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Mirka

Extraits

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Littérature française

Mirka

Il parcourait les rues du Marais pour oublier ses échecs amoureux. Sur sa route, voilà qu'il rencontre Mirka, une petite chienne pas comme les autres. Immédiatement, c'est le coup de foudre... Des personnages hauts en couleur vont animer cette aventure hors du commun. Sandra, l'ancien mannequin qui s'occupe de Mirka, Gratien le gardien du square, un impresario minable, un oiseleur, une femme du monde bien accueillante, le cirque et sa course de chars dont Mirka est la vedette. C'est un conte fantastique et un polar qui se déroule dans le Marais, une ville dans la ville chargée d'histoire. L'épilogue se déroulera chez Michel, l'ami fidèle qui sait tout et qui a tout compris dès le début de cette folle aventure. Quant au lecteur, il se demandera pendant longtemps qui est cette mystérieuse Mirka.

06/2004

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Humour

Mirka et Rodger

La suite de Rodger, l'enfance de l'art, pseudo-biographie déjantée, entre satire et mythe, hommage et rigolade. Après L'Enfance de l'art, qui dévoilait l'enfance de " Rodger " jusqu'à son sacre mondial chez les juniors, découvrez la suite de la jeunesse mythique du champion. Dans ce deuxième volet, il s'éprend de Mirka, joueuse de tennis, comme lui. Il s'agit d'une biographie improbable (toute ressemblance...), d'une satire de la construction d'un mythe, qui oscille entre l'hommage à un génie du tennis et l'envie de ramener l'icône à des dimensions plus terrestres.

10/2021

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Histoire de France

Miarka

Denise Jacob a dix-neuf ans quand elle entre en résistance, sous le nom de Miarka. Agent de liaison à Lyon, elle recueille les demandes de faux-papier, collecte et achemine les informations, jusqu'au jour de son arrestation, le 18 juin 1944. Soumise à la torture, Miarka révèle un courage extraordinaire. Elle ne parle pas, ne lâche rien. C'est ensuite la déportation dans le camp de Ravensbrück puis celui de Mauthausen, alors qu'au même moment sa famille, dont sa petite soeur, la future Simone Veil, est plongée dans la nuit de la Shoah. Antoine de Meaux a bien connu Denise Jacob devenue Vernay par son mariage après-guerre. Il retrace ici la bouleversante histoire de Miarka et de sa famille emblématique en s'appuyant sur des archives inédites, sa correspondance, ses écrits intimes et poétiques, et les carnets de son père, André Jacob. Miarka, portrait sensible d'une femme d'exception, est un superbe hommage à l'esprit de la Résistance, et une oeuvre de combat, plus que jamais nécessaire.

10/2020

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Résistance

Miarka

Denise Jacob a dix-neuf ans quand elle entre en résistance, sous le nom de Miarka. Agent de liaison à Lyon, elle recueille les demandes de faux-papier jusqu'au jour de son arrestation, le 18 juin 1944. Soumise à la torture, Miarka révèle un courage extraordinaire. C'est ensuite la déportation dans le camp de Ravensbrück puis celui de Mauthausen, alors qu'au même moment sa famille, dont sa petite soeur, la future Simone Veil, est plongée dans la nuit de la Shoah. Antoine de Meaux retrace ici la bouleversante histoire de Miarka et de sa famille emblématique en s'appuyant sur des archives inédites. Une oeuvre de combat, plus que jamais nécessaire. Antoine de Meaux est écrivain, poète, réalisateur de documentaires. " Un livre magnifique, qui ébranle et inspire pour toujours. " Elle

10/2021

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Fantasy

Miska

Pour le capitaine Dacien, tout a commencé par une bière avalée sous des tombereaux de pluie. Une bière, et une rumeur. Toujours la même. Une voile blanche croisant à l'horizon. Un navire capable de survoler les flots. Une légende ridicule, car personne, pas même les marins les plus aguerris, ne peut franchir le maelström. Et pourtant, amie ou ennemie, la présence de ces étrangers ne peut être ignorée plus longtemps. Les Fédérateurs doivent se rendre à l'évidence, aller à leur rencontre est désormais une priorité. Une mission qui va tout naturellement échoir à Dacien et ses hommes. Mais rien, absolument rien, ne va se passer comme prévu... Miska est une injure autant qu'un symbole de rébellion. Au fil des pages, Eva Martin construit une intrigue où deux mondes s'affrontent. Des soldats aux forces inéquitables. Des charmeurs aux pouvoirs inégaux. Des modes de vie que tout oppose. Et surtout, cette incroyable malchance qui semble suivre Dacien et sa bande de bras cassés, quelles que soient leurs décisions.

11/2023

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Beaux arts

Cahier de Mïrka Lugosi

Une érotique, certes ! Un fétichisme aussi. Et nous pourrions même ajouter un grand accent surréaliste. Cependant, l'univers de Mïrka Lugosi semble toujours et déjà bien ailleurs, même s'il s'inscrit de fait dans une histoire. A cet égard, deux citations. La première, Pierre Jean Jouve : Nous avons connaissance à présent de milliers de mondes à l'intérieur du monde de l'homme, que toute l'oeuvre de l'homme avait été de cacher... La seconde, Georges Bataille : Ce qui est en jeu dans l'érotisme est toujours une dissolution des formes constituées. Ces deux vues en appellent à l'idée d'une sorte de nuit profonde, voire menaçante, doublée d'une sorte de déréglement plus ou moins périlleux. A rebours, le cahier de Mïrka Lugosi semble échapper à ces coupures entre un dehors et un dedans, un monde diurne et un autre nocturne, entre une continuité et sa rupture. En effet, ce cahier se présente au premier abord comme studieux. On pourrait là penser à ces études de mains (genre Dürer, par exemple) où se trouvent répétées et reprises sur une feuille des mains tournées et retournées, quand Mïrka Lugosi étudie, elle, les tensions des verges, les galbes des jambes, la courbe ou le plein des seins, la plastique des corps. Il s'agirait en quelque sorte de donner à voir un toucher, un grain, une vision, une cambrure, une position. Et plus encore : la tension même de cette cambrure, le fantasque même de cette position. C'est pour quoi ce cahier ne dévoile pas un monde qui serait caché, parce que le monde de ce cahier échappe aux dispositions qui voudraient séparer l'apaisement et le trouble, le vil et le noble, alors qu'il n'y a pas ici (regardons bien ! ) plus habillé qu'un nu ou même plus nu qu'un habillé. Un cahier à l'onirisme déboussolé en ce que la suite de toutes ses scènes ne stagnent pas dans le crépusculaire du rêve, parce qu'elle accéde à la lucidité du plein éveil élaboré délicatement et patiemment à la pointe du crayon. Un cahier raffiné, subtil, élégant, diablement délicat et complexe, qui se voudrait comme une histoire de l'oeil, ou comme l'histoire d'un oeil, celui de Mïrka Lugosi, où le visible semble toujours précisément ce qui ne peut être que vu. Un cahier fondamentalement excentrique, tout compte fait (c'est-à-dire hors du centre, hors d'un centre qui n'aurait nul lieu d'être), et véritablement et magnifiquement obscène (c'est-à-dire hors de scène, hors de toute représentation). Comme si les dessins de Mïrka Lugosi ne représentaient rien, jamais, mais présentaient toujours, encore, tellement, et ne tenaient leur être que de ces seules présences.

04/2019

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