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Tiédaba Koné

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marie-Hélène Lafon

Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac. Professeure de lettres classiques à Paris. Tous ses romans sont publiés chez Buchet/Chastel. Elle a choisi d’enseigner dans un collège situé en Zone d’Education Prioritaire. Elle rédige son premier texte, une nouvelle, à l’âge de 34 ans. Elle est un écrivain en quête d’une écriture absolue, animée par une irrépressible envie d’écrire et libérée des contraintes inhérentes à sa condition sociale originelle.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Stephen King

Né le 21 septembre 1947 à Portland, aux États-Unis, Stephen King a bâti une carrière d'écrivain hors normes : des dizaines de livres publiés et des millions d'exemplaires vendus dans le monde entier en font l'un des auteurs les plus lus et les mieux payés. Publiant tantôt sous le nom de Richard Bachman et sous celui de Stephen King au début de sa carrière, son nom est désormais largement connu à l'international comme celui du « Maître de l'horreur ».

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Patrick Deville

Voyageur insatiable et styliste hors norme, Patrick Deville fait dialoguer ses pérégrinations à travers le monde et la grande Histoire dans des romans « d’invention sans fiction », un jeu entre les différentes littératures. 

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Dossier

À Nöel, cinq ouvrages pour se triturer les méninges

Noël approche, plus de temps à perdre, alors pour vous aider dans vos cadeaux de dernière minute, ActuaLitté vous conseille. Pour un proche qui aime se triturer les méninges et débattre des heures sur un sujet, voici une sélection de 5 ouvrages proposés par les Presses Sorbonne Nouvelle. Du cinéma, à la poésie du slogan révolutionnaire, jusqu’à « l’éthos » de la rupture.

Extraits

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Sociologie

Cancer, cultures et soins. Une approche humaniste de la prise en charge des patients

Soignants et patients se trouvent aujourd'hui face à un paradoxe, source de détresse : alors que les diagnostics et moyens techniques sont de plus en plus précis et performants, les thérapeutiques demeurent parfois hésitantes, voire impuissantes pour certaines maladies comme le cancer pulmonaire. Lorsque la science toute puissante semble être prise en défaut, comment se positionner en tant que soignant ? S'ouvrir à l'Autre souffrant, lui offrir un supplément d'âme et d'humanité au-delà du rôle d'expert et des différences culturelles, face à la maladie, à la mort. Avec simplicité et finesse, l'auteur analyse les difficultés que rencontrent patients, familles et soignants et nous aide à comprendre la complexité de cette maladie, et du système de soins chargé d'y remédier. Pour une vision plus humaine, terreau décisif pour de plus grandes chances de guérison.

01/2011

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Littérature francophone

De la terre a la plume

La scolarisation de Tiédaba Koné n'a aucun point commun avec celle d'un enfant en Occident. Né dans un village enclavé au fond des savanes africaines, sa vision du monde se limitait à son horizon. Animiste comme ses parents, il a vite compris que sa vie se passerait dans la croyance et le respect de deux mondes : le monde des invisibles, habité par ses Ancêtres, et le monde des visibles dans lequel il vivait. Il a suivi dans sa communauté un ensemble d'enseignements successifs, appelé " L'école de la vie ". Cette voie devait le conduire à l'âge de la sagesse. Mais voilà qu'un événement vint entraver cet itinéraire bien tracé. Il dut partir loin de sa famille, de son village pour aller à l'école des " Blancs ". Sa scolarisation a été décidée par un bâton, long pour avoir la taille d'un enfant scolarisable. Car à défaut d'état civil, il fallait inventer un moyen pour trouver parmi les enfants du village, celui qui aurait la bonne taille. C'est comme cela qu'il a été choisi pour aller à l'école. Ce fut un choc car c'était une première dans la région. Avec ses mots et ses sensibilités, l'auteur nous invite à travers cette sorte de biographie, à partager avec lui ses moments de déchirement, de grande tristesse, parfois de joie malgré tout, occasionnés par son éloignement forcé de ses parents, de son milieu naturel.

