Perce-neige, petite reine des neiges

Kay et Gerda sont les meilleurs amis du monde. Ils partagent tout, même leurs secrets. Le petit garçon est effrayé par la cruelle Reine des Neiges, qui enlève les enfants, mais son amie promet de ne jamais l'oublier si cela devait arriver. Un jour, Kay est kidnappé par la Reine, qui l'enferme dans son palais de glace. Gerda, n'écoutant que son courage, part à sa recherche. Quand elle parvient enfin au château des neiges, Kay ne la reconnait pas: son cœur et son esprit sont glacés. Ce sont les larmes de Gerda, chaudes et vibrantes d'amitié, qui lui rendront la vie.

Plus gros succès de tous les temps pour un film d'animation - plus d'un milliard de dollars de recettes - La Reine des neiges ne pouvait en rester là. C'est pourquoi une suite a bien été annoncée, conséquence évidente d'un tel succès. Pour autant, c'est le support qui surprend, puisque les suites paraîtront en livre, et non en film - pour l'instant.

Avec La Reine des neiges, Disney prend la tête des dix films d'animation les plus rentables, suivent ensuite Toy Story 3, Le Roi Lion et Moi, moche et méchant. Un tel succès a assuré la firme américaine dans sa volonté de donner une suite à cette adaptation d'un conte de Hans Christian Anderson publié à l'origine en 1844 (voir notre actualitté).

Après l'important succès rencontré par le film d'animation Frozen (La Reine des neiges), les studios Disney travaillent déjà à l'élaboration d'une suite. On parle également d'une adaptation sous forme de comédie musicale (voir notre actualitté), pour cette libre interprétation du conte de Hans Christian Andersen publié en 1844.

Une romancière originaire du Koweït, Muneefa Abdullah, accuse les studios d'animation Disney de plagiat. Elle serait à l'origine de l'histoire de La Reine des Neiges, le film d'animation au milliard de dollars de recette des studios Disney.

Disney et Hans Christian Andersen, la magie opère encore : des années après La Petite Sirène, un des contes les plus célèbres d'Andersen, La Reine des Neiges a remporté un beau succès en salles... En guise d'hommage, Disney a donné au Prince Hans le prénom de l'écrivain...

Le film d'animation La Reine des neiges, sorti des studios Disney en 2013, vient de franchir le milliard de dollars de recettes, rapporte Première. Tiré du conte éponyme de Hans Christian Andersen publié en 1844, ce long-métrage devient ainsi le premier film réalisé par une femme à atteindre de telles recettes.

A la fin du mois d’août, est sorti chez Hachette jeunesse en France l’ouvrage Miroir, miroir (260 pages, 13,90 €) qui retrace la vie de la méchante reine, la marâtre de Blanche Neige. Il semble d’ailleurs que dans l’univers Disney, ce soit à la mode de s’occuper davantage de mettre en avant les méchants personnages, comme dans le film Maléfique.

Joli coup pour la maison Michel Lafon, qui avait repris le livre de Solomon Northup, 12 years a Slave, dans une réédition traduite Anna Souillac par et publiée début janvier de cette année. Esclave pendant douze ans raconte la vie d'un homme, au milieu du XIXe siècle. « Je suis né libre et j'ai goûté aux joies de la liberté pendant plus de trente ans. Jusqu'au jour où je fus capturé et réduit en esclavage. On m'a suggéré qu'un livre sur ma vie et mes infortunes pourrait intéresser les gens…  », écrit Solomon Northup. 

Il est bon de se répéter cet adage de l'éminent philosophe qui assurait que les cons ça ose tout, et que c'est même à ça qu'on les reconnaît. Alors que le film Blanche Neige et le Chasseur va sortir prochainement, les réalisateurs font face à une plainte pas banale. Du tout. Et même, mauvais jeu de mots inclus, de grande envergure.

Le conte des frères Grimm a beaucoup changé dans cette nouvelle adaptation de Tarsem Singh.

Théâtre de SuresnesBarbe Neige et les Sept petits cochons au bois dormant

#PrixAutomne23 - Initié et orchestré par la Fnac en collaboration avec le ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, et placé sous l'égide de l'Académie Goncourt, ce prix offre à près de 2000 lycéens la chance de s'immerger dans une lecture enrichissante.

