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Pierre-Cyrille Hautcoeur, Patrick Fridenson, Florence Descamps, Laure Quennouëlle-Corre

Dossiers

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Dossier

Les livres de Pierre Loti

Pierre Loti, de son vrai nom Louis Marie Julien Viaud, est un écrivain français né le 14 janvier 1850 à Rochefort-sur-Mer, en Charente-Maritime. Il est considéré comme l'un des grands écrivains de la fin du XIXe siècle.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Laure Manel

Laure Manel est une autrice française née en 1978, connue pour ses romans contemporains à caractère romantique.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Patrick Modiano

Né le 30 juillet 1945, le discret Patrick Modiano a vu son œuvre célébrée dans le monde entier, et en France avant tout, par de nombreux prix littéraires. Il fait son entrée en littérature après sa rencontre avec Raymond Queneau, qui en fait son protégé, et la publication de son premier roman, Place de l'Étoile, en 1967 chez Gallimard.

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Pierre Lemaitre

Pierre Lemaitre est un écrivain et scénariste français né le 19 avril 1951 à Paris. Il fait parti des auteurs les plus lu en France. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Patrick Deville

Voyageur insatiable et styliste hors norme, Patrick Deville fait dialoguer ses pérégrinations à travers le monde et la grande Histoire dans des romans « d’invention sans fiction », un jeu entre les différentes littératures. 

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Dossier

2021, commémoration des 700 ans de la mort de Dante Alighieri

Né le 21 mai 1265, Dante Alighieri, mythique poète italien, écrivain, mais également homme politique ayant vécu à Florence, est mort le 14 septembre 1321, laissant derrière lui La Divine Comédie. Considéré comme le père de la langue italienne, il compose avec Boccace et Pétrarque cette trinité littéraire par laquelle le toscan s’imposa dans le pays. En cette année 2021, le 700e anniversaire de sa mort est commémoré, partout dans le monde.

Extraits

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Histoire de la pensée économiq

La rupture ? La Grande Guerre, l’Europe et le XXe siècle

La mondialisation économique et financière actuelle est souvent comparée à celle qui se développe au xixe siècle et culmine en 1914 ; les inégalités retrouvent, dans nombre de pays, leur niveau record de la veille de la Grande Guerre, de même que l'indépendance des banques centrales ou le libéralisme. La Première Guerre mondiale n'a-t-elle donc ouvert qu'une parenthèse dont les effets ont été depuis effacés, et les économies et sociétés européennes sont-elles revenues à un état "naturel" perturbé par des guerres mondiales "accidents" dramatiques du xxe siècle ? Ce livre s'interroge ainsi sur l'impact de long terme de la Grande Guerre : qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Quelles sont ses traces dans l'économie et la société dans lesquelles nous vivons actuellement en Europe ? Quelles institutions sont apparues alors qui jouent encore un rôle important ? Pour répondre à ces vastes questions, une conférence internationale tenue en novembre 2018 a réuni des chercheurs et chercheuses en sciences sociales spécialistes de l'économie, de la société et des relations internationales. Chacun développe ici sa réponse à partir de son domaine à l'échelle temporelle et spatiale qui lui paraît pertinente. Cette diversité de point de vue permet au lecteur de construire sa propre réponse, et d'abord de découvrir les grandes lignes de tension économiques, sociales et politiques qui se nouent et se renouent depuis la Grande Guerre, pour comprendre ainsi un peu mieux notre temps.

11/2021

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Economie

Une fiscalité de guerre ? Contraintes, innovations, résistances

?La Première Guerre mondiale a constitué à la fois un tournant et un bouleversement pour les finances publiques des pays belligérants : en mobilisant de nouvelles ressources financières, le conflit a tout d'abord remis en question les équilibres monétaires et financiers ; il a également ouvert un long cycle de déficit budgétaire, d'endettement et d'inflation. L'étude de ce front financier a fait l'objet d'une première publication de travaux inédits sur une question jusque-là peu étudiée. A l'échelle des institutions politiques et financières, la Grande Guerre a déstabilisé le système de gestion des finances publiques et engendré désorganisation administrative, désordres comptables puis improvisations et innovations multiples. L'émergence d'un nouveau visage de l'Etat dans les pays européens engagés dans la guerre a fait l'objet d'une deuxième publication, qui complète ainsi la première par le regard neuf qu'elle offre sur le fonctionnement interne des administrations en temps de guerre. Faisant suite à ces deux ouvrages, ce troisième volume entend se centrer sur l'appel à la fiscalité qui a pris le relais de l'appel à l'épargne pour financer la guerre. Quels types de taxes les gouvernements ont-ils développé ou créé ? Le patriotisme financier manifesté lors des emprunts s'est-il prolongé dans un consensus autour de l'impôt ou bien s'est-il conjugué avec des résistances, voire le développement de fraudes, face à l'augmentation des contributions fiscales ? Dans ce volume, l'analyse comparative des effets de l'élévation de la fiscalité dans les différents pays belligérants nourrit la réflexion historique et permet de tracer là encore des similitudes et des différences parfois inattendues entre les pays. Une bibliographie thématique réunit les références des trois volumes et s'enrichit des dernières parutions scientifiques sur la Grande Guerre.

