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Max Ophüls

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Dossier

Profession : agent littéraire, un métier mal connu

L’agent littéraire est une personne chargée de représenter les écrivains et leurs œuvres écrites auprès des éditeurs, des producteurs de théâtre et des producteurs audiovisuels. Il accompagne ses auteurs sur un plan juridique, financier et artistique, et veille sur leurs intérêts.  

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Dossier

Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Dossier

Livres, BD, actualités : tout sur Riad Sattouf

Né le 5 mai 1978 à Paris, Riad Sattouf fait ses premières armes dans un atelier qui rassemble Christophe Blain, Mathieu Sapin et Joann Sfar. C'est sous la direction éditoriale de ce dernier qu'il publie chez Bréal deux albums prometteurs, Manuel du puceau et Ma circoncision, en 2003 et 2004. Ces deux titres annoncent la veine comique et autobiographique qui fera son succès par la suite, notamment avec la série L'Arabe du Futur, publiée par Allary, et parmi les plus grands succès de l'auteur.

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Dossier

Etats généraux du livre : les auteurs à la recherche d'un meilleur avenir

Le 22 mai se tiendront les États généraux du livre. Parce que les auteurs ont cruellement besoin d’être entendus. Des réformes sociales pointent le bout de leur nez, et, au pays de l’exception culturelle, les artistes auteurs ne sont ici que quantité négligeable.

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Dossier

Les Forêts d'Opale : un monde à libérer

Créée en janvier 2000 dans Lanfeust Mag, la série Les Forêts d’Opale fut portée par Christophe Arleston avec les dessins de Philippe Pellet. Dans ce monde d’heroic fantasy, les forêts recouvrent l’ensemble des territoires explorés. Une fable écologique… ou l’histoire d’un destin ?

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Dossier

Cinq livres à offrir pour Noël

« Sans les cadeaux, Noël ne serait pas Noël. » On ne peut qu’être d’accord avec la romancière Louisa May Alcott, c’est pourquoi on vous propose nos conseils de lecture, avec Actes Sud, afin de gâter vos proches, et pourquoi pas, de leur donner des idées...

Extraits

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Cinéma

Souvenirs

" C'est la légèreté, la grâce, la bonne humeur, la gentillesse, et cette espèce d'insouciance frôlant parfois la coquetterie, qui me semblent caractériser le recueil de ces quelques souvenirs d'un enfant du siècle et de la balle. " C'est ainsi que Marcel Ophuls présente dans sa préface les souvenirs de son père, Max Ophuls. Exilé à Hollywood en 1941, Max Ophuls a écrit ce livre à l'attention de l'attaché de presse du studio de Preston Sturges et Howard Hughes pour lequel il travaille, en réponse à la commande d'une note biographique destinée à le présenter au milieu du cinéma. " Dear Steve... " : par ces mots débute la rédaction de ces quelques feuillets promis, qui vont devenir une véritable autobiographie en même temps qu'une traversée du monde et du siècle depuis la Sarre où Ophuls est né en 1902, jusqu'à Berlin, Vienne, Paris, Zurich, et Hollywood. Max Ophuls fut tout d'abord un homme de théâtre. C'est en tant qu'acteur qu'il fit ses premières armes sur les planches. Rapidement, il devient un metteur en scène de renom au Burgtheater de Vienne où il rencontre l'actrice Hilde Wall qui deviendra son épouse. Sa carrière l'amène à Berlin où il rentre en contact avec les milieux cinématographiques aux tout débuts du parlant. Vient alors le récit d'une carrière cinématographique exceptionnelle qui débute en Allemagne avec La Fiancée vendue et Liebelei, se poursuit en France, où Max Ophuls s'est exilé devant la menace nazie, avec La Tendre Ennemie, Werther, De Mayerling à Sarajevo. Dans les années 40, à Hollywood où il a fui la France occupée, il tente de monter des projets de films et se penche sur une vie déjà bien remplie. Marcel Ophuls, né à Francfort en 1927, apporte un double éclairage à ces souvenirs. Par ses annotations, il confronte au récit de son père sa propre mémoire de témoin privilégié, ainsi que le finit des recherches récentes des historiographes de Max Ophuls. Les souvenirs de Max Ophuls sont augmentés de l'entretien donné en 1957 à Jacques Rivette et François Truffaut, qui permet de visiter, toujours en compagnie du cinéaste, la dernière partie de sa carrière, des films américains de la fin des années 40 et à son retour en France dans les années 50, avec les quatre chefs-d'œuvre : La Ronde, Le Plaisir, Madame de, Lola Montès.

04/2002

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Cinéma

Dialogues sur le cinéma

Godard et Ophuls se sont connus à la fin des années cinquante et ont tous les deux été très proches de François Truffaut. En 2003 à Pau puis en 2009 à Genève, les deux hommes se rencontrent à nouveau et évoquent leurs parcours respectifs. Face à Marcel Ophuls, Jean-Luc Godard se souvient de son enfance pendant l’Occupation, sa découverte du cinéma à Vichy, l’antisémitisme de ses parents. Marcel Ophuls évoque le souvenir de l’exil et la figure de Max Ophuls, il revient sur Le chagrin et la pitié ainsi que sur l’importance du droit d’auteur. Jean-Luc Godard revient sur les illusions de la politique des auteurs, son admiration pour le vieil Hollywood... Cet ouvrage propose la transcription de ces conversations uniques, suspendues dans le temps. Il est accompagné d’un DVD présentant un montage de 45 minutes de la conversation de Genève, réalisé par Frédéric Choffat et Vincent Lowy.