Humeurs : Rêverie mérovingienne, par temps de neige

Le Bonhomme et l'oiseauAlice Brière-Haquet

Noël approche, l'hiver est là, il est temps de laisser parler son génie créatif et d'attaquer la réalisation de beaux bonshommes de neige. Ou s'ils ne sont pas beaux, au moins seront-ils originaux.

Walt Disney Pictures, qui devient War Dirty Tortures, c'est outrepasser les bornes de la tolérance dont la firme est capable de faire preuve. Mais ajouter à cela deux princes qui se roulent des pelles, ou un Pinocchio qui se passe un fix, ça devient franchement intolérable.

Si le dessin animé Blanche-Neige a ravi le monde entier par sa prouesse technique (il compte parmi les premiers longs-métrages d’animation, en tout cas le premier à être distribué de par le monde et à atteindre une telle popularité), il a aussi imposé au conte une image pleine de tendresse, loin de la brutalité du texte original, caractéristique des traditions orales du 18e siècle. Revenant aux racines de cette histoire culturellement assimilée, Beatrice Alemagna en interroge la violence avec une nouvelle adaptation intense et éblouissante.

Un hiver froid, glacé même, uniformément blanc, au sol et dans le ciel, comme seules semblent savoir le faire les chaînes montagneuses du Montana. Nous voilà transportés dans les dernières années d’un XIXe siècle où la loi des hommes, qui se cachent derrière les volontés (prétendues) de Dieu, est fort expéditive et peu encline à prendre en considération tout élément qui pourrait être présenté au titre de la défense de celui ou celle qui est d’abord condamné...

Davide CaliBlanche-neige et les 77 nains

Le romancier britannique Philip Pullman vient de dévoiler que son nouveau projet BridgeToTheStars allait se consacrer aux oeuvres de frères Grimm. De quoi plonger dans le conte de fées, avec la plume de l'écrivain britannique parmi les plus redoutés de l'Église catholique...

Pyramiden de Kjartan Flogstad : la neige et les hommes

BONNES FEUILLES - Au cœur du XVIIe siècle, un chapitre passionnant de l'histoire de France se dévoile grâce à l'érudition de Simone Bertière, la reine incontestée des biographes. 

Une artiste au moins ne s'embarrasse pas du syndrome tant redouté de la page blanche. La sculptrice américaine Sarah Cohen, critique des effets néfastes de la consommation de masse sur la nature, expose actuellement à travers les rues de Boston une série de livres ciselés dans la neige. Une oeuvre éphémère qui n'est pas sans évoquer l'idée que le livre tel que nous le connaissons pourrait un jour fondre sous le soleil du numérique.

CARNET DE BORD – Allez, les grandes destinations appellent de grandes réflexions : en décidant de tenir une forme de carnet de bord de ce salon 2019 de Montréal, plusieurs points plaidaient favorablement. D’abord, ce sera la dernière édition place Bonaventure — quand le salon de Paris a tant de mal à contenir l’hémorragie et se réduit comme peau de chagrin depuis 10 ans, celui de Montréal franchit le cap et prend un nouvel élan. On sait ce que l’on quitte, pas ce que l’on trouve, évidemment.

Dans les couloirs de Hermann et Buffalo chez qui elle exerce le métier de comptable, Sidonie discute avec son collègue Marc de ses projets d'évasion à l'autre bout de la terre, loin de Paris, loin de Verdon-sur-Oise où elle est née ! Dévidant tous les clichés qu'il semble avoir accumulés sur les habitants du Pays du Soleil Levant, Marc n'a de cesse de tenter de la dissuader de ce voyage allant jusqu'à insinuer les risques d'ostracisme que sa peau noire ne manquera pas de susciter. 

Tatiana Karl. Le nom de l’héroïne d’Une chambre sous la neige semble sorti d’un roman russe. C’est d’ailleurs un écrivain de cette origine que la jeune femme est venue interviewer dans le Cantal. « Je me sens perdue », dit souvent Tatiana. Et la tempête de neige qui s’est abattue sur la France n’est pas seule en cause !