08/2012

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Histoire de France

Finances publiques en temps de guerre, 1914-1918. Déstabilisation et recomposition des pouvoirs

La Grande Guerre constitue un tournant majeur dans la gestion des finances publiques au XXe siècle. En préférant essentiellement l'emprunt à l'impôt pour faire face aux dépenses de guerre, les pays belligérants ouvrent en effet le cycle durable du déficit budgétaire, de l'endettement, de la dépréciation monétaire et de l'inflation. Mais au-delà des questions de financement, c'est l'ensemble du système de gestion des finances publiques qui se voit déstabilisé par le choc de la mobilisation générale, par la durée non prévue du conflit et par les défaillances ou les insuffisances de l'État libéral hérité du XIXe siècle. Faisant suite à un premier volume consacré au « troisième front » et à « la mobilisation financière », ce deuxième volume s'attache plus particulièrement à évaluer l'impact du conflit sur les institutions politiques et financières aux prises avec les dépenses de guerre (gouvernement, commissions parlementaires, ministère des Finances, Cour des comptes, corps de contrôle, organisations non gouvernementales, banques). La désorganisation et le désordre des circuits comptables, le relâchement ou la disparition des contrôles budgétaires et juridictionnels, les inadaptations et les improvisations administratives se combinent cependant avec des innovations gestionnaires qui manifestent la capacité des acteurs publics à affronter l'urgence et la nécessité. De la conduite de la guerre émergent les traits encore flous d'une nouvelle figure de l'État, un État sommé de prévoir, diriger, organiser et contrôler. Une bibliographie thématique enrichie complète cet ouvrage qui vient éclairer d'un jour nouveau les formes financières du « gouvernement de guerre » de 1914 à 1918.

12/2016

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Histoire de France

La mobilisation financière pendant la Grande Guerre. Le front financier, un troisième front

Avec le front militaire et le front social, un troisième front, celui des finances de guerre, s'est ouvert en 1914. Par les ruptures et les bouleversements qu'il a engendrés en matière de financement et d'équilibres économiques et monétaires mondiaux, il constitue le véritable tournant du XXe siècle, celui de la dette publique et de l'inflation pour la plupart des pays belligérants. Ce thème a fait l'objet de la première manifestation scientifique du cycle des quatre journées d'études consacrées au ministère des Finances dans la Grande Guerre et dont cet ouvrage collectif est le fruit. Concentré sur la mobilisation des ressources financières des principaux pays belligérants et sur les ruptures engendrées par le conflit en termes de finances publiques, ce recueil de travaux inédits comble une lacune importante de l'historiographie française sur la dimension économique et financière de la Grande Guerre. La crise financière de l'été 1914, les ruptures monétaires et financières à l'échelle du monde, la mobilisation tous azimuts des ressources par les pays belligérants, l'appel aux épargnants, autant de thèmes novateurs qui sont ici traités, sans oublier les relations complexes entre le ministère des Finances et la banque centrale, ici revisitées. Le conflit engendre également des changements institutionnels, car une guerre non préparée suscite des improvisations et la pénurie est parfois source d'innovations : quel a été l'impact de la guerre sur les ressources financières de l'Etat à court et moyen termes ? Comment les circuits de l'argent se sont-ils modifiés ? Quelles formes a revêtues l'appel au patriotisme financier d'un pays à l'autre ? Un index des noms et une bibliographie thématique complètent cet ouvrage qui éclaire d'un jour nouveau une dimension essentielle du premier conflit du XXe siècle.

12/2015

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Economie

La place financière de Paris au XXe siècle. Des ambitions contrariées

La place financière de Paris s'inscrit depuis le XIXe siècle dans le peloton de tête des grandes places internationales. Elle n'a cependant pas été exempte de phases de repli et de déclin qui ont alterné avec des périodes de rayonnement et de dynamisme. En se situant résolument dans une perspective internationale, cet ouvrage s'attache à expliquer comment et pourquoi la place de Paris a vu ses visées expansionnistes déçues et ses ambitions contrariées tout au long du XX" siècle. A travers le prisme des institutions boursières, des banques et du rôle de l'Etat se dessinent les grandes lignes de force de l'évolution de la place, les ruptures et les continuités, les phases de réforme et d'ouverture. Quels sont, parmi ces grands acteurs institutionnels, ceux qui ont porté les grandes réformes financières, facteurs du rayonnement international de Paris ? Comment s'est articulé au fil du temps le processus de modernisation avec celui de l'internationalisation de la place ? Comment expliquer le décalage entre le discours volontariste des acteurs de la place et la lenteur des réalisations ? Autant de questions qui renvoient à celle des rapports fluctuants entre Etat et marché et qui constituent un point d'entrée vers une réflexion plus vaste sur les rapports ambivalents de la société française avec ce dernier. Un sujet toujours d'actualité.

02/2015

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Sociologie politique

Le déni de la dette. Une histoire française

"A travers le prisme de la dette, c'est toute une conception de la vie en société qui se déroule. La dette est plus que jamais un sujet politique". Depuis plusieurs décennies, le volume de la dette publique française enfle de manière irréversible. Les récentes crises - financières, sanitaires, sociales - n'ont fait qu'alourdir son fardeau. Le temps d'un lancement d'alerte, d'une élection, d'un vote du budget, la dette s'invite dans le débat public puis retombe rapidement dans l'oubli. Comment expliquer ce déni collectif qui s'est installé progressivement ? En traquant sur un siècle l'opinion publique à travers la presse, les sondages, les discours économistes ou politiques, Laure Quennouëlle-Corre remonte la mémoire des Français au fil des grandes étapes qui ont construit une représentation de la dette entre assentiment et déni, ignorance et négligence. La dette publique apparaît dès lors comme le fruit d'un arrangement collectif aux racines historiques profondes qu'il faut mettre aujourd'hui en débat.

04/2024

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