12/2021

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Littérature française

Kong

Deux jeunes gens sortent sonnés de la Grande Guerre. L'un, Ernest Schoedsack, a filmé l'horreur dans la boue des tranchées ; l'autre, Merian Cooper, héros de l'aviation américaine, sérieusement brûlé, sort d'un camp de prisonniers. Ils se rencontrent dans Vienne occupée, puis se retrouvent à Londres où naît le projet qui va les lier pour la vie. Comment dire la guerre ? Comment dire ce puits noir où l'homme s'est perdu - et peut-être, aussi, révélé ? Pas de fiction, se jurent-ils : le réalisme le plus exigeant. S'ensuivent des aventures échevelées : guerre russo-polonaise, massacres de Smyrne, Abyssinie, épopée de la souffrance en Iran, tigres mangeurs d'hommes dans la jungle du Siam, guerriers insurgés au Soudan... Leurs films sont à couper le souffle. On les acclame : " Les T. E. Lawrence de l'aventure ! " lance le New York Times. Eux font la moue. Manque ce qu'ils voulaient restituer du mystère du monde. Déçu, Cooper renoncera quelque temps - pour créer avec des amis aviateurs rien moins que... la Pan Am ! - avant d'y revenir. Ce sera pour oser la fiction la plus radicale, le film le plus fou, pour lequel il faudra inventer des techniques nouvelles d'animation. Un coup de génie. Une histoire de passion amoureuse, mettant en scène un être de neuf mètres de haut, Kong, que l'on craint, qui épouvante, mais que l'on pleure quand il meurt... Le film est projeté à New York devant une foule immense, trois semaines avant qu'Hitler ne prenne les pleins pouvoirs. Sur un air de jazz mélancolique ou joyeux, entre années de guerre et années folles, Michel Le Bris nous offre une fresque inoubliable. On y croise des êtres épris d'idéal, des aventurières, des héros, des politiques, des producteurs, des actrices, et bien sûr un immense singe que l'on aime craindre et aimer, moins sauvage que l'homme...

08/2017

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Policiers

Bone

Qui est Bone ? Un parmi les milliers de sans-abri qui hantent les rues de New York ? D'où vient le fémur humain qu'il tient dans la main ? De quel enfer revient-il ? Qu'y a-t-il vu pour perdre la parole et la mémoire ? Pourquoi son apparition dans Manhattan semble-t-elle être à l'origine d'une série de meurtres sanglants ? Est-il le tueur maniaque qui décapite les clochards pendant la nuit ? Un thriller émouvant, qui est aussi un véritable cri d'alarme sur une société qui laisse mourir quotidiennement de faim et de froid ses membres les plus démunis.

01/1993

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Science-fiction

Koinè

Oui le capitalisme est mort, la révolution faite, la Terre sauvée. Une petite partie, au moins. Ce qu'on a pu. Aujourd'hui tout le monde est heureux. N'est-ce pas ? Au coeur de l'archipel Koinè, il y a pourtant un creux. Une vieille ville abandonnée depuis la révolution, comme un grenier pour toutes les architectures du monde, et déserte sauf une étrange pension. Dans ses couloirs errent celles et ceux que la tristesse paralyse, les rêves déçus, les colères amères. A chercher un abri dans les ruines, où espérer se reconstruire. Mais on vient d'annoncer la nouvelle : sous cette pension du bout du monde, un terrible séisme approche. Spirales végétales, interstices protecteurs, chants collectifs ou fan-fictions effrénées, Koinè accueille toutes les voix, mais qu'en est-il de celles qui ne veulent plus s'exprimer ?

03/2024

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Littérature française

Zone

Par une nuit décisive, un voyageur lourd de secrets prend le train de Milan pour Rome, muni d'un précieux viatique qu'il doit vendre le lendemain à un représentant du Vatican pour ensuite - si tout va bien - changer de vie. Quinze années d'activité comme agent de renseignements dans sa Zone (d'abord l'Algérie puis, progressivement, tout le Proche-Orient) ont livré à Francis Servain Mirkovic les noms et la mémoire de tous les acteurs de l'ombre (agitateurs et terroristes, marchands d'armes et trafiquants, commanditaires ou intermédiaires, cerveaux et exécutants, criminels de guerre en fuite...). Mais lui-même a accompli sa part de carnage lorsque la guerre en Croatie et en Bosnie l'a jeté dans le cycle enivrant de la violence. Trajet, réminiscences, aiguillages, aller-retour dans les arcanes de la colère des dieux. Zeus, Athéna aux yeux pers et Arès le furieux guident les souvenirs du passager de la nuit. Le train démarre et, avec lui, commence une immense phrase itérative, circulatoire et archéologique, qui explore l'espace-temps pour exhumer les tesselles de toutes les guerres méditerranéennes. Car peu à peu prend forme une fresque homérique où se mêlent bourreaux et victimes, héros et anonymes, peuples déportés ou génocidés, mercenaires et témoins, peintres et littérateurs, évangélistes et martyrs... Et aussi les Parques de sa vie intérieure : Intissar l'imaginaire, la paisible Marianne, la trop perspicace Stéphanie, la silencieuse Sashka... S'il fallait d'une image représenter la violence de tout un siècle, sans doute faudrait-il choisir un convoi, un transport d'armes, de troupes, d'hommes acheminés vers une œuvre de mort. Cinquante ans après La Modification de Michel Butor, le nouveau roman de Mathias Enard compose un palimpseste ferroviaire en vingt-quatre "chants" conduits d'un seul souffle et magistralement orchestrés, comme une Iliade de notre temps.

08/2008

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