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Les cannibales

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Dossier

Stan Lee, la géniale incarnation de la maison Marvel

Né en 1922, Stanley Martin Lieber, alias Stan Lee, avait en tête, dès son plus jeune âge, l'écriture d'un « grand roman américain » : sa carrière en tant qu'auteur et éditeur lui aura permis de participer à la construction d'un véritable empire du divertissement, Marvel Comics.

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Dossier

Présidentielle 2022 : les propositions des candidats pour le livre

L'élection présidentielle française, dont les deux tours se dérouleront le 10 et le 24 avril 2022, désignera l'homme ou la femme qui prendra la tête de l'État français pour les cinq années à venir. La profusion de prétendants et prétendantes signifie aussi un certain nombre de propositions pour convaincre, notamment dans le domaine de la culture et en particulier pour le livre.

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Dossier

Les Contes des coeurs perdus

Les Contes des cœurs perdus est une collection enchanteresse créée par le scénariste Loïc Clément, dans un univers mélangeant réalité et fantastique.

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Dossier

Les mots en boite : le livre et ses secrets de cuisine

Capter l’information au mieux, donner la parole aux professionnels, de sorte qu’ils puissent raconter, expliquer, commenter : voilà tout l’enjeu de cette nouvelle émission. Dans la lignée des podcasts réunissant interviews ou chroniques d’albums jeunesse, avec Vois Lis Voix Là, ActuaLitté poursuit son exploration des territoires médiatiques avec la voix. Les Mots en boîte.

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Dossier

Les éditions J'ai lu inaugurent le Prix Club des lecteurs 2023

Les éditions J’ai Lu ont souhaité se doter d’un prix véritablement incarné par ses votants, c’est-à-dire prix avec des vrais lecteurs dedans. Cette année, la maison lance donc son Prix Club des Lecteurs, une opération au long cours qui prolonge un dispositif d’animations pensé pour tous.

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Dossier

Rentrée littéraire 2018 : les fashion weeks du libraire

Des auteurs paniqués, des éditeurs mondains, des libraires déjà épuisés, des distributeurs satisfaits – les seuls actuellement... –, des représentants (peut-être) en vacances, des transporteurs en retard, un ministère avec le Culture entre deux chaises, des lecteurs perdus, des blogueurs survoltés, des Instragrameurs pour lesquels nous n’avons pas trouvé de rime, des journalistes éreintés... 

Extraits

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Théâtre

Les cannibales

Pièce humaniste et militante, portée par l'humour corrosif de Tabori, Les Cannibales commence à New York par une conversation de facture quotidienne entre deux survivants de l'Holocauste. Ils forment un duo cruel et comique, débattent de leurs habitudes alimentaires et concluent : "Le goût, cela ne se discute pas". Aidés par les fils de ceux qui ont péri dans leur baraquement, ils font une incursion dans le passé pour revenir sur les événements qui leur ont permis de survivre. La pièce qu'ils jouent se déroule dans le bloc 6 d'Auschwitz. L'état de famine est à son comble et les détenus tuent accidentellement l'un de leurs compagnons en lui arrachant un morceau de pain. Le défunt Bouffy est obèse, son cadavre est découpé et un coin cuisine est improvisé. Oncle, aîné du baraquement et ancien acteur, s'égosille, invoquant la Bible et tous les arguments possibles pour empêcher les autres de commettre cette abomination. Mais l'appétit est tenace et l'idée d'un festin a été lancée. Soupe aux boulettes de matza, saucisse de foie, rognons sautés, chaque souvenir de repas est évoqué avec délectation. Même Bouffy se relève de la marmite où il mijote pour nous instruire sur la bonne tenue d'une table. La nourriture sert de vecteur à un voyage dans le temps, de prétexte à des joutes oratoires et à des jeux de scène qui font irruption dans le théâtre le plus improbable. Faut-il, ou ne faut-il pas, manger de la chair humaine ? Va-t-on, ou ne va-t-on pas, goûter à un camarade ? Cette question de goût ultime sera une question de vie ou de mort. Un choix qui ne se discute pas.

