Tim Krohn, Chrigel Farner

L'empire médiatique de Rupert Murdoch entend visiblement étendre son espace vital, à l'ère des grandes concentrations capitalistiques de la Silicon Valley. Au cours du mois de juin, le PDG de 21st Century Fox a fait son offre de rachat à Time Warner. La proposition, estimée aux environs de 80 milliards $ (59 milliards €), a été refusée par le conglomérat concurrent. Cependant, l'homme d'affaires ne s'avouerait pas encore vaincu. Celui-ci envisagerait de faire miroiter un second appât pécuniaire à sa proie, et aurait encore d'autres cartes à jouer.

Suppressions d'emplois envisagés pour le groupe Time Warner

Surfant sur une mise à disposition immédiate, la société Time Warner Cable présente un nouveau service, Books To Movies On Demand. S'inscrivant dans le modèle internet des films à la demande, ou VoD, cette offre s'achèvera le 20 octobre. Les clients pourront ainsi accéder à une offre spécialement éditorialisée pour proposer des livres adaptés en films.

Pennywise a bien failli flotter à jamais dans la mare des projets abandonnés, chez New Line. La promesse d'une nouvelle adaptation cinématographique de Ça, de Stephen King, avait même su toucher les fans. D'autant plus qu'on retrouvait à la réalisation Cary Fukunaga (True Detective), qui avait même choisi l'acteur qui incarnerait le fameux clown, Will Poulter.

Ce week-end a marqué un nouveau pas dans la concentration mondiale. L’opérateur téléphonique AT&T a annoncé sa volonté de racheter Warner Bros. Une opération d’envergure – 85,4 milliards € – qui marquerait un sérieux changement dans le paysage américain. 

Les résultats du groupe américain de médias Time Warner, pour le premier trimestre 2013, sont à double face. Si l'ensemble est presque stable (6,9 milliards de dollars de chiffre d'affaires, soit une baisse de 0,6 %), c'est surtout la partie télévision qui comporte de bons chiffres. La filiale cinéma apparaît un peu en retrait quand celle de l'édition continue à souffrir lourdement, rapporte l'AFP.

Le groupe Time Warner a décidé de se séparer de tous ces magazines et autres activités « print », et par là même de faire plus ou moins disparaître la partie « Time » de son titre. Le seul rescapé à cette rupture assez brutale est DC Comics, fer de lance des activités de Time Warner, au détriment de Time, Sports Illustrated ou Entertainment Weekly.

Rencontre exceptionnelle avec
Tim Willocks

à l’occasion de la sortie de son nouveau roman
Douze enfants de Paris
(éditions Sonatine)

La poésie comme thérapie. Ancien psychiatre, Tim Willocks aurait pu se servir de sa connaissance de la psyché pour décrire les fêlures de ses personnages. L'auteur a préféré user de sa sensibilité poétique pour aller au-delà des concepts de la psychose ou de la folie. « Des catégories limitées et restrictives » selon l'homme au visage hirsute. Lentement, il détricote la compréhension commune pour une approche infiniment plus libératrice.

À l’occasion de sa 4e édition, le Prix Caméléon 2018, aussi connu comme le prix étudiant du roman étranger traduit en français, est remis à l’auteur coréen Kim Tak-hwan, ainsi qu’aux traductrices Yeong-hee Lim et Françoise Nagel, qui ont traduit en français son roman Les romans meurtriers, paru chez Philippe Picquier.

Tim Coates est le directeur général des librairies Waterstones, et il a décidé de s'intéresser au problème épineux qu'est la gestion des bibliothèques pour la municipalité londonienne. Pour le pire, puisqu'il se contente de proposer un allégement de l'administration.

La sortie de Frankenweenie par Tim Burton en octobre au cinéma est un événement qui ne manque pas de frapper l'esprit des cinéphiles. Avec Frankenweenie, œuvre en animation image par image, Tim Burton ressuscite un court-métrage réalisé en 1984. Comme il fallait aussi penser au matériel de promotion, Disney Publishing a pensé lancer un concept amusant et innovant : Frankenweenie: An Electrifying Book.

