Recherche

Sébastien Berlendis

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Maures

"Ces images d'une adolescence au soleil continuent de modeler mes désirs et mon imaginaire. Je me construis dans les souffles chauds, l'horizon bleu, le sel marin". Entre ombre et lumière, Maures est une plongée en adolescence dans une pinède au bord de la mer. L'écriture impressionniste de Sébastien Berlendis dit le vertige des sensations, la découverte du corps des filles, et l'inquiétude devant les disparitions à venir.

08/2016

ActuaLitté

Littérature française

Seize lacs et une seule mer

Avez-vous déjà visité Berlin à la nage ? Le sixième roman de Sébastien Berlendis vous y invite, dans une promenade insolite de la ville par ses lacs. Au nombre de seize pour le narrateur, parti en quête des décors de vieux clichés photographiques du début de siècle, qui l'amèneront jusqu'à la mer Baltique. Les nappes sont étalées, les corps se lancent à l'eau, les enfants courent entre les cabines de plage et les barques sagement alignées près des pontons... les images de la bobine défilent comme une rétrospective d'un Berlin oublié, loin des lieux communs nocturnes et interlopes qui lui collent à la peau.

10/2021

ActuaLitté

Littérature française

Revenir à Palerme

"La nuit, chaque ruelle parcourue réveille un crépitement d'images. Le claquement des talons imprime dans ma tête le pouls de la ville". Huit ans plus tard, le temps d'un été, un homme retrouve la ville de Palerme. Il habite un ancien palais sur les hauteurs, une bâtisse appelée à disparaître. Une dernière fois, il va arpenter les rues, celles de la vieille ville surtout. Des marches le plus souvent nocturnes, de cafés en cafés, de corps en corps. Le souvenir de Délia remonte alors.

04/2018

ActuaLitté

Littérature française

L'autre pays

"A cet instant, je sais que le périple italien ne s'aventurera pas plus au sud, comme si j'avais trouvé un pays à Craco, un pays certes sans ossements, sans tombes qui portent mon nom, sans murs de famille mais un pays tout de même". Dans ce récit charnel et poignant, Sébastien Berlendis nous invite à un voyage en Italie, à la recherche de traces familiales et amoureuses. Une traversée des lieux en une longue rêverie où affleurent des images, des visages, des paysages comme s'il s'agissait de photographies cadrées avec l'urgence du désir.

04/2014

ActuaLitté

Littérature française

Une dernière fois la nuit

C'est la dernière nuit d'un homme, qui a trouvé refuge dans une maison tombant en ruines, sur le plateau d'Assy dans les Alpes. Il est arrivé d'Italie et son corps peine à respirer. Il s'essouffle et s'asphyxie. Sa toux vient de loin, de l'enfance, où se déclarent les premières crises d'asthme. Dans ce récit aussi sensuel que poétique, le narrateur, le temps d'une nuit, se souvient. Des années d'adolescence et des séjours dans les centres thermaux, des maisons de repos, au bord des lacs du Nord de l'Italie. Il se souvient aussi de la maison natale de Bracca, village lombard exposé à l'humidité, du père, émigré du sud, qui abat des arbres, et de la mère qui apporte dans la forêt le repas de midi. Il y a aussi l'oncle tant aimé, qui quitte les bois de Bracca pour le port et la ville de Trieste, ville de tous les fantasmes, puis émigre vers l'Amérique, permettant à ceux qui restent de rêver d'un ailleurs comme d'une consolation. Une dernière fois la nuit est un livre des routes, des chemins, des lieux, des paysages, de la fuite possible. Mais il est avant tout un livre du corps. Le corps traversé par les crises d'asthme, les vertiges, les fièvres, les bronches qui suffoquent, le rythme cardiaque qui s'accélère, l'ivresse et l'angoisse. Le corps caressé par la lumière et la mer, l'Adriatique toujours tiède, qui agit comme un baume, allège les douleurs, permet aux poumons de se calmer. Le corps de Simona, la première femme aimée, et la révélation du corps des femmes de Trieste, dans la violence et la beauté du désir.

02/2013

ActuaLitté

Littérature française

Des saisons adolescentes

En classe de terminale, un professeur de philosophie propose à ses élèves de s'attacher au récit d'un seul souvenir ; de n'en choisir qu'un, comme si c'était le dernier, avant que tout ne disparaisse... Une trentaine de fragments, mélancoliques ou pleins d'ardeur, comme autant de séquences cinématographiques de ces états transitoires, qui forment le portrait sensible de l'adolescence.

03/2020

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté