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Ramon del Valle-Inclan

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Dossier

Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

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Dossier

Prix du livre de la Ville de Lausanne 2024 : 10 ans déjà

Depuis son inauguration en 2014 par le Service des bibliothèques & archives de Lausanne, responsable de la stratégie littéraire, le Prix du livre de la Ville de Lausanne s'est consacré pendant une décennie à soutenir les auteurs de Suisse romande et leurs fidèles lecteurs. Une odyssée littéraire qui promet de perdurer !

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24es Rendez-vous de la bande dessinée à Amiens

L’inauguration des 24es Rendez-vous de la Bande Dessinée d’Amiens, aura lieu ce vendredi 31 mai à partir de 18 h à la Halle Freyssinet. Pour la première fois cette année, est proposée une visite de l’ensemble des expositions visibles à la Halle ! 

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Dossier

Albums, romans : une sélection de 20 livres jeunesse pour Noël 2020

La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.

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Dossier

Dédicaces, programme, auteurs, éditeurs : le FIBD d'Angoulême 2019

Le FIBD d'Angoulême, ou Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, tiendra sa 46e édition en 2019, du 24 au 27 janvier 2019, partout dans la ville de la région Nouvelle-Aquitaine. 

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Dossier

Bandes dessinées, nouveautés : les livres de Chloé Cruchaudet

Chloé Cruchaudet, née à Lyon en 1976, a établi sa résidence dans cette même ville. Élevée par des parents antiquaires, elle a été immergée dès son plus jeune âge dans des environnements liés à l'histoire et à la littérature.

Extraits

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Littérature étrangère

Adega, histoire millénaire

Le scénario de "l'histoire millénaire" semble archaïque : la vie des paysans des montagnes de Galice, à l'arrivée du chemin de Compostelle. L'apparition d'un pèlerin est donc également ce qui déclenche la monstruosité de l'intrigue, pleine de mélancolie rayonnante et de doutes enchanteurs et racontée ici comme révolution d'une aura légendaire et de la cruauté. Le frère mendiant qui prétend revenir du Saint Sépulcre est un charlatan. Quant à Adega, la bergère orpheline et asservie qui accorde en secret au marginal un gîte dans la bergerie et qui ensuite croit rencontrer Dieu en personne dans le "saint homme" qui s'empare de sa virginité, elle erre en extase et effrayée à travers le pays comme une victime illuminée de folie, en criant sa confession à la fois pieuse et blasphématoire quelle mettra au monde un enfant de Dieu... Toutefois, ce roman n'est pas seulement l'histoire d'une duperie impie, c'est aussi le témoignage d'une force née de la folie et qui engendre la vérité, une légende tragi-grotesque de grande beauté et un des projets les plus denses de la littérature hispanique moderne. "Un des rares chefs-d'oeuvre de ce siècle qui un jour se distingueront...". C'est ainsi que R. J. Sender considérait ce petit livre. "C'est le seul chef-d'oeuvre narratif que l'on peut mettre en parallèle des oeuvres monumentales de l'architecture romane".

08/2018

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Espagnol apprentissage

Un jour de guerre vu des étoiles. Edition bilingue français-espagnol

Reporter sur le front franco-allemand au printemps 1916, Ramon del Valle-Inclàn rédige à son retour sa chronique de guerre en romancier, poète et homme de théâtre tout à la fois. II y évoque les abominables conditions de vie des combattants dans les tranchées et les assauts souvent vains contre les positions ennemies. Sa volonté d'embrasser la totalité de la guerre l'amène aussi à souligner la souffrance des civils à l'arrière ou à proximité du front, victimes collatérales du conflit. En définitive, l'écrivain cherche à rendre compte de la multitude des guerres vécues au sein de la Grande Guerre.

02/2014

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Littérature étrangère

Sonates. Mémoires du marquis de Bradomín et autres textes inédits

Les Sonates, Mémoires aimables du marquis de Bradomín illustrent le modernisme ibérique et promeuvent la version d'un don Juan décadent. Ce double fantasmé de l'auteur apporte au personnage «fin de siècle» de l'esthète aristocratique et décalé, la touche hispanique d'un humour ambigu et dévastateur.

04/2014

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Littérature étrangère

Sonates, Mémoires du marquis de Bradomin Tome 1 : Sonate de printemps, Sonate d'été

" Le marquis de Bradomin, le personnage central de ces Sonates, est un don Juan " laid, catholique et sentimental " qui incarnait tout ce en quoi l'écrivain croyait profondément. Un don Juan admirable qui, devenu vieux, dicte ses aimables Mémoires. Don Juan traditionnel parce qu'il croit au péché, et plus encore parce qu'il n'hésite pas à pécher. Don Juan très fin de siècle aussi qui par certains côtés rappelle celui que Baudelaire campa, hautain, aux Enfers. Mais, à la différence de beaucoup d'autres, le don Juan de Valle-Inclàn (1869-1936) arrive à la vieillesse, une façon de subvertir le mythe. À l'image de Casanova, en somme, mais sans la tristesse et l'ennui du château de Waldstein. " Un don Juan mélancolique donc, retiré dans son manoir galicien dans les dernières années du XIXe siècle, pour qui le péché est le sel de la vie et qui sait que si Dieu existe, il lui suffira de troquer la mélancolie par la miséricorde. Un don Juan coupable et sans culpabilité, bien loin de la fougue de la jeunesse. Tel est le marquis de Bradomin de ces quatre merveilleuses nouvelles qu'on peut lire comme un seul roman... Ils sont très rares les grands romans intimistes où auteur et personnage s'étreignent à ce point, de façon si fausse et si véridique à la fois. " (Luis Antonio de Villena)

03/2003

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Littérature étrangère

Sonates. Tome 2, Mémoires du marquis de Bradomin

Sonates, est un don Juan " laid, catholique et sentimental " qui incarnait tout ce en quoi l'écrivain croyait profondément. Un don Juan admirable qui, devenu vieux, dicte ses aimables Mémoires. Don Juan traditionnel parce qu'il croit au péché, et plus encore parce qu'il n'hésite pas à pécher. Don Juan très fin de siècle aussi qui par certains côtés rappelle celui que Baudelaire campa, hautain, aux Enfers. Mais, à la différence de beaucoup d'autres, le don Juan de Valle-Inclan (1869-1936) arrive à la vieillesse, une façon de subvertir le mythe. À l'image de Casanova en somme, mais sans la tristesse et l'ennui du château de Waldstein. " Un don Juan mélancolique donc, retiré dans son manoir galicien dans les dernières années du XIXe siècle, pour qui le péché est le sel de la vie et qui sait que si Dieu existe, il lui suffira de troquer la mélancolie par la miséricorde. Un don Juan coupable et sans culpabilité, bien loin de la fougue de la jeunesse. Tel est le marquis de Bradomin de ces quatre merveilleuses nouvelles qu'on peut lire comme un seul roman... Ils sont très rares les grands romans intimistes où auteur et personnage s'étreignent à ce point, de façon si fausse et si véridique à la fois. " Luis Antonio de Villena

03/2003

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Théâtre

Lumières de Bohème ; Carnaval de Mars. Esperpentos

Réunis pour la première fois en un seul ouvrage, tous les esperpentos de Ramón del Valle-Inclán (1866-1936) sont ici traduits en français, dans leur intégralité et dans une version qui se veut scrupuleusement fidèle aux textes originaux. Lumières de Bohème, la pièce emblématique des esperpentos qui donne les clés du genre, les trois pièces courtes qui composent Carnaval de Mars (Le bel habit du défunt, Les cornes de don Faribole et La fille du capitaine), ainsi que le "mini esperpento" de 1921, peu connu : Les réclamations diplomatiques, c'est pour quand ? Toutes ces pièces sont écrites entre 1920 et 1927, essentiellement sous la dictature de Primo de Rivera, et obéissent à une double finalité. C'est, d'une part, une charge d'une extrême virulence contre les responsables des maux de l'Espagne contemporaine (une presse avilie, un personnel politique corrompu, une monarchie déliquescente et, surtout, une Armée espagnole menaçante et dérisoire, vaincue dans toutes ses guerres coloniales mais frénétiquement attachée à toutes ses prérogatives) ; et c'est aussi (ou surtout) une volonté farouche de la part de l'auteur de reconstruire un théâtre espagnol vraiment moderne, lui aussi déliquescent, autour de la farce et du grotesque. Dans un pays où même la tragédie n'est plus possible, les esperpentos de Valle-Inclán apportent un nouveau souffle jouissif avec des pantins dérisoires qui s'expriment dans une langue exceptionnellement drue et savoureuse : le rire est partout mais grinçant.

03/2015

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