Tim Cook lauréat du prix Charles Taylor

La juge Denise Cote s'attendait à en finir avec le règlement ebooks en acceptant les conditions proposées par le DoJ dans leur intégralité : elle citait même un poème d'Emily Dickinson (No Frigate like a Book), histoire de placer la décision dans la tradition littéraire la plus respectable. (

Outre-Atlantique, c'est ce que l'on désigne comme un « Hail Mary », un mouvement désespéré comme l'ultime prière d'un condamné attendant la rédemption : inutile de dire que Bob Kohn en veut. Et qu'il ne compte pas lâcher l'affaire face au Department of Justice, auquel la juge Denise Cote a donné raison en acceptant le règlement sur le prix des ebooks. (

Relativement à la décision du Doj (Departement of Justice) concernant les accusations portées sur des éditeurs, dans le cadre de la fixation du prix du livre numérique, un mémoire sous forme de bande dessinée comique s'est érigé, loin de plaire à l'institution.

Le fondateur de la société eMusic, s'était porté au secours des éditeurs et d'Apple, accusés d'entente, sur la fixation du prix de vente des livres numériques. Le ministère de la Justice américain avait ainsi reçu un document de cinq pages, pour que Kohn explique sa position. Et c'est sous la forme d'une bande dessinée que Kohn avait choisi de répondre. 

L'appel au Second Circuit, mis en branle par l'entrepreneur venu du monde de la musique Bob Kohn, a essuyé un cinglant refus de la part de la juge Denise Cote. D'après la responsable de l'affaire de l'entente sur le prix des ebooks, l'avocat n'est pas qualifié pour faire appel : ce dernier ne s'est pourtant pas résigné à la décision de la femme de loi, et assure qu'il ira jusqu'à la Cour Suprême si besoin est.

L'insolent Bob Kohn intervient actuellement au titre d'amicus curiae, dans le dossier sur l'entente entre éditeurs d'ebooks et Apple. Il a ainsi délivré un étonnant dossier au DoJ, sous la forme d'une bande dessinée. Une proposition de règlement émanant du ministère de la Justice américain et trois éditeurs, concerne la fixation du prix des ebooks vendus aux Etats-Unis (voir notre actualitté). Et en dépit d'un important afflux de documents judiciaires et autres avis du public, celui-ci est le premier à prendre cette forme artistique.

Le livre numérique est mort. Ou du moins, entre-t-il dans un déclin funeste : voilà l'avenir que le fondateur de la chaîne de librairies, Tim Waterstone, lui prédit. Selon lui, l'amour pour le mot, imprimé, n'est pas mort en Grande-Bretagne, et l'objet papier est l'un des produits de consommation les plus réussis. Autrement dit, la révolution numérique va prendre du plomb dans l'aile - et pas seulement le sel qu'on lui expédie régulièrement.

Si vous aimez Tim Burton, faire un détour par la Cinémathèque française s'impose. Même si c'est trop tard pour la Master Class, qui avait lieu hier, il est encore possible d'en découvrir le contenu, ce dernier restant disponible sur le site d'Arte.

Après Alice au Pays des Merveilles,Tim Burton va adapter un autre classique de Disney, Dumbo, en mêlant prises de vues réelles et images de synthèses. Comme le film d'animation de 1941, celui-ci racontera les aventures d'un petit éléphant aux grandes oreilles, qui lors de sa naissance a été déposé dans un cirque par une cigogne. Moqué pour ses esgourdes, le triste animal va trouver une plume magique et transformer son handicap en atout.

La publication du nouveau livre du journaliste américain Tim Ferriss n'avait pas plu à tout le monde. Ce n'est nullement le contenu qui était en cause, son livre est même un best-seller dans son genre, celui des livres qui doivent vous aider à vivre mieux. C'est l'édition et la distribution qui ont dérangé les acteurs classiques du secteur. 

La sortie du film Miss Peregrine et les enfants particuliers est prévue pour le 31 juillet 2015, comme annoncé par nos copains d'ActuaLitté et c'est Tim Burton qui devrait s'y coller. Le réalisateur serait allé puiser dans l'imaginaire de l'auteur américain de littérature jeunesse Ransom Riggs, dont le roman est paru en anglais en 2011 chez Quirk Books et en français chez Bayard en mai 2012.

Après la série Heroes, Tim Kring devient écrivain

Tom, petit Tom, tout petit homme, Tom - Barbara Constantine