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Niklas Luhmann. Une théorie générale de la société

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

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Essai littéraire : interroger le monde, en écrivain et écrivant

Il n’y a – fort heureusement – pas que la littérature dans la vie : on trouve des essais aussi. Des ouvrages qui pensent la société, s'appuyant sur les théories de la sociologie, de la philosophie, sur l'Histoire, l'ethnologie ou encore la psychanalyse, ils explorent un sujet avec une approche bien spécifique. Que serait Don Quichotte sans Lydie Salvayre pour redonner une énième vie à l'Hidalgo ?

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Une écologie de la librairie au coeur des RNL 2024

Les Rencontres nationales de la librairie prennent leur quartier à Strasbourg, capitale mondiale du livre, les 16 et 17 juin 2024. Quelque 700 libraires, parmi 1200 participants au total, échangeront autour des sujets qui préoccupent la profession.

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Prix des lecteurs de la ville de Lausanne 2022 : une récompense mondiale

Du 15 janvier au 15 mars 2022, les cinq romans en lice pour le Prix des lecteurs de la Ville de Lausanne 2022 vous sont offerts en lecture libre. Découvrez, lisez, votez !
 

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

Extraits

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Sociologie

Niklas Luhmann. Une théorie générale de la société

Le présent ouvrage met en lumière l'ampleur du projet du sociologue et juriste allemand Niklas Luhmann (1927-1998), dont la théorie générale de la société défie la sociologie et la philosophie occidentales modernes. Le volume entend donner des repères et des clés de compréhension pour mieux "situer" Luhmann au sein des sciences sociales et de la philosophie, en particulier de la philosophie du droit, en montrant comment sa pensée, réputée "inclassable" , s'inscrit néanmoins dans les champs de recherche de ces disciplines, prend parti dans des débats théoriques et s'inspire, tout en s'en démarquant, d'autres courants de sciences sociales et de philosophie qu'elle discute. Luhmann sociologue, Luhmann juriste, Luhmann philosophe du présent - tels sont les trois angles d'attaque principaux réunissant les différents textes du volume. C'est tout d'abord la discussion qu'assume la théorie de Luhmann avec les fondateurs des sciences sociales qui est restituée et analysée : Emile Durkheim, grâce à une traduction inédite de la préface de Luhmann à La division du travail social, puis Max Weber et Georg Simmel. Dans un deuxième temps, l'actualité de la théorie du droit de Luhmann est soulignée par des contributions s'intéressant à sa position sur la théorie juridique elle-même, sur les droits, sur la justice ou encore sur la question de l'indétermination en droit. Enfin, le lecteur ou la lectrice découvriront des questions philosophiques contemporaines majeures qu'a traitées le philosophe tout au long de son oeuvre : l'idée d'une société mondiale, le rapport entre société et nature, la possibilité (ou l'impossibilité) de mener une critique sociale.

05/2023

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Littérature française

Théorie générale de la stratégie

Cet essai a pour ambition de donner une nouvelle définition étendue de la stratégie puis de développer quelques théorèmes et principes fondamentaux qui en découlent.

12/2012

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Philosophie

Théorie générale de la connaissance

Publiée pour la première fois en 1918 - puis en 1925 dans la version définitive ici traduite -, la Théorie générale de la connaissance est l'ouvrage majeur du philosophe allemand Moritz Schlick (1882-1936), arrivé à Vienne en 1922 pour occuper la chaire qui avait été auparavant celle de Mach et de Boltzmann, et fondateur du Cercle de Vienne. Issue d'une réflexion sur les bouleversements scientifiques du début du xxe siècle, et en particulier sur la théorie de la relativité, dont il a été l'un des tout premiers à prendre la mesure, la philosophie de la connaissance de Schlick prend ses distances tant avec l'idée kantienne de principes synthétiques a priori imprimant leurs formes à la réalité qu'avec le positivisme et l'empirisme traditionnel, incapables, à ses yeux, de rendre compte de théories dont les constructions conceptuelles ne peuvent plus être considérées comme de simples résumés d'observations empiriques. Au fil d'une confrontation avec les diverses philosophies de la connaissance, classiques ou contemporaines, de Descartes à Husserl, en passant par le néokantisme et Bergson, Schlick défend ainsi un réalisme critique qui récuse aussi bien l'idéalisme transcendantal kantien que les " pensées de l'immanence " de Mach ou de Russell, et développe une position originale sur des questions comme celles de la nature de la connaissance, du rapport entre la logique et la psychologie ou de l'âme et du corps. Le livre exercera une grande influence sur les discussions philosophiques des années 1920 et 1930. Il constitue une contribution décisive au débat contemporain en philosophie de la connaissance.

10/2009

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Sociologie

Esquisse d’une théorie générale de la magie

La magie est depuis longtemps objet de spéculations. La magie comprenant des agents, des actes et des représentations : nous appelons magicien l'individu qui accomplit des actes magiques, même quand il n'est pas un professionnel ; nous appelons représentations magiques les idées et les croyances qui correspondent aux actes magiques ; quand aux actes, par rapport auxquels nous définissons les autres éléments de la magie, nous les appelons rites magiques. Il importe dès maintenant de distinguer ces actes des pratiques sociales avec lesquelles ils pourraient être confondus. Les rites magiques et la magie tout entière sont, en premier lieu, des faits de tradition. Des actes qui ne se répètent pas ne sont pas magiques. Des actes à l'efficacité desquels tout un groupe ne croit pas, ne sont pas magiques. La forme des rites est éminemment transmissible et elle est sanctionnée par l'opinion. D'où il suit que des actes strictement individuels, com¬me les pratiques superstitieuses particulières des joueurs, ne peuvent être appelés magiques. Les pratiques traditionnelles avec lesquelles les actes magiques peuvent être confondus sont : les actes juridiques, les techniques, les rites religieux. On a rattaché à la magie le système de l'obligation juridique, pour la raison que, de part et d'autre, il y a des mots et des gestes qui obligent et qui lient, des formes solennelles. Mais si, souvent, les actes juridiques ont un caractère rituel, si le contrat, les serments, l'ordalie, sont par certains côtés sacramentaires, c'est qu'ils sont mélangés à des rites, sans être tels par eux-mêmes. Dans la mesure où ils ont une efficacité particulière, où ils font plus que d'établir des relations contractuelles entre des êtres, ils ne sont pas juridiques, mais magiques ou religieux. Les actes rituels, au contraire, sont, par essence, capables de produire autre chose que des conventions ; ils sont éminemment efficaces ; ils sont créateurs ; ils font. Les rites magiques sont même plus particulièrement conçus comme tels ; à tel point qu'ils ont souvent tiré leur nom de ce caractère effectif : dans l'Inde, le mot qui correspond le mieux au mot rite est celui de karman, acte ; l'envoûtement est même le factum, krlyâ par excellence ; le mot allemand de Zauber a le même sens étymologique ; d'autres langues encore emploient pour désigner la magie des mots dont la racine signifie faire...

02/2023

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Economie

Théorie Générale du Capitalisme Moral : Vers une société du savoir et de la morale

Cet ouvrage est le fruit d'une quinzaine d'années d'éducation, de recherche et d'enseignement. L'ouvrage s'inspire en effet d'une idée sur la richesse humaine qui remonte à 1999, il y a presque 16 ans. Cette idée se nourrit des événements et des lectures durant la dizaine 2000-2010 et les premiers écrits de cet ouvrage, faits parallèlement à d'autres travaux, ont eu lieu lentement. La crise de 2008 m'a permis de fixer l'orientation finale des idées vers un système théorique cohérent sur les problèmes réels de l'économie mondiale et du système capitaliste. Ce système propose une réforme de capitalisme. En effet, sur la base d'une véritable théorie de l'institution spontanée et de la morale, un nouveau système économique tant à l'échelle microéconomique et macroéconomique qu'à l'échelle internationale est déjà proposé. Après avoir montré les raisons pour lesquelles le capitalisme offre aujourd'hui un cadre socioéconomique moins stable et inéquitable, un modèle d'économie morale est clairement présenté. Ce modèle étudié sur trois niveaux : microéconomique, macroéconomique et international, se propose d'analyser le comportement des agents économiques dans une société du savoir et de la morale, l'équilibre macroéconomique, notamment la nécessité d'abolition du taux d'intérêt, la relation entre inflation et chômage, le rôle de l'Etat, ... , la nature des relations internationales et le rôle des organismes internationaux. L'ouvrage propose aussi les principaux éléments d'une nouvelle science économique et de nouveaux ingrédients méthodologiques en vue d'adapter la théorie au progrès informationnel et communicationnel qui a bouleversé profondément la réalité socioéconomique du monde.

07/2015

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Droit

Le droit de la société

Plus qu'un ouvrage de philosophie, de sociologie ou de théorie juridique, Le Droit de la société est une théorie sociale comme on n'en a plus produit depuis Max Weber et surtout Hegel. Proposant une solution de rechange à toutes les traditions humanistes libérales ou marxistes constitutives de la modernité, Luhmann, penseur très controversé, en qui Jürgen Habermas, pourtant son contradicteur, reconnaît "le vrai philosophe" propose une description du système juridique à l'aide de la théorie des systèmes. Il ne s'agit plus de savoir ce qu'est le droit, d'en déterminer l'essence, mais de répondre aux questions de savoir comment le décrire comme système qui s'observe et s'autodécrit comme unité se reproduisant lui-même : comment l'observer comme unité autopoïétique et le situer par rapport aux autres systèmes de fonction. Situant le droit moderne et ses critiques postmodernes au coeur des débats autour de la modernité, Luhmann répond à ces questions à l'aide de la théorie des systèmes. Magistral, parfois déconcertant, l'ouvrage s'impose comme un passage obligé à tout juriste, sociologue et tout penseur en sciences sociales et humaines qui voudrait bien se préserver, selon Luhmann, de s'engluer dans la pensée "vieille Europe".

06/2019

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