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La mort de Staline

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La baignoire de Staline

Tbilissi, capitale de la Géorgie, terre natale de Staline. Un ressortissant français est retrouvé mort dans des conditions suspectes à l'hôtel Marriott. Avant qu'un scandale n'éclate, René Turpin, à l'ambassade, est mandaté pour assister les inspecteurs locaux. L'enquête les mènera sur les traces du dictateur et d'une immense ville balnéaire abandonnée...

10/2022

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Les maréchaux de Staline

La vie - et la mort - des dix-sept maréchaux de Staline. Que savons-nous des maréchaux que Staline a élevés, ces hommes à qui l'on doit la création de l'Armée rouge et sa formidable victoire contre l'Allemagne nazie et le Japon impérial ? Certains figurent parmi les plus grands capitaines du siècle passé : Toukhatchevski, Chapochnikov, Joukov, Vassilevski, Koniev, Rokossovski, Malinovski, Tolboukhine. A leurs noms s'attache aussi la conquête de l'Europe orientale et centrale, et son intégration au monde soviétique. L'on sait moins que nombre d'entre eux ont joué un rôle politique important dans les dix ans qui ont suivi la mort de leur maître, et ce jusqu'à la fin des années soixante. Cet ouvrage unique en son genre donne à suivre des parcours individuels stupéfiants, parfois tragiques, quelques fois rocambolesques, toujours inattendus. Le récit de ces dix-sept vies parallèles compose ainsi une fresque immense qui va de la Première Guerre mondiale à la crise des fusées à Cuba, de l'océan Pacifique à Berlin, des défilés glorieux sur la Place rouge aux geôles de la Loubianka.

02/2023

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Staline, pervers narcissique

"Il est des êtres, a écrit Soljenitsyne, qui, à l'heure de leur mort, jettent une grande lueur". Certains criminels, à l'approche de l'instant fatal, accèdent à une lucidité expiatrice. Quelle sombre fulgurance traversa Staline au moment de sa propre fin ? A-t-il vu le long cortège des hommes et des femmes qu'il avait envoyés à la mort par dizaines de millions ? Lorsque finalement les médecins se pressaient autour de lui pour tenter des soins inutiles, il réussit de son bras valide à montrer une image épinglée au mur où figurait une fillette nourrissant un agneau, puis il se désigna du doigt. Le moribond cherchait sans doute à signifier son extrême faiblesse. Pervers jusqu'à son dernier souffle, Staline n'eut jamais pitié que de lui-même. Contrairement à ce qui est généralement admis, Staline n'était pas un paranoïaque mais un grand pervers narcissique. Ce dernier diagnostic, fondé sur les propos tenus en privé, est bien plus grave que celui de paranoïa et rend mieux compte des méfaits d'un des plus grands criminels de l'Histoire. On peut espérer qu'une meilleure connaissance de la psychopathologie de ce personnage pourrait contribuer à nous protéger de ses semblables en mobilisant une vigilance particulière dans le champ politique.

03/2014

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Les maréchaux de Staline

Les Français connaissent les vingt-six maréchaux de Napoléon. Mais que savent-ils des dix-sept que Staline a élevés ? On leur doit pourtant la création de l'Armée rouge et sa formidable victoire contre l'Allemagne nazie et le Japon impérial. Certains figurent parmi les plus grands capitaines du siècle passé : Toukhatchevski, Chapochnikov, Joukov, Vassilevski, Koniev, Rokossovski, Malinovski, Tolboukhine. A leurs noms s'attache aussi la conquête de l'Europe orientale et centrale, et son intégration au monde soviétique. L'on sait moins que nombre d'entre eux ont joué un rôle politique important dans les dix ans qui ont suivi la mort de Staline, et ce jusqu'à la fin des années soixante. Cet ouvrage unique en son genre, qui s'appuie sur des sources exclusivement russes, explique la logique à l'oeuvre dans les choix militaires et humains de Staline. Il donne à suivre des parcours individuels stupéfiants, parfois tragiques, quelque fois rocambolesques, toujours inattendus. Le récit de ces dix-sept vies parallèles compose ainsi une fresque immense qui va de la Première Guerre mondiale à la crise des fusées à Cuba, de l'océan Pacifique à Berlin, des défilés glorieux sur la Place rouge aux geôles de la Loubianka. Jaloux les uns des autres, apeurés devant leur maître, cachant parfois de terribles secrets, les dix-sept sortent enfin de l'injuste anonymat qui, pour la plupart, a été de règle jusqu'à aujourd'hui.

