter Tevis fait son entrée en Totem, dans une traduction inédite de Jacques Mailhos – la précédente avait été réalisée par Pierre Alien. L'occasion de retrouver ou bien de rencontrer Beth Harmon, jeune orpheline, prodige des échecs, prête à se battre pour dépasser sa condition et grimper jusqu'au sommet.

BONNES FEUILLES - Quand la Mort revient narguer Violette, voûtant sa fuette silhouette, elle la fuit jusqu’à la Fenice. Elle entre au bar du Théâtre, et là, dans les effuves lactés de cappuccino, elle se redresse. Et elle la brave. 

BONNES FEUILLES — Marie Sizun, romancière française, retourne au 10, villa Gagliardini à Paris, le lieu où elle a grandi, un espace étroitement lié aux souvenirs, sons et lumières de ses premières années, renfermant le mystère de sa petite enfance.

Rentréelittéraire2023 - Je savais qu’elle pouvait tout me raconter, encore et encore, n’importe quand, elle était comme un livre à portée de main, à feuilleter à volonté, et elle avait promis de m’écrire l’histoire de sa famille, je vais le faire, disait-elle, mais le remettait chaque jour au lendemain, pensant comme moi qu’il y aurait encore des milliers de lendemains. 

#Tripode10ans - « Un jour en la forêt maître Gundrup un enfant trouva. / "Qu’il est beau ! Qu’il est fort ! Il sera tout à moi." / Céans recueilli, nous lui enseignons l’art de la chasse / Comment tombe la pauvre proie en la nasse...

BONNES FEUILLES — Hélène, une jeune femme que rien de prédestinait à la vie monastiques, est sur le point de prendre l'habille. Les vocations se faisant de plus en plus rares, rien ne semble s'opposer à son engagement. La réalité, cependant, se révèle plus nuancée.

BONNES FEUILLES – Les éditions Actes Sud proposent une nouvelle édition du Livre des Rois, épopée iranienne de Ferdowsi. Un texte traduit ici par Jules Mohl, dont Gilbert Lazard a sélectionné les extraits.

BONNES FEUILLES - Dans un monde où la liberté, la création et le mélange des cultures n’existent plus, on ne sait où ni quand, Petra est emprisonnée pour athéisme.

BONNES FEUILLES — « Il m’arrivait souvent de penser à elle. Un frisson dans l’air, une éclaircie, ou, comme dans ce cas précis, une ressemblance, il n’en fallait pas plus pour la faire apparaître. J’avais alors le sentiment qu’elle était vraiment là, tout près, vivante, que son regard, son sourire s’adressaient à moi. L’espace d’une seconde, je retombais en enfance, car j’entrais dans son univers plus qu’elle ne surgissait dans le mien. »