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Lettres de Chine à sa famille (1698-1721)

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Les Brontë, la famille prodige de la littérature britannique

Trois sœurs et un frère : à eux quatre, les enfants Brontë auront révolutionné la littérature britannique, chacun à leur manière. Nés entre 1816 et 1820, ils font partie d'une famille de six enfants, tous élevés dans un climat paisible, tourné vers la culture et l'éducation, sous la responsabilité de Patrick Brontë et Maria Branwell.

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Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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La famille : entre amour et drame, les joies de la fratrie

La famille : soit on ne l’a pas choisi, soit on s’en fabrique une. Elle peut être le dernier endroit de la gratuité dans les relations ou le royaume des pires sévices. C’est également la famille politique, une famille en esprit, ou une « parenté d’oreille ». Objet multiforme et romanesque par excellence, la littérature s’en est servie pour certaines de ses plus belles créations.

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La famille, ce port d'attache parfois trop attachant

La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.

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Le Prix Nobel de littérature, récompense ultime du monde des lettres

Le Prix Nobel de littérature récompense chaque année un auteur ou une autrice, depuis 1901. Comme l'a écrit dans son testament le chimiste Alfred Nobel, si un lauréat est choisi, c'est qu'il « a fait la preuve d'un puissant idéal », c'est-à-dire que son œuvre a su rendre de grands services à l'humanité.

Extraits

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Récits de voyage

Lettres de Chine à sa famille (1698-1721)

Né en 1665 en Bourgogne, lointain parent du surintendant, Jean-François Foucquet rejoint la Compagnie de Jésus à seize ans et brûle de partir dans les missions orientales. Le 24 juillet 1699, après dix-huit mois de navigation, il arrive en Chine, d'où il adresse des lettres à sa mère, Anne Berthion, retirée à Vézelay, à sa soeur Anne-Catherine et à son beau-frère Antoine d'Orbigny, installés à Avallon. L'arrivée d'une lettre de Chine est un petit événement. A son beau-frère, Jean-François Foucquet décrit l'état du pays, la langue et l'écriture, la politique, la querelle des rites, ses leçons d'algèbre et d'astronomie à l'Empereur... Avec sa soeur il évoque la tâche du missionnaire pour le salut des âmes. Fils aimant, il raconte à sa mère son quotidien, la nourriture, les cultures vivrières, l'habitat, les rapports de voisinage... Conservées familialement et inédites à ce jour, ces lettres sont des chroniques de la Chine de Kangxi. Voyage dans l'espace, cette relation devient aussi pour nous un voyage dans le temps, le récit d'une aventure humaine au Siècle de Louis XIV.

01/2019

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Critique littéraire

Lettres choisies de la famille Brontë (1821-1855)

Voici une famille hors norme, qui a produit quatre écrivains, tous fauchés en plein vol (morts avant quarante ans), soudés autour du père, vivant et créant ensemble, entre mélancolie et humour noir. Face aux drames des jours sombres, le clan fait bloc. Face à la difficulté d'être une femme qui écrit, les soeurs Brontë publient d'abord sous pseudonyme masculin (Charlotte, Jane Eyre ; Emily, Les Hauts de Hurlevent), souhaitant que leurs livres les consolent du destin, rendent possible l'amour et soient assez puissants pour enlever au lecteur tout désir d'en connaître l'auteur. Leur succès en a décidé autrement. Leur voeu d'invisibilité est aujourd'hui rompu, leur idée de l'intime nous est devenue étrangère. Il est temps de reconnaître qu'une oeuvre embrasse aussi tout ce qui lui a permis de surgir. Cette correspondance passionnante en est la preuve. Sur les mille lettres échangées par le père et les quatre enfants, entre 1821 (mort de la mère) et 1855 (mort de Charlotte), cette édition en retient trois cent dix. On entre dans ce recueil sur la pointe des pieds, comme si quelqu'un, en ouvrant une porte dérobée, nous faisait signe de nous approcher et nous rendait témoins de l'extraordinaire force de vie qui anime ces cinq êtres : le désir de prendre son envol, d'aimer, d'écrire - de vivre malgré tout.

05/2020

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Littérature étrangère

Lettres à sa famille

Ce choix d'une quarantaine de lettres de Henry James aux membres de sa famille renouvelle complètement l'image du "Maître" : c'est à la naissance d'une trajectoire obstinée que nous assistons, malgré bien des soucis de santé et des difficultés financières. Aux images connues d'un Henry James déjà célèbre, elles opposent les hésitations de la jeunesse, les vagabondages de ville en ville, les tourments de la solitude. La mort des êtres chers (sa jeune cousine Minny, sa soeur Alice, son amie F. Woolson) l'atteint douloureusement, mais les lettres évoquant leur disparition sont parmi les plus belles qu'il ait écrites. Cette correspondance dévoile l'intrication des liens du sang, notamment avec sa soeur Alice, invalide, également écrivain, et avec son frère William qui deviendra un philosophe célèbre : elle montre aussi combien, dès le début, Henry James était décidé à renverser l'ordre du destin : l'absence devient présence, la faiblesse devient force, la mort engendre la création. Ecrites à Boston, Londres, Paris, Rome, ces lettres d'un errant retracent l'évolution d'un écrivain tôt décidé à l'exil volontaire et au célibat. Le récit de ses rencontres avec Leslie Stephen, Rossetti, George Eliot et Flaubert (entre autres) est toujours teinté d'humour, tandis que son regard dénote une sensualité vivace et aux aguets. Enfin ces lettres restituent de façon émouvante la complexité d'une des familles les plus étonnantes de la littérature.