01/2021

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Staline, pervers narcissique

Contrairement à ce qui est admis, Staline n'était pas paranoïaque, mais pervers narcissique. Ce livre le démontre à partir de faits publics, mais surtout d'anecdotes et de propos tenus en privé, où sa vérité intime se laisse entrevoir, sans masque. Ce changement de diagnostic n'exonère nullement la responsabilité criminelle de Staline. Bien au contraire. Face à une justice, la perversion narcissique, éliminant la folie liée à la paranoïa, engage la responsabilité, alors que l'aliénation offrirait une décharge. Non, Staline n'eut pas l'excuse du délire. Même si le paranoïaque pose des problèmes, par sa souffrance, il est encore notre frère humain. Prisonnier de ses croyances absurdes, il persévère, s'enferre, est dépassé, s'isole. Le pervers, lui, ne souffre pas, il sait se contrôler, suspendre ses manigances, battre en retraite, brouiller les pistes. la satisfaction éprouvée grâce à la dévastation de l'autre, le rejette hors de l'humanité commune. Il n'est pas des nôtres. Staline, pervers narcissique, chevalier de la pulsion de mort, pire que ce que l'on peut imaginer de pire, a mis en actes sa perversion au seul profit de sa jouissance de domination, tout en s'affublant d'une posture prométhéenne fictive. On peut espérer qu'une meilleure connaissance de ce genre de personnage puisse nous en protéger. Puisqu'il arrive de nos jours, qu'un dictateur déchu comparaisse devant un tribunal, cette question de diagnostic n'a rien de byzantin.

05/2022

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Staline et le peuple

"Mes publications avec les statistiques d'archives sur la répression politique des prisonniers du Goulag et de l'"exil koulak" ont eu un impact significatif sur les soviétologues occidentaux, les forçant à abandonner leur thèse directrice des 50 à 60 millions de victimes présumées du régime soviétique. Les soviétologues occidentaux ne peuvent pas simplement rejeter les statistiques d'archives publiées comme une mouche importune, ils doivent en tenir compte. Dans Le Livre noir du communisme, préparé par des spécialistes français à la fin des années 1990, ce chiffre a été ramené à 20 millions. Mais même ce chiffre "réduit" (20 millions), nous ne pouvons l'accepter. Il comprend à la fois un certain nombre de données fiables, confirmées par des documents d'archives, et des chiffres estimés (plusieurs millions) de pertes démographiques pendant la guerre civile, de personnes mortes de faim à différentes périodes, etc. Parmi les victimes de la terreur politique, les auteurs du Livre noir du communisme comptaient même ceux qui sont morts de faim en 1921-1922 (famine dans la région de la Volga causée par une grave sécheresse), ce que ni R. A. Medvedev ni beaucoup d'autres experts dans ce domaine n'avaient jamais fait auparavant. Néanmoins, le fait même de la diminution (de 50-60 millions à 20 millions) de l'ampleur estimée des victimes du régime soviétique indique qu'au cours des années 1990, la science soviétologique occidentale a connu une évolution significative vers le bon sens, mais qu'elle est restée bloquée à mi-chemin de ce processus positif. Selon nos estimations, strictement basées sur les documents, il s'avère qu'il n'y a pas eu plus de 2,6 millions de "victimes de la terreur et de la répression politiques", avec une interprétation élargie de ce concept. Ce nombre comprend plus de 800 000 personnes condamnées à mort pour des raisons politiques, environ 600 000 prisonniers politiques morts en détention et environ 1,2 millions, morts dans les lieux de déportation (y compris en "exil koulak"), ainsi que pendant leur transport (personnes déportées, etc.). [...] En conséquence, nous avons quatre variantes principales de l'ampleur des victimes (condamnées à mort et tuées par d'autres moyens) de la terreur politique et des répressions en URSS : 110 millions (A. I. Soljenitsyne) ; 50-60 millions (la soviétologie occidentale pendant la guerre froide) ; 20 millions (la soviétologie occidentale pendant la période post-soviétique) ; 2,6 millions (la nôtre, fondée sur des documents, des calculs).

02/2022

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