03/2015

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Montaigne

Des cannibales

"Chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage". Dans le Livre I des Essais, Montaigne aborde les coutumes des habitants des Amériques, jugeant leur pratique du cannibalisme moins cruelle que l'emploi de la torture par les Européens. Il inverse ainsi la hiérarchie habituelle et plaide, au-delà du respect de la diversité, en faveur de la tolérance et de la liberté de conscience. Traduit en français moderne par Séverine Auffret

08/2022

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Poésie

Les langues cannibales

Se servant avec virtuosité des rythmes du langage et de l'écriture pour s'impliquer personnellement, débarrassé des règles relatives aux structures historiques de la poésie, Pierre Melendez avance dans son nouveau recueil, Les langues cannibales, ses thèmes de prédilection : les vies sacrées et massacrées, les amours contrariées, les femmes fatales, l'actualité de passage, les rêves de toujours et l'espoir d'un monde meilleur.

07/2020

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Critique littéraire

Les années cannibales

Depuis le succès mondial de son journal " J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir ", Christine Arnothy avait déjà écrit sur sa vie. Aujourd'hui, elle redescend dans les ténèbres de son adolescence et se souvient des prédictions de son oncle, professeur de médecine, qui, dans les décombres de Budapest, lui avait annoncé le déferlement des " années cannibales " : " Seul l'argent dictera sa loi et ceux qui n'entrent ni dans le rang ni dans les complicités seront dévorés." Christine traverse les années cannibales auprès d'un directeur de journal déjà marié. Elle doit assumer la persécution juridique imposée par cette " cohabitation ". Le journal qu'il a fondé est plutôt de droite, elle est de gauche. Pour ses succès littéraires, on voudrait la retenir à New York ; elle revient toujours vers son compagnon. Elle ne pourra l'épouser qu'après dix ans de procédures de divorce. Elle traverse ainsi tous les enfers, mais elle a toujours un " je t'aime " à lui dire, et une histoire passionnante à raconter à son public. Il meurt, elle continue à lutter dans l'ombre du mort. " Il fallait cette autobiographie, dit Christine Arnothy, pour espérer atténuer mon deuil. La vie ? Il vaut mieux s'en accommoder, sinon l'inventer. "

03/2008

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Littérature française

Cannibales

Noémie est une artiste-peintre de vingt-quatre ans. Elle vient de rompre avec un architecte de près de trente ans son aîné avec lequel elle a eu une liaison de quelques mois. Le roman débute par une lettre adressée par Noémie à la mère de cet homme : elle s'y excuse d'avoir rompu. Une lettre ? Oui, un courrier postal plutôt qu'un courrier numérique, pour conjurer le risque de piratage et la diffusion sur les réseaux sociaux. Une correspondance s'amorce alors et s'affermit entre les deux femmes, qui finissent par nouer des liens diaboliques et projeter de se débarrasser du fils et ex-amant. Et pourquoi pas décider qu'une fois estourbi, elles le mangeront cuit à la broche au cours d'un infernal banquet ? En réalité, ce roman parle d'amour. Les deux femmes sont des amoureuses passionnées. La vieille dame a appelé son fils du nom du seul homme qu'elle a jamais aimé, et qui est mort accidentellement avant leur mariage. Noémie, elle, est une "collectionneuse d'histoires d'amour", toujours à la recherche de l'idéal. Au fil des lettres que, de son côté, il échange avec les deux protagonistes, le fils et ex-fiancé exprime tout l'amour qu'il éprouve toujours pour Noémie. Un grand roman d'amour, donc. Un Jauffret inédit.

08/2016

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Littérature française

Cannibales

Une nuit, près de Tanger, une petite troupe attend le moment opportun pour embarquer avec un passeur : Azzouz, le narrateur, et son cousin Réda, une jeune femme et son bébé, un Algérien rescapé d'une tuerie, Youssef, et deux Maliens. Tous unis par la force obstinée d'une même quête : extorquer au destin une vie nouvelle, une deuxième chance. Une attente ponctuée de retours en arrière, de récits d'épisodes vécus par les uns et les autres, de portraits et de silhouettes pathétiques : Morad, le " rabatteur " a vécu longtemps en France et se glorifie de son titre d'" Expulsé européen " ; la jeune femme veut rejoindre son mari qui travaille en France et ne donne plus de nouvelles. Azzouz, lui, a bénéficié d'un enseignement classique grâce à des religieuses, mais la mort de sa protectrice a brisé net ses élans ; quant à son cousin Réda, il a réussi à s'enfuir de l'organisation de mendiants dans laquelle il avait été recruté et où son frère manchot a préféré rester. Dans ce récit où s'entremêlent tendresse, humour et cruauté, se dessine le destin tragique d'une humanité cannibalisée.

08/1999

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