01/1996

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Romans graphiques

Sibylla. 1621-1638

Durant la guerre de Trente Ans, Sibylla Schwarz et son père se barricadent à l'approche des troupes suédoises qui souhaitent occuper la Poméranie. Cette guerre, Sibylla n'en verra pas la fin puisqu'elle meurt de dysenterie en 1638 à l'âge de 17 ans. Malgré cette courte existence, elle écrit plus d'une centaine de poèmes baroques qui dénotent d'une grande puissance lyrique. La jeune prodige, privée d'amitié et d'amour, n'aura pourtant connu qu'un monde de poésie dominé par les hommes. On estime son poème "? Une chanson contre l'envie ? " comme "? probablement le premier poème sans compromis féministe de la littérature mondiale ? ". Pendant près de deux siècles, Sibylla Schwarz était considérée comme une figure littéraire de premier ordre avant de tomber dans l'oubli. Pour les 400 ans de la Sibylla, Max Baitinger s'est donné pour mission d'exhumer l'histoire de cette poétesse visionnaire. Avec ce récit, qui mêle théâtralité et expérimentations formelles, l'auteur de Röhner conjugue la vie et l'oeuvre de Sibylla Schwarz à ses propres problématiques de créateur. Il nous offre ainsi une biographie insolite de cette personnalité germanique, méconnue et atypique.

05/2023

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Critique littéraire

Correspondance 1921-1968

L’abondante et surprenante correspondance qu’ont échangé Marcel Jouhandeau et Jean Paulhan entre 1921 et 1968, année de la mort de Paulhan, présente un document passionnant pour ceux qui s’intéressent à l’histoire littéraire ; de plus, elle nous révèle deux personnalités aussi différentes qu’attachantes : Jouhandeau, l’écrivain intimiste, l’auteur prolifique d’une incessante autobiographie éclatée dans plus de cent titres, et Paulhan, l’éditeur, l’auteur, l’ami des peintres et des poètes, le directeur officieux puis officiel de La Nouvelle Revue française, lui, beaucoup plus secret. Sur quelques 4 000 lettres recensées, ce volume en retient 904, que l’on peut considérer comme les plus significatives. L’ensemble se lit comme un roman de l’époque, du petit monde des lettres, de la NRF et des Editions Gallimard. On y voit Paulhan, magnanime et amusé, considérer avec le plus grand sérieux les plaintes incessantes de Jouhandeau, qui s’épanche sur sa mère, sur les injures que lui adressent les surréalistes alors qu’il a tout fait pour les introduire à la NRF, sur les scènes incessantes que lui fait Elise alors même qu’ils ne sont pas encore mariés et devraient être en pleine lune de miel… Mais c’est à l’occasion de l’Occupation et de ses séquelles que leur relation prend une tournure dramatique : Paulhan est un résistant de la première heure bientôt contraint de vivre dans la clandestinité ; Jouhandeau, auteur du pamphlet antisémite Le péril juif, participe avec empressement au voyage des écrivains collaborationniste à Weimar, "pour les beaux yeux bleus du lieutenant Heller", affirmera-t-il plus tard pour se dédouaner. Plus grave : Paulhan apprend avec certitude que c’est Elise Jouhandeau en personne qui l’a dénoncé à la Gestapo, ce que Marcel refusera toujours de reconnaître. Pourtant, le lien n’est pas rompu, la correspondance se poursuit pendant encore plus de quarante ans comme si de rien n’était, sans être altérée par une quelconque froideur ou distance. Alors que tout devrait les opposer, les pousser à s’affronter, les deux hommes nous laissent ainsi entrevoir ce qui préside au mystère de l’amitié.

04/2012

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Sciences historiques

Journal de Jean Chenevaz, notaire royal, 1689, 1690, 1691. Chroniques villageoises

Sachant lire et écrire, à l'écoute de chacun, le notaire d'Ancien Régime est le meilleur témoin de la vie des villageois et l'étude des archives notariales permet à l'historien de connaître dans le détail les moments clefs de leurs vies : testaments, mariages, achats ou ventes, litiges, baux de location... Les actes dressés en toutes ces occasions renseignent sur les habitations, le mobilier, les outils, les productions agricoles, les activités et le niveau de vie de chacun. Jean Chenevaz, notaire à Meyzieu et Chavagneu de 1689 à 1691, a opéré dans seize communes du Nord-Velin et le plus souvent à Meyzieu, Décines, Charpieu, Chassies, Pusignan, Jonage et Genas. A force d'étudier ses papiers, Guy Milos a fini par acquérir une connaissance presque intime du notaire. Il a alors eu l'idée de faire revivre Jean Chenevaz à travers un Journal imaginaire, celui d'un humaniste de la deuxième moitié du XVIIe siècle, qui nous présente un panorama du Nord-Velin, de Lyon, du royaume de France et du monde. Les faits relatés se sont tous produits, De chacun des personnages cités a existé, jusqu'aux pensées du notaire qui sont inspirées par ses notes... L'effet de réel est saisissant et l'auteur nous entraîne dans une passionnante plongée de plus de hais siècles en arrière, aussi distrayante qu'instructive.

10/2019

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