01/2012

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Cinéma

Mémoires d'un fils à papa

Le nom de Marcel Ophüls sera à jamais associé au film Le Chagrin et la Pitié, incontournable dans l'histoire de la prise de conscience d'un passé français ambivalent, coincé qu'il fut pendant l'occupation allemande entre collaboration massive et faits de résistance sporadique. Son auteur, aujourd'hui âgé de quatre-vingt-cinq ans, a décidé d'écrire ses Mémoires, une épopée intime sur laquelle souffle la grande Histoire : né à Francfort en 1927, il quitte avec sa famille l'Allemagne nazie en 1933. Le Juif allemand devient français à Paris. La guerre éclate et c'est le second exil. Pendant les années 40, à Hollywood, Marcel devient américain et fait la guerre comme GI au Japon. La plupart de ses documentaires historiques seront aussi une manière de revenir sur ses pas, à l'image du Chagrin et la Pitié où le récit de l'exode fait par Mendès France croise ses propres souvenirs quand, dans la décapotable de son père, il quitte Paris vers le sud de la France. Aujourd'hui, il raconte son histoire, avec une malice et une franchise sans égal, avouant que son immense carrière de documentariste lui fut pour ainsi dire contrainte. Le fils de Max Ophüls, élevé dans la vénération du « grand cinéma », du « vrai cinéma », celui de Capra, de Lubitsch, d'Hitchcock, ou celui de son père bien sûr, ne devient documentariste qu'au terme d'une incursion avortée sur le terrain de la fiction. Son premier long-métrage, Peau de banane, comédie du remariage "à l'américaine", avec Jean-Paul Belmondo et Jeanne Moreau, est un succès public mais le suivant, Feu à volonté, film de série avec Eddie Constantine, est un ratage qui signe son arrêt définitif dans ce domaine. Heureusement peut-être pour les amateurs de documentaires, puisqu'il multiplie les chefs-d'oeuvre du genre. Marcel Ophüls a obtenu un Oscar pour Hôtel Terminus (1989), son film consacré à la vie du criminel de guerre Klaus Barbie. Les Mémoires d'un fils à papa, où l'on croise en guest star Louis Jouvet et Bertolt Brecht, François Truffaut, Marlene Dietrich et Mendès France, François Mitterrand et Simone Weil, est un roman léger et mélancolique, hanté par la figure d'un père dans l'ombre duquel il a fallu trouver sa voie : « Mon problème, c'est que je suis le fils d'un génie. ».   L'ouvrage est enrichi de photographies inédites de la vie de Marcel Ophüls.

01/2014

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Essais

Mad Max, au-delà€ de la radicalité

De son surgissement, incarné par Mel Gibson, à sa renaissance, portée par Tom Hardy et Charlize Theron, la saga Mad Max a traversé pied au plancher quatre décennies de cinéma. Peuplée de formes hybrides, elle se nourrit de mutations successives, passant du film fauché au spectacle total, du nihilisme à la fragile lueur d'espoir. Chacun des quatre films remet les compteurs à zéro et réinvente la saga. Pour nous alerter sur les catastrophes écologiques et sociales à venir, ils font des voitures des monstres qui consument les hommes en devenant un prolongement de leur chair et de leur âme. Dopée à l'adrénaline, noircie par la hantise de la dévastation, Mad Max souligne l'influence destructrice des hommes sur le monde. Mad Max, au-delaÌ de la radicaliteÌ est une plongée dans l'Åuvre phare de George Miller, créateur lucide et ambitieux, qui espère prendre les hommes de vitesse pour ouvrir une voie vers un futur vivable.

01/2022

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Littérature française

Vienne avant la nuit

Au commencement, il y avait Wolf Leib Fränkel, mon arrière-grand-père. Après, sont venus Max Ophuls et Martin Buber. Et Joseph Roth, Arthur Schnitzler, Stefan Zweig, Franz Kafka, d'autres encore. Bien plus tard, Georges Perec, Thomas Bernhard, Paul Celan. Entre-temps, il y a eu la montée du national-socialisme. Avant, bien avant, Menahem-Mendel de Kotzk disait que ne manquer de rien était la pire des malédictions. Mais lorsque le monde s'obscurcit, pensait Wolf Leib Fränkel, est-ce mieux ?

10/2017

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Album de films

Mad Max. Ultraviolence dans le cinéma Partie 1

En 1977, une bande de jeunes types va massacrer tout un tas de voitures sur les routes de campagne d'un des plus étranges pays du monde. Durant plusieurs semaines, ils vont prendre tous les risques pour réaliser le film qui va bouleverser l'histoire du cinéma australien. Le tournage chaotique va rapidement devenir un ballet de frappadingues et de maniaques, embarqués sur un road train infernal se ruant à travers une société sclérosée. C'est un cirque motorisé illustrant les obsessions mécaniques d'un pays fouetté par la crise et les frustrations. Lorsqu'il déferle sur les écrans du monde entier, MAD MAX va rendre George Miller et Mel Gibson incontournables, et mettre l'Australie sur la carte des cinéphiles du monde entier. MAD MAX, deux mots qui claquent comme une paire de baffes, la naissance d'une saga qui va redéfinir les concepts de course-poursuite et d'orgie mécanique. MAD MAX, ULTRAVIOLENCE DANS LE CINEMA, PARTIE 1 ouvre grand le capot de cette saga et dissèque les rouages du premier film. Pour raconter cette histoire incroyable, filant de la jeunesse de ses auteurs à la sortie rocambolesque du film, ce livre s'appuie sur des centaines de documents et d'interviews inédites, et est illustré par de nombreuses photos rares, dont certaines n'avaient encore jamais été publiées. Une plongée radicale au coeur de la production méconnue d'un classique inoubliable

